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Chatelains possédés – Chapitre 2

Chatelains possédés - Chapitre 2



Après cette incroyable scène de débauche familiale, la vie avait repris son cours. Joseph continuait bien à besogner régulièrement le cul du jeune baron et celui-ci à baiser sa jeune sour : mais ce n’était là que de l’ordinaire, somme toute. La baronne s’était bien acheté un gode pour se chauffer la chatte seule ou avec Nicole. Mais on en restait là, le baron se contentant d’aller chasser ailleurs et la femme de Joseph aillant repris sa vie pieuse, ponctuée par la messe quotidienne où elle ne cessait de prier afin que restassent éloignées d’elle les pensées impures (ce qui ne l’empêchait pas de se branler la chatte en secret).

Justement, la paroisse venait d’accueillir un jeu abbé, bien fait de sa personne et au visage rond, avenant et malicieux. Comme cela allait d’évidence, la famille de Convallon l’avait reçu à sa table et tout le monde l’avait trouvé séduisant. Ce n’est qu’un après-midi d’été que sa présence fut, comment dire, autrement appréciée. Le baron était parti pour un voyage professionnel, qui constituait chaque fois un véritable pèlerinage dans les bordels et autres lieux glauques des villes traversées.

Il faisait fort chaud dehors et le jeune baron s’était dénudé pour se baigner dans la piscine. L’abbé arriva sur ces entrefaites et le trouva nu, allongé sur le ventre. Comme son entrée avait été fort discrète, il put contempler un bon moment ce corps admirablement bien fait, musclé, ni trop fin, ni trop large, tapissé de poils châtains, dorés par le soleil, qui s’épanouissaient depuis le bas du dos jusqu’aux mollets avec une belle intensité sur les fesses, les cuisses et bien sûr la raie. La bite de l’abbé avait commencé à durcir, dévoilant des préférences sexuelles qui n’étaient pas rares dans le clergé. Finalement, d’un discret toussotement, l’abbé signala sa présence. Le jeune baron se retourna d’instinct, montrant que sa méditation engagée au bord de la piscine ne portait pas que sur de purs sujets spirituels. En effet, sa bite était bien dressée, droite, vigoureuse. Les regards des deux jeunes hommes se croisèrent et ils s’immobilisèrent quelques secondes. Puis d’un bond le baron se leva tout en restant nu. Le regard de l’abbé restait dirigé sur cette bite qui se dressait, glorieuse. Alors, sans même réfléchir, il s’agenouilla et commença à sucer lentement cette turgescence encore fraîche de l’eau du bain.

De sa fenêtre, la baronne avait surpris la scène, stupéfaite. Elle ne savait quel comportement adopter, partagée entre l’indignation de voir cet homme de Dieu s’emparer de son cher et tendre fiston et l’excitation de voir ces deux hommes se livrer à des plaisirs interdits. Le fait qu’elle fut encore nue de sa sieste (car elle se déshabillait toujours en cette saison pour le repos de début d’après-midi) contribua sans doute à la retenir près de la fenêtre, se caressant doucement la chatte d’une main discrète. Mais lorsqu’elle vit l’abbé se redresser et, à son tour, son fils s’abaisser pour dégager une bite de très grande envergure, à l’horizontale, des pensées perverses montèrent à son esprit. Enfilant rapidement une robe très légère, elle se déporta vers les alentours de la piscine, silencieuse afin de surprendre les jeunes hommes et de les mettre ainsi en difficulté.

Effectivement, quand l’abbé se rendit compte de sa présence, il redescendit du ciel des plaisirs où la main et la bouche experte du jeune baron l’avaient conduit pour prendre conscience de la difficulté de la situation. Il se montra fort confus, ce dont la baronne profita pour lui de-mander, d’une voix nouée par l’indignation (du moins c’était ce qu’il croyait et ce qu’elle cherchait à faire croire) quelle était la raison de sa venue et si Mgr l’Evêque l’avait envoyé pour dépraver les jeunes gens de l’aristocratie. Le jeune baron savait qu’une part de comédie entrait dans cette sortie, sans qu’il puisse toutefois deviner où elle voulait en venir. Toujours est-il qu’il se rhabilla rapidement et suivit sa mère qui avait intimé à l’abbé sur un ton dur et cassant l’ordre de la suivre. Elle les conduisit par derrière le château dans une écurie où les deux che-vaux du baron étaient parqués.

Parvenu dans ce lieu, où l’abbé se demandait bien pourquoi la maîtresse des lieux l’avait con-duit là, la baronne se livra à un interrogatoire établi en forme d’accusation. L’accablant de reproches, menaçant de porter l’affaire en haut lieu, elle offrit souverainement une pénitence exécutable immédiatement. L’abbé devait enlever sa chemise et se tourner vers le mur ; pareillement pour le jeune baron. Saisissant alors une cravache, la baronne commença à frapper les deux dos masculins à petits coups. Puis, les voyant vibrer, elle augmenta la cadence et l’intensité, provoquant quelques petits gémissements chez les deux jeunes hommes. Se prenant au jeu mais voulant aller plus loin, elle leur demanda de lui présenter leurs deux derrières dénudés. Elle commença par frapper celui du jeune abbé, aussi poilu que celui de son fils, mais plus bouclés et dans des tons nettement plus noirs et fournis. L’abbé avait du mal ne pas crier, mais il commençait à ressentir, au-delà ou plutôt à côté de la douleur, un véritable plaisir qui lui dressait la queue. « Restez comme ça » lui intima la baronne pendant qu’elle frappait à présent les fesses de son fils. Puis elle s’approcha des deux postérieurs et, comme pour panser la douleur des coups, elle commença à les caresser. Rapidement toutefois, elle intima l’ordre à l’abbé de se pencher en avant, d’écarter ses cuisses et de tendre sa croupe. Elle frappa nouveau, des coups réguliers qui étaient cette fois accompagnés de gémissements tout aussi réguliers. S’approchant, elle put vérifier en tendant la main l’effet de ces sévices sur l’ecclésiastique : il bandait comme un taureau.

Elle l’interpella : « N’avez-vous as honte, monsieur l’abbé, de venir déflorer la jeunesse innocente de nos campagnes ? Vous croyez-vous encore au XVIIIe siècle, l’époque des abbés libertins ? Pour vous apprendre les bonnes manières, vous allez user de ce que Dieu vous a donné en nature généreuse autrement que pour des plaisirs solitaires ou sodomites ! ». Relevant sa robe, elle se dévoila nue et, se couchant sur des bottes de paille devant les deux hommes sidérés, elle dit à l’abbé : « Allez ! A l’ouvre ! Faites selon la nature et non pour votre plaisir pervers ! ». S’approchant d’elle, le jeune abbé tendit sa queue. Le jeune baron le poussa vers le con de sa mère et lui glissa dans l’oreille : « Baise-là, ça la calmera ». S’exécutant, l’abbé introduisant sa bite durcie par les coups de cravache dans le chatte de la baronne et commença par la piner doucement, puis de plus en plus fort, aidé par le jeune baron qui avait placé sa main tout contre la raie de l’abbé afin d’accompagner les mouvements. « Mieux que cela ! Vous fourragez décidément fort mal » se plaignit la comtesse. L’abbé s’exécuta de son mieux, trouvant à cet ouvrage des plaisirs jusque là inconnus. Il s’excitait de se voir baiser un vieux con, celui de la baronne de Convallon ! Sentant la semence monter dans sa tige, il se retira juste avant de décharger sur la baronne qui se massa les seins avec le foutre de l’ecclésiastique en murmurant : « Eh bien, mon salaud ! ». Il ne savait s’il fallait être choqué ou non quand il sentit le jus chaud du jeune baron venir se coller aux poils de son cul, ce dont il se rappela encore le soir quand, seul dans son lit, il se branla trois fois à la suite en se remémorant la scène de l’après-midi. Allait-il revenir dans ce château, dans ce lieu de dépravation ? Sa conscience lui inspirait de n’en rien faire, mais ses désirs éveillés par ces drôles de paroissiens lui commandait le contraire.

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