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Cédric le malin – Chapitre 1

Cédric le malin - Chapitre 1



Robert était à la chasse ce dimanche après-midi là… Je décidai d’aller rendre visite à Cédric, le fils de mon amie Amélie… Celle-ci avait dû s’absenter pour le week-end et m’avait demandé de surveiller un peu son fils, qui s’était foulé une cheville et un poignet durant un match de rugby, et devait de ce fait rester à la maison. Cet événement n’était pas pour me déplaire car je m’étais toujours bien entendu avec Cédric, qui était un garçon plutôt jovial. Pour ses quinze ans, il était assez costaud et en paraissait même dix sept ou dix huit? Plusieurs fois j’avais été amusée, et agréablement flattée de certains regards en coin venant de ce garçon. J’ évitais cependant d’en jouer, craignant qu’il ne confonde séduction et désir physique.

J’entrai donc dans la maison qui n’était guère éloignée de la notre, déposai mes sandales au pied de l’escalier ciré et m’annonçai en montant à l’étage. Cédric me salua, assis sur un fauteuil, une jambe tendue et posée sur un tabouret. Nous discutâmes un peu, et je lui demandai si le temps ne lui paraissait pas trop long, surtout qu’il commençait à faire chaud. En réalité, pour être franche, je savourais intérieurement deux choses: D’abord le fait que je n’avais sur moi qu’une robe et un soutien gorge bleu, et d’autre part, sur le fait que je comptais m’exciter ainsi secrètement pour me caresser dès mon retour à la maison. Cette visite accentuait certainement de vieux fantasmes, et enrichirait mes pensées lors de ma masturbation, et cette nudité cachée me donnait déjà des frissons.

Cédric portait un short court et ample, un peu comme les shorts de hand ball. Assise sur son lit, j’arrivais même à glisser mon regard, tête penchée pour qu’il ne le remarque pas, et à remonter mes yeux sous le bas du short. Néanmoins, je n’en voyais guère plus, car il gardait les cuisses sagement jointes. Il était torse nu, presque imberbe, athlétique et adolescent à la fois. Lorsque je me sentis bien chaude, prête à repartir, des lubies plein la tête, j’allai déposer quelques revues, que je lui avais apportées pour le distraire, au bord du bureau du jeune adolescent. Dans mon geste, la pile vacilla et une chemise de carton brun tomba sur le plancher. Je regardai en se baissant, amusée de voir qu’un numéro de Play-Boy dépassait allègrement. Je ramassai la chemise et la posai sur le bureau. J’avais envie de l’ouvrir? Je tournais le dos à Cedric, mais il avait bien remarqué lui aussi que le magazine dépassait.

-’Ca ne te manque pas trop, alors, de sortir…? Toi qui voulais profiter des ponts du mois de mai pour te trouver une nouvelle copine à ce que m’a dit Amélie..?’

Tout en posant ces questions, j’ouvris la chemise et, après un premier moment de surprise, je souris, car il avait découpé une photo de moi, sans doute volée chez moi ou dans le sac de sa mère, et collé la photo de mon visage sur une plantureuse créature nue, assise jambes ouvertes au bord d’un canapé. Je me retournai, il n’avait rien répondu; les mots semblaient s’être étranglés dans sa gorge… Je tenais le montage photo entre mes mains, le regardais, tête baissée, puis je remontai mes yeux sur les jambes nues de Cédric, et vis qu’une bosse s’était formée sous le short. Il devait sans doute se caresser lorsque j’étais arrivée et avait précipitamment refermé la chemise…. C’était sans doute pour cacher son érection encore visible qu’il avait gardé les cuisses si proches, son sexe mal enfermé entre ses jambes ! Et son état ne devait pas s’arranger depuis que j’étais montée avec cette robe fine! Cette situation me troubla, je me se sentis brûler, mon vagin produisait des ondes, je me retins de contracter mon ventre, s’amusant à penser que ce geste pourrait suffire à me faire jouir! Je m’assis à nouveau presque en face de Cédric.

-’Tu sais, Cédric, mon buste est plus menu que celui là… Je ne fais malheureusement pas du 95 C…’

Et tout en parlant je me mis à défaire négligemment les boutons en haut de ma robe… Je l’ouvris, en débarrassai mes épaules, apparaissant en soutien gorge bleu.

-’Tu vois, je ne fais que du 85 B… et encore, je ne suis pas serrée…’

Très lentement, j’abaissai alors un bonnet et laissai sortir un sein. Cédric ne pouvait que voir, constater, remarquer l’aréole large. J’essayais de me contrôler, de ralentir mes pensées qui se bouculaient un peu.

-’Tu préfères les gros bustes, toi ?’

Il répondit ’ non ’, le visage cramoisi, ne pouvant s’empêcher de jeter des coups d’oeil vers mes genoux, de regarder mes seins offerts.

-’Tu sais, tu n’es pas obligé de garder les jambes aussi serrées… Tous les hommes sont comme toi, et ca doit te faire mal, à force… Regarde, moi je ne met pas mes genoux l’un contre l’autre.

J’attendis un long moment, sans rien dire, pour qu’il se rassure, et Cédric finit par desserrer l’étau de ses muscles. La verge s’échappa sans qu’il puisse contrôler, se tendit brusquement, et je vis le bout du gland, rose, lisse, dépasser un peu à la lisière du short court et large.

-’Je suis sûre que tu es plus à l’aise comme ça… Ca ne te gène pas si je m’installe un peu…?’

Je m’adossai au haut du lit, troussai ma robe jusqu’à la taille, et je laissai mes genoux s’ouvrir, à peine, juste pour attirer son regard.

-’Tu sais, tu n ’es pas le premier homme que je vois dans cet état ! Mais tu es un tricheur de première… Je vois bien moins de choses que tu n’en vois… Cédric !’

Rouge, honteux, il consentit à séparer ses genoux, comme je le faisait impudiquement, moi qu’il avait si souvent côtoyée en tenue correcte… Je savourai la sortie du sexe, que je trouvais plus gros et plus épais que bien des sexes d’hommes que j’avais connus… Le pubis de Cédric était peu velu, mais sa verge déjà épaisse et lourde. Il devait se masturber bien souvent pour avoir une tige aussi avantageuse! Cette idée m’excita… Je ramenai ma robe en haut de mes cuisses, il pouvait voir mon sexe presque en entier… La verge du jeune adolescent était secouée par les afflux de sang.

-’Eh bien, Cédric, tu triches..? Je ne cache aucun détail, moi…!’

Ecarlate, il abaissa son short, l’ôta, et se rassit, nu, la verge dressée vers le plafond. J’attendis qu’il écarte de nouveau ses cuisses, puis savourai cet instant ou toute sa verge fut enfin visible, bien relevée, les testicules bien renflés, bien remontés sous le sexe, à peine poilus. Je le sentais prêt a suivre mes paroles.

-’Tu ne fais rien de ta main, Cédric…? Ce serait mieux de la poser, en bas de ton sexe…’

Il marqua un temps d’hésitation, puis avança sa main, à mi hauteur de son sexe gonflé.

-’Non, Cédric, pas ici, ça va venir trop vite…. Plus bas, juste au dessus de tes bourses…’

Je le regardai faire, stupéfaite par la taille qu’avait pris la verge, décidément bien plus grosse que beaucoup des sexes que j’avais masturbés, sucés, pris dans mon ventre, ou mes reins parfois.

-’Voilà, très bien, décalotte toi, maintenant, fais moi voir ton gland… ’

Je le fixais attentivement, le gland était à la mesure de la verge, pointu, très vite épais.’

-’Tu ne veux pas te passer la main entre les cuisses… ? Oui, comme ça, c’est agréable, non..? Masse bien, oui, prends les dans ta main, presse les un peu… Tu sens les boules à l’intérieur…? Tu veux que je me montre comme la fille sur la photo..?’

Il releva la tête, sa bouche entrouverte, les joues rouges.

-’Je vais te montrer, oui, Cédric, mais tu dois me montrer aussi… Mets ta main à mi-hauteur… Allez, là, oui, sous le gland.’

J’avançai mes fesses au bord du fauteuil, les jambes encore un peu closes, juste assez pour qu’il ait une érection totale.

-’Très bien, Cédric, maintenant je vais suivre ton geste… Plus tu baisses ta main vers ton ventre, plus je sépare mes cuisses…’

J’attendis, sagement, connaissant trop bien les hommes. Cédric commença à abaisser sa main, à tendre la chair au long de sa hampe dure. Je laissai mes genoux aller en suivant sa main, je le fixais avec envie, se retenant de plonger mon index dans ma fente que je devinais déjà juteuse.

-’Tire bien la peau, tout en bas, il faut que le gland baisse son nez… Tu veux que je me montre plus que ça..?’

Cédric haleta, hocha la tête, trop embarrassé de se masturber sous mon regard, moi la meilleure amie de sa mère… J’écartai mes genoux, m’ouvris, cuisses grandes ouvertes, indécente comme jamais.

-’Tu te faisais ça, lorsque je suis entrée, c’est ça..?’

Cédric baissa la tête, sans quitter mon entrejambes exhibé, sa main tirant toujours la chair en bas de sa verge.

-’Tu en as une très jolie, tu sais… épaisse et bien longue… des bourses très pleines aussi… Tu pensais que tu la mettais là…?’

Je m’avançai, me mis sur la pointe des pieds, Cédric vit que ma fente baillait un peu, j’étais mouillée, trempée même car un peu de liquide luisant était tombé sur le fauteuil.

-’Tends la mieux, comme si tu la mettais en entier, tout au fond… Elle est si longue que je la sentirais, loin… tu sais… Tire la peau, comme si tu étais tout au fond de moi… ’

Je regardai le gland écarlate, la main qui tirait à l’extrême sur la chair, le frein qui se tendait, faisant une saillie nette sur le dessous, les bourses sont fripées, remontées au scrotum.

-’ Hoooo !’

Cédric ne put retenir un gémissement, et soudain un jet partit, traçant une arabesque, un arc de cercle qui traversa largement la pièce, puis l’adolescent ne peut retenir sa main, son envie, il fixa mes parties intimes dévoilées, et secoua brusquement sa main tout au long de son épaisse verge, les jets se succèdèrent.

-’Oui, Cédric, serre la bien, tends bien, en bas, pousse sur tes fesses, fais tout venir, plus vite, fais couler le jus, allez, jusqu’à la dernière goutte… Encore, plus fort, oui, allez…’

Il en avait plein les doigts, le sperme s’était répandu, loin devant, sous sa chaise, en tâches ovales, opaques puis plus claires… Je lui souris…

-’Je garde cette jolie photo de… enfin, de moi ou presque… tout cela doit rester entre nous, Cédric, bien entendu…’

Je me levai et me rajustai lentement.

-’Le week-end prochain, si tu es encore seul, je reviendrais… Ce serait bien si tu pouvais te réserver…. jusque là… ’

Il me regarda, avec l’air de celui qui comprend mais n’ose pas opiner.

-’Allons, tu sais bien, essaie de te retenir jusque là… En échange, je m’installerai comme tu le veux…’

Je fermai les boutons de ma robe, la verge commençait à baisser du nez, les testicules pendaient, complètement épuisées. Je lui fis un signe, et disparu.

Rentrée chez nous, je filai devant mon armoire, me mis nue en face du miroir, écartai mes pieds, me cambrai, laissai ma main venir entre mes jambes, prendre ma conque. Des gouttes tombèrent sur la moquette, je laissai le majeur et l’annulaire rentrer, les forçai du plus possible, fermai mon index et mon auriculaire sur les plis brûlants de mon entrecuisses, plaquai ma paume au bas de mon pubis, avançai mon pubis, serrai mes muscles, tirai mon entrejambes vers le haut, indécente, et jouis sauvagement, sur la pointe des pieds.

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