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Chantal et Aurélie – Chapitre 20

Chantal et Aurélie - Chapitre 20



Deux minutes plus tard, nous nous embrassions toutes les quatre, Nathalie jouant les prolongations avec elle, laissant ses mains se balader sur sa poitrine et glisser sous sa robe. Le gros chien était toujours sur nos talons, obéissant comme sil nous avait toujours connues et malgré le plaisir que Monique ressentait par les caresses de Nathalie, elle ne put sempêcher de reculer quand il vint se frotter à elle.

Cette fois, cest Maman qui prit le relais de Nathalie, et le chien tournant toujours autour delles trois, elle remonta doucement sa jupe qui laissa apparaître une culotte aussi blanche que la neige. Elle se laissait faire, avançant le ventre au contact des doigts, mais ses yeux ne quittaient pas le monstre. Le rictus de bonheur et de plaisir quelle éprouva quand Maman glissa ses doigts entre ses grosses lèvres, nenleva pas ce sentiment dinsécurité quil déclenchait en elle, alors dans un souffle elle demanda:

— Il est à qui ce chien ?

— A moi ! Répondit Nathalie

— Mais tu nas plus «Cartouche » ?

— Bien sur que si, mais jai aussi adopté celui là, lui répondit elle en me faisant un clin dil. Cartouche nest pas toujours disponible pour moi, et tu sais combien je suis gourmande

— Oui ça je le sais ! Mais lui, contrairement aux autres, il me fait peur. Tu ne pourrais pas lui dire quil arrête de me renifler et le mettre dehors !

— Je tai dit quil nétait pas méchant, impressionnant il est vrai, mais doux comme un agneau.

Je ne savais pas doù elle pouvait tenir cette information, car je lavais vu à luvre avant quil ne me saute dessus et je pouvais certifier que ce nétait pas du tout ce que Nathalie prétendait.

— Surtout ne le laissez pas courir, je ne voudrais pas quil prenne Nalla, il la tuerait, gros comme il est.

— Mais qui te dit que cest pour ta chienne quil est là ?

Je sentis Monique de plus en plus stressée par cette réponse, et réalisant soudain, quil me fallait faire ou dire quelque chose pour détendre latmosphère, si nous voulions toutes les trois mener à bien le projet quil avait prévue pour elle.

Monique, comme hier, était habillée avec la même robe de chambre, et faisant un clin dil à Maman, je mapprochais delle pour lembrasser. Baiser quelle accepta avec réticence au commencement, mais quelle me rendit avec fougue, quand ma langue se mit à fouiller sa bouche. Ses yeux ne quittaient pas Nathalie qui lui souriait, et quand ma main rejoignit celle de Maman entre ses cuisses, elle ne put sempêcher de lancer son ventre en avant, allant à la rencontre de cette main qui tentait de violer son intimité. Nos doigts entremêlés glissaient le long de ses cuisses fuselées, caressant la culotte pour doucement en écarter les bords, avant de prendre possession de sa vulve humide.

— Mais tu tes rasée ? lui dis je avec un grand sourire. Tu tes épilée, tu las fait pour moi ?

— Oui me répondit elle en reprenant son souffle.

— Cétait ça la surprise dont tu mas parlée au téléphone ?

— Oui je lai fait pour toi ! celle là et autre chose qui je sais te fera encore plus plaisir.

— Monique je taime ! Tu es un amour mais il faut que je te dise aussi, que comme Maman, Nathalie est au courant de ce que nous avons fait hier après midi : je lui ai tout avoué cette nuit pendant quelle me faisait lamour

— Ah !

— Et cest quoi lautre surprise ?

— Ouvre la porte de la chambre et tu verras.

Comme une enfant cherchant son cadeau, doucement, jouvris la porte. Aurélie était là, devant moi, les yeux rieurs, les bras ouverts et le premier moment de surprise passé, dans un élan, comme seules deux amoureuses peuvent en comprendre le sens, nous nous jetâmes dans les bras lune de lautre, scellant nos bouches dans un baiser langoureux. Reprenant mon souffle avec difficulté, mes yeux au fond des siens, je lui dis:

— Tu es la toi aussi. Quel bonheur. Cest encore un coup de ta Maman ?

— Ben oui ! Comme pour tavoir à elle, cest elle qui a tout organisé. Tu te rappelles ce que je tavais dit sur elle , Maman elle est géniale.

— Je vous aime, mécriais je, en les regardant à tour de rôle. Nathalie vous mavez fait le plus beau cadeau que je naie jamais eu. Pardon Maman ! Mais si tu savais combien je laime celle là, lui dis je en regardant Aurélie de mes yeux énamourés.

— Nous le savons toutes ma chérie et nous voulons toutes votre bonheur.

Jétais sur un nuage ! Je ne lentendais plus, collée à Aurélie, mon ventre frottant le sien avec envie, alors que ses mains glissaient sur ma peau, me laissant pour seul vêtement, ma culotte que ses doigts caressaient doucement.

Ma bouche toujours collée à la sienne, jentendis Monique qui sexpliquait avec Nathalie. Elle était devenue aussi rouge quune tomate, sous les caresses répétées de Maman et par la veine qui saillait le long de son cou, je voyais les battements de son cur saccélérer

— Alors elle ta tout raconté ! Tu es au courant de ce que nous avons fait hier toutes les deux, répéta-t-elle en fixant Nathalie

— Oui je le suis et jen suis ravie pour toi, pour vous deux aussi. Depuis le temps que jespérais que tu y viennes aussi, mais maintenant, il te faut aller plus loin, beaucoup plus loin. Je sais quavec Valérie (ma Maman) vous en aviez beaucoup parlé, mais quelle, comme moi, navions jamais pu te persuader de le faire. Alors, je pense que le moment est venu, et que tu ne peux plus te débiner ma chérie. Et surtout, ne cherche pas dexcuse, je ne me laisserai plus amadouer. Quen penses tu ?

— Je ne sais pas ! Peut être ! Vous me perturbez tellement toutes les deux

Me retournant, les yeux furibards, je ne pus mempêcher de lui crier dessus.

— Tu me lavais promis hier avant que je ne parte de chez toi, lui dis je, me détachant doucement dAurélie! Tu mas même dit ce matin au téléphone, que tu en avais rêvé toute la nuit et que tu attendais avec impatience que je vienne avec Aurélie. Elle est là, nous sommes toutes là, même Maman est là. Et puis, nous lavons toutes fait, alors tu nas pas le droit de te défiler.

— Quattendez vous de moi ? Vous me faites peur toutes les quatre. Je naurais jamais du técouter Nathalie quand tu avais mavais dit que tu avais tout organisé pour ta fille, je ne savais pas que je faisais partie de tes plans.

— Tu navais pas compris ! Alors voilà, je texplique, cest simple, tout à fait simple. Après tous tes refus, refus que nous avons accepté Valérie et moi, malgré lenvie que nous avions de te faire violer par Cartouche ou Mambo, et bien que ce serait lui ton mâle, pointant le Danois du doigt.

— Mais vous êtes folles ! Pas lui

— Tout dabord nous avions décidé Chantal et moi que ce serait avec Oko, mais avec ce quil a nous a donné à toutes les deux, il ne serait pas à la hauteur et les autres encore moins. Pour eux, on verra ce soir, peut être seront ils en meilleure forme. Et ils ont intérêt les salauds, maintenant il y en à deux de plus à combler. Nest ce pas Aurélie ? Nest ce pas Valérie ?

— Et comment ! répondîmes nous toutes en chur.

Sur ce, Nathalie sapprocha Monique, et posa sa main sur son sexe imberbe, quelle commença à lui caresser, écartant les lèvres, ce qui nous permis de voir son bouton gonflé par lenvie, acceptant avec envie le contact sur son sexe, la mettant aussitôt dans un état second.

Ne pouvant rester debout, rapport à son pied plâtré, elle se coulât dans le fauteuil, toujours enlacée à Nathalie, Nathalie qui me fit signe de me mettre à genoux entre les cuisses de Monique, et à Aurélie, de venir lenjamber pour lui présenter sa chatte devant sa bouche pulpeuse.

Nous ne nous fîmes pas prier, trop heureuses daider notre maîtresse, moi désireuse surtout que Maman me regarde donner du plaisir à une autre femme. Alors telle une couleuvre, je me faufilais entre ses cuisses ouvertes, repoussant les doigts de Nathalie, pour glisser ma langue dans son sexe baveux.

Au contact de ma langue, Monique ne put retenir un soupir de bonheur, alors, elle écarta autant quelle le put le compas de ses cuisses, laissant ainsi ma langue laper le jus qui en coulait déjà abondamment.

Aurélie nétait pas en reste !

Elle avait posé ses genoux sur les accoudoirs du fauteuil, donnant sa fente à lécher à Monique, ce quelle faisait avec avidité. Ma langue collée à son sexe, relevant les yeux, je pouvais voir sa bouche avide et sa langue pointue se frayer un passage dans le vagin inondé dAurélie. Le bruit que faisait sa langue, se confondait avec celui fait par la mienne et quand je sentis son corps onduler, se tendre, ses mains se poser sur ma nuque, mobligeant à menfoncer plus encore dans son intimité, je sus quelle était à nous, quelle sabandonnait et que bientôt elle serait accouplée avec le chien qui attendait sagement son tour.

Toutes les trois à lunisson jouîmes, Aurélie me suppliant de venir poser ma bouche contre son sexe inondé de salive et de mouille odorante, ce que je fis aussitôt en délaissant celui de Monique, aussitôt remplacé par ses doigts qui se mirent à titiller sa titiller le clito aussi gros que mon petit doigt.

Alors me bloquant la tête contre son ventre à peine mes lèvres se posèrent sur sa chatte parfumée, Aurélie se mit à jouir si fort, quelle ne put sempêcher duriner, minondant le palais dune pluie dorée.

En aucun cas je ne me serais retirée, et cest avec délectation que je la bue, ne laissant rien échapper, finissant le nettoyage de son sexe avec ma langue qui allait chercher les dernières gouttes dans son antre béant. Un vrai bonheur !

Nous relevant toutes les deux, les jambes flageolantes, laissant notre victime reprendre son souffle, je fis comprendre à Nathalie et à Maman que cétait le moment pour elles dagir, et que si nous ne voulions pas avoir un nouveau refus de sa part, il nous fallait profiter de létat léthargique dans laquelle elle se trouvait pour la donner au fauve.

On aurait dit quil le savait, quil avait compris que ce serait bientôt à lui de jouer, car le bout violacé de son sexe pointait déjà de son fourreau, laissant échapper quelques gouttes de sperme.

Ses yeux allaient de Nathalie à Maman, comme pour leur dire quil était prêt pour la saillie. Je ne pouvais que sourire au regard que Maman portait sur le bout violacé qui sortait du fourreau, persuadée quelle se serait bien dévouée à la place de Monique, trop envieuse de ce quil allait lui fourrer dans le ventre.

Moi aussi jétais comme elle, le danois avait fait ce quil fallait pour ça et jaurais aimé quAurélie puisse me voir, prise par un chien : nimporte lequel aurait fait laffaire. Moi aussi je voulais voir Maman saillie par Oko ou lautre, mais cette fois, cest en face que je voulais la regarder, et non lépier comme je lavais fais jusquà présent.

— Valérie ! Mets des coussins par terre, je ne voudrais pas quelle se blesse encore.

Je ne compatissais pas trop à la façon de faire quelle avait avec Monique, elle ne méritait pas un tel traitement. Alors, obéissante jusquau bout des ongles, Maman fit ce que Nathalie lui commandait de faire, et deux coussins, pour que ses fesses soient à la hauteur du chien. Il était tellement haut, quà coup sur, il laurait baisée dans le vide.

— Va mon chien, va! Prends-la! Ordonna Nathalie, une fois que Maman eut installé Monique.

— Nooooooon! Hurla-t-elle à la vue de lengin qui pointait déjà sous le ventre du chien blanc. Pas ça! Non pas avec lui!…Il est trop gros !

La gifle que Nathalie lui administra, claqua comme un coup de fouet, la rejetant en arrière. Elle claqua si fort que le chien ne sut plus, sil devait avancer ou reculer. Les yeux quelle lança en direction de Monique, lui firent comprendre, que cette fois, il ny avait plus déchappatoire pour elle et que son heure était arrivée. Ensuite, Nathalie plongeât les mains dans le sac qui était à ses pieds, pour en ressortir un autre collier, tout aussi beau que celui que je portais, collier quelle fixa autour du cou de Monique. Cette fois, elle comprit quelle devait sincliner et quelle allait devenir, elle aussi lesclave de Nathalie, et cest à peine si elle réagit quand le collier se referma autour de son cou, regardant bien en face celle qui venait de faire delle, une esclave obéissante.

— Les autres sont fatigués, Chantal et moi les avons épuisés cette nuit ! Lui répondit Nathalie, alors ce sera lui. Maintenant tu te mets à genoux.

Ce quelle fit, résignée, présentant par ce faite son postérieur à la vue de tous. Cette vision, celle de cette croupe offerte me donna envie de me poser derrière elle pour glisser ma langue dans son illet à peine dilaté.

– Va ! Va ordonna-t-elle de nouveau au chien

Le danois s’approcha de la croupe offerte, puis avançant sa gueule contre les chairs odorantes, il renifla, léchant timidement d’abord, puis de façon de plus en plus gourmande, passant et repassant sa langue épaisse entre ses cuisses recouvertes de sueur et de liqueurs savoureuses. Il Ètait vraiment monstrueux, mais également dune extrême beauté dans sa façon de faire avec elle, plus redoutable aussi.

Il continuait à la renifler en lui tournant autour, se délectant de ses arômes à chaque fois quil était derrière elle. Passant une patte, puis deux sur ses reins découverts, il mima lacte damour de quelques coups de reins et d’un bond, il sauta sur le corps de Monique, corps raidi par le dégoût et agité par de violents sanglots. Ses antérieurs accrochés à ses flancs, il battait dans le vide, lui piquant parfois les fesses de sa tige raidie, et malgré la peur qui se lisait sur son visage, elle se mit à gémir en agitant bien malgré elle sa croupe lascivement, la rehaussant ou l’abaissant, pour la présenter et se frotter plus étroitement à la queue brulante qui s’enfonçait de temps à autre dans son vagin pour une quête avide de son jus intime qui suintait de sa vulve terriblement enflammée.

Voir cet engin sactiver et disparaitre entre les muqueuses de Monique, me rendait folle denvie, car une heure précédemment, cétait moi qui me trouvait dans la même situation, nayant pus aller jusquau bout de ce que jattendais de lui. Alors amoureusement, je revins coller mes fesses contre le ventre dAurélie, remuant le bassin doucement, je pouvais sentir ses poils pubiens quelle avait omis dépiler pour une fois.

Le danois, se retira de Monique, la laissant ouverte, puis avançant sa gueule contre les chairs odorantes, il renifla, lécha timidement d’abord, puis de façon de plus en plus gourmande, passant et repassant sa langue épaisse entre ses cuisses recouvertes de sueur et de liqueurs savoureuses et odorantes. Je pouvais voir doù jétais, cette langue qui glissait de sa chatte à sa raie culière, lapant au passage, les prémices de sperme canin qui suintait de ses lèvres gonflées.

— Baise là ! cria Nathalie au chien, tirant sur la laisse quelle lui avait mise au cou.

Le dogue tressaillit, cessa de lécher le sexe et lanus luisant de salive, se dressa sur ses postérieurs, posa les antérieurs sur chacune des fesses, puis demeura de la sorte regardant Nathalie avec une expression de soumission idolâtrée, avec au bas de son ventre, sa verge dun rouge vif et brillant dhumidité, émergeant toujours du fourreau.

Se décidant enfin, égratignant les flancs de ses griffes il saisit son corps entre ses pattes de devant et commença à la serrer suffisamment pour la tenir à sa merci, mais pas assez pour la blesser. Jamais Oko ou Mambo ne mavait prise comme ça et bien que des frisons de plaisir me recouvraient le corps, de la voir aveulie à ce point là, je ne pus mempêcher de trembler, me demandant si elle méritait une telle punition?

  En même temps, je vis Maman mapprocher delle pour lui apporter son soutient, Nathalie la repoussa et exerça brièvement une première traction sur la laisse en tirant le chien vers le bas, aplatissant Monique par la même occasion ce qui eu pour effet de lui faire saillir encore plus sa croupe.

  Monique aurait voulu crier la souffrance de ses seins écrasés contre le tapis mais elle ne put émettre quun grondement rauque, de peur deffrayer celui qui avait sa gueule ouverte sur sa nuque. Elle tenta néanmoins de se débattre encore, mais n’osa plus faire un geste et là, à quatre pattes, nue sous le chien et malgré la soumission à sa nouvelle maîtresse, on pouvait lire sur ses traits la peur, la répulsion de se faire saillir par ce chien autant géant que dégoûtant.

Natacha relâcha la tension sur la laisse et cette fois, Monique comprit que rien ne pourrait la sauver du viol abject.

— Je voulais avec lautre pleurnicha-t-elle ! Alors pourquoi ce supplice demanda-t-elle, avant que le mastodonte ne commence à saccrocher à elle.

— Et toi ! Pourquoi, quà chaque fois que Valérie et moi ten parlions, tu refusais de le faire et crois moi ! Quand tu auras fini avec lui, ton corps pourra accepter tous les autres et plus tard tu en profiteras comme bon te semblera. Hein Chantal que tu es daccord pour lui prêter Oko ?

— Oui ! Mentendis je lui répondre, louchant sur le sexe du chien, qui commençait à sortir de sa gaine. Mon dieu comme elle était déjà grosse, regrettant de ne pas mêtre proposée pour la remplacer!

Voilà à quoi je pensais réellement, alors que les doigts dAurélie sincrustaient en mon intimité gluante. Malgré le bonheur quelle me donnait, je ne pouvais détacher mes yeux de son engin, me demandant réellement si mon sexe dado aurait pu accepter une si grosse queue ! Malgré la répulsion que javais eu de lui, je savais que je tenterais lexpérience.

A la fois fascinée, je sentais croitre en moi, une espèce dexcitation sexuelle confuse mais nourrie par une irrationnelle convoitise qui semparait de ma chair intime, et prendre possession de mes sens. Alors croisant mes mains sur ma poitrine, pressant les tétons entre mes doigts, je me mis à serrer les cuisses sur les doigts de ma bien aimée, laissant aller la vague de jouissance qui me submergeait, jouissance de voir Monique possédée par « la bête ».

Sur son dos, Monique sentait la pression du poitrail de l’animal s’accentuer. Le ventre duveteux effleurant ses fesses, en un lent mouvement, elle tenta de fuir la répugnante relation en baissant la croupe, écartant davantage les genoux, essayant à s’asseoir sur ses talons. Mais les pattes du molosse qui lui tenaient les flancs l’en empêchèrent et je pouvais voir ses reins commencer le ballet du « va et vient » en émettant un grondement de colère.

Elle ne pouvait bouger et dut subir le contact de la tige virile qui s’érigeait peu à peu entre ses cuisses ouvertes. Les larmes de désarroi et de résignation coulant sur son visage, elle ne put alors que gémir sourdement. Sa raison avait beau se refuser toujours à admettre qu’un chien peut être en mesure de désirer une femelle humaine, elle n’était rien dautre qu’une chienne captive, offerte et vulnérable à la prédation bestiale.

Le danois maintenait sa gueule ouverte sur la peau délicate de Monique, la paralysant à demi, lui frottant le dos et les reins du dessous de son corps, tout en animant lentement son pénis entre les deux cuisses écartées et raidies. Sa bite effleura sa féminité, ce qui la fit tressaillir et malgré cette répulsion de lanimal, elle releva machinalement sa croupe afin de s’ajuster au membre courbe et gonflé de désir. La pointe effilée du braquemart canin toucha son clitoris tendu, la faisant frémir de plaisir bien malgré elle, plaisir si fort, quelle en vint à convoiter avidement la pénétration, presque à trembler d’impatience. Cette fois, son corps, son âme lacceptaient et je pouvais voir quelle attendait avec impatience la saillie si longtemps refusée

Son esprit avait été réticent à lacte, mais maintenant son corps ne lui obéissait plus, lui disant quil était prêt à recevoir lassaut final, par l’extrémité humide, pointue du gland qui butait contre les lèvres brillantes et luisantes de sa vulve. Elle ne voulait plus rien d’autre qu’être une chienne soumise à la volonté de son mâle. Elle souleva un peu ses fesses en creusant un peu plus ses reins, ouvrant d’une main les babines de sa chatte gluante de mouille, pour en guider de l’autre le pénis du chien qui s’engagea dans sa fente imberbe

L’animal donna un coup de reins puissant, puis sa colonne de chair virile, rouge et brûlante s’enfonça d’un seul bloc, disparaissant dans le con baillant de Monique, la faisant hurler de bonheur. Sous lassaut, ses bras plièrent, la forçant à poser son visage par terre et relever au maximum son adorable fessier et nous pûmes lentendre exhaler un gémissement lamentable, quand lengin démesuré toucha le fond de son vagin.

Devinant ce quelle devait ressentir pour lavoir maintes fois vécu, Nathalie éclata d’un rire sadique quand elle vit le chien commencer à se démener sur les reins de la soumise et relâchât un peu la laisse pour lui laisser libre cours à sa jouissance future.

Le danois desserra un peu l’étreinte de ses antérieurs, prenant un peu plus appuis sur ses postérieurs afin que son sexe s’érigeant davantage, pénètre plus profondément dans le vagin de la chienne qui souvrait pour lui. A plusieurs reprises, je vis son sexe sortir, puis replonger aussitôt en ouvrant et forçant les chairs, frottant son clitoris au passage, lui faisant éprouver aussitôt des sensations nouvelles, à la fois confuses et précises, déconcertantes plus que vraiment choquantes.

Elle gémit encore, mais cette fois nous nous rendîmes bien compte que ce nétait plus de douleur ni de honte, et quelle acceptait enfin le coït avec la bête qui se démenait en elle en lécrasant de tout son poids. Mon corps tremblait entre les mains dAurélie à chaque fois que le chien senfonçait dans son ventre et comme elle pour son animal, le sexe ouvert, offert, trempé, jallais à lencontre de sa main, cette main qui senfonçait doucement en moi. Sa bouche collée à mon oreille, son sexe dansant contre mes fesses, elle me dit :

— Tu aimerais être à se place, être comme elle, baisée, défoncée, ta chatte remplie de sperme ! Tu aimerais dis moi ?

— Oh oui jaimerais!

— Dis moi que tu es à moi, que tu es une chienne, que tu mappartiens !

— Je suis à toi, je suis ta chienne, je tappartiens mon amour. Continues, enfonces tes doigts plus profondément ! Regarde ! regarde Aurélie, son sexe comme il grossit. Dans peu de temps, il ne pourra plus le ressortir de sa chatte !

— Tu aimerais en avoir un aussi gros, là ! Me souffla-t-elle en me forçant lanus avec deux doigts.

— Oh oui !!!!!!!!!!!!!!!!!!

— Attends je reviens me dit elle.

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