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Delphine la mére pute – Chapitre 3

Delphine la mére pute - Chapitre 3



Les roms et le SDF

Depuis plusieurs semaines, Delphine était devenu la pute de son fils Jean et de ses potes Marc et Mathieu. Elle aimait cette situation, elle se sentait enfin vivante, elle adorait baiser pour baiser et ne laisser aucune place au sentiment. Etre une chienne était devenu une seconde nature pour elle, que ce soit au boulot ou dans sa vie privée elle se faisait baiser. Son fils lui dictait sa façon de shabiller et lobligeait de coucher avec quiconque voulait bien delle. Sa journée avait été assez longue, elle sétait comporter comme une bonne salope, elle sétait comporter comme son fils lui avait dit. Sa voiture en panne, elle avait du aller à son travail en transport en commun, habillée comme une bourgeoise coincée, le matin avec le monde dans les transports, ça ne gêne pas trop mais elle finissait tard le soir, et à cette heure il ny avait guère de monde et ils étaient peu fréquentables . Voila à quoi elle pensait, au moment de rentrer chez elle, il ny avait personne dans le wagon que ce soit au 1er niveau ou au 2eme à part un SDF qui dormait. Sa journée avait été longue, épuisante mais très satisfaisante. Son fils lui avait comme dhabitude dit (maintenant) comment elle devait shabiller.

« Bon, aujourdhui tu vas mettre ta chemise habituel Au., tu vas mettre des talons noirs, avec des bas auto-fixant marrons, tu mettras avec ça une mini jupe noir, tu rajouteras à ta panoplie un soutif et un string de ton choix »

« Mais la tenue réglementaire cest un pantalon pour éviter certains problèmes avec des clients du magasin »

« Démerde toi, cest ton problème, tu peux être convaincante quand tu veux et puis dis toi que justement je veux que tais certains problèmes avec les clients ou même avec tes collègues et dis toi autre chose, si tu fais bien ce que je te dis tu seras épargner de la petite sauterie organiser pour ta copine Sylvie »

Effectivement elle eut quelques petits problèmes avec des clients et des collègues.

Tout commença le matin avec le petit chefaillon de son magasin, il remarque la tenue de Delphine au premier coup dil.

« Ahhh bah Delphine cest quoi cette tenue, vous savez quici nous sommes dans une grande enseigne dhypermarché pas dans un quelconque sex-shop »

« Je sais Mr Pudux mais je navais plus aucun pantalon à me mettre »

« Enfin passer dun simple pantalon à une mini jupe au ras des fesses, il y a une limite »

« Je suis vraiment désolée, je pensais que habiller jallais plaire à une certaine clientèle »

« Faites voir, penchez vous en avant » En se baissant, la jupe de Delphine remonta et laissa une vue imprenable sur tout son arrière train

« Ca me rassure vous avez quand mis un string, mais cela nempêche que je ne peux vous accepter habiller comme ça » En disant cela, il regarda sa croupe et réfléchit, cette femme était une incapable toujours en arrêt maladie alors si elle pouvait servir à quelque chose et encore plus de vide couille, que ce soit pour le client ou pour le personnel, ce nest pas plus mal.

« Finalement, je vais vous faire une fleur, vous pouvez y aller comme ca mais je veux que vous fassiez un truc pour moi » Elle se releva, remis sa jupe un peu plus convenablement et accepta. Il lemmena non dans son bureau mais juste à laccueil.

« Mon bureau est trop loin, il faut éviter quon nous voie ensemble, avec la réputation que vous allez vous tailler ce nest pas bon pour mon image, allez y Delphine mettez vous à genoux et ouvrez mon pantalon » En sagenouillant elle avait limpression que ce nétait pas la seule bite quelle allait sucer, en attendant elle sappliqua pour faire une bonne pipe à son chef . Cette place à laccueil était parfaite pour les pipes, lhomme pouvait vaquer à certaine paperasses tandis que la femme pouvait elle sucer des bites en toutes impunités. Pudux serra quelque main, tandis que son employée, cette bonne à rien, tire au flanc, était en train de lui tailler une pipe monstrueuse. Elle allait enfin servir à quelque chose, dès quil ny avait personne, il linsulta copieusement.

« Allez suce salope, vide couille, bonne à rien, garage à bite » Et au bout dune quinzaine de minutes, il lui bloqua la tête et éjacula dans sa bouche. Elle faillit vomir mais ne perdit pas une goutte de foutre.

« Avale tout salope, et va travailler ça te changera » Toujours à genoux elle avala tout le sperme sous les yeux de son chef.

« Merci Monsieur » Elle partit pour de nouvelle aventure.

La matinée sétait plutôt bien passée, à part des regards mal placés, deux-trois commentaires bien salace, elle navait rien eu à faire sexuellement parlant. Enfin jusquau moment où elle se retrouva dans la réserve. Juste avant la pose déjeuner, elle dut y chercher plusieurs produits pour remplir des rayons. Au début seul, elle ne se rendit pas compte que quatre collègues lavaient suivie, elle ne les avait toujours pas remarqués quand elle prit ses produits. Elle ne les vit quau moment où les quatre se dressaient devant elle.

« Alors Delphine où tu pensais aller comme ça, habiller de cette façon »

« Nulle part, jattendais ce moment » Les quatre hommes sapprochèrent delle et commencèrent à la peloter. En deux temps trois mouvements, elle se retrouva à genoux, la jupe retroussée, les seins sortis du soutien-gorge et surtout entourée de quatre bites. Elle suça chaque bite avec la même envie et laissa les hommes jouer avec elle. Une fois ces préliminaires finit, elle se releva, alla sempaler sur le premier venu. Il la retint par les jambes et la pilonna comme un forcené, un autre arriva par derrière et la prit par lanus. Elle était coincée entre ses deux hommes, sa chatte était en feu son anus était bouillant, ils ne mirent pas longtemps à la remplir. Elle se détacha des deux hommes, les orifices déglutissant de sperme, elle neut pas le temps de se remettre de ses émotions que les deux autres enfonçaient déjà leurs bites. Elle était prise en double pénétration, un mec en dessous qui lui faisait la chatte et lautre qui soccupait de son anus, ses deux orifices étant déjà largement lubrifié elle se fit littéralement déchirée, elle était toute rouge dégoulinante de sueur. Ils ne tardèrent pas à lui remplir ses deux orifices déjà bien plein.

« Remets bien ton string, salope, comme ça tu garderas bien au chaud nos spermes »

Les 4 collègues partirent sans même la remercier ou un simple regard. Elle se rhabilla (remit son string convenablement!) et alla manger. Elle sentit tout le sperme se répandre, humidifié tout son string, tout son entrejambe était noyé dans le foutre.

Elle ne remarqua pas ce petit vieux qui la suivit pendant une bonne partie de laprès midi dans les rayons. A vrai dire elle ne le remarqua quau moment de sa question

« Excusez moi Madame, vous pouvez peut être me renseigner? »

« Oui Monsieur, que puis faire pour vous? »

« Cest au sujet des bas » Elle était entrain de mettre en rayon des bas et des collants

«Cest pour votre femme cest ça? Il y a différents types de bas »Il ne la laissa pas finir sa phrase

« Malheureusement ma femme est décédée, non je posais la question au sujet de vos bas à vous »

« Quoi comment ça? »

« Je suis vos déambulations depuis un certain temps déjà, et je me demandais ce que vous pourriez avoir sous votre jupe »

Il commença à se rapprocher delle, il commença également à jouer avec sa jupe. Elle écarta sa main

« Je ne vous permet pas, vieux pervers »

« Allez fais pas ta princesse, tes la seule à avoir mis une jupe aussi courte, ce nest pas pour faire jolie »

Il avait raison, complètement raison. Elle se laissa faire.

« Humm, des bas-auto fixant » Il se rapprocha, toucha la cuisse gainée de nylons, passa la main sur les motifs puis passa sa main a lintérieur.

« Taime ça gros pervers »

« Oh oui et ce nest pas fini » Il baissa sa braguette, sortit sa bite de son caleçon. Il tira sur un des bas et mis sa queue à lintérieur et il commença les va et vient. Le vieux se branla sur sa cuisse. Le tableau nétait guère reluisant pour Delphine, elle était dans le rayon lingerie, un vieux était en train de se branler avec sa jambe comme un petit chien. Elle sentait son souffle sur son cou, il haletait. Il avait une main en train de lui pétrir ses seins lautre en train de farfouiller son string, sa jupe était remontée. Nimporte quel client qui passait dans ce rayon pouvait se douter de ce quil se passait. Il faut dire que Delphine ne faisait rien pour être plus discrète, elle commença à gémir et à onduler son corps pour mettre le vieux dans des meilleurs conditions car le moins que lon puisse dire, cest quil était endurant. Elle se mit à crier quand il lui attrapa le clitoris.

« Ah je crois quon vient de toucher un point sensible, on va jouer un peu avec » Il le fit rouler entre ses deux doigts, elle cria plus fort.

« Doucement, tu veux ameuter tous les clients » Tout en disant cela il continua de le faire rouler.

« AHAHAH » Elle essaya de se mordre les lèvres pour éviter de crier mais rien ny fait le plaisir était plus fort. Il prit une boite de collant sur létalage, ouvrit la boite et enfonça les collants dans sa bouche. Son image nallait pas en saméliorant. Comme si de rien nétait il continua son travail sur son clito. De la sueur commença à couler sur le visage tout rouge de plaisir de Delphine, un bout de collant sortait de sa bouche. Elle sentait poindre lorgasme.

« HumpfHumpfHUMPF » Ca y est lorgasme était arrivée, il avait été dévastateur, elle expulsa un tel jet de mouille que malgré les doigts et le string, la mouille coula sur ses cuisses et laissa une flaque sur le sol et elle faillit perdre léquilibre. Sans le petit vieux elle serait tombée sur sa propre flaque.

« Et bah dis donc, si sest pas du plaisir ça je my connais pas, flûte jen ai plein les doigts » Il essuya ses doigts sur le visage de Delphine. Elle essaya de recracher le collant mais il len empêcha.

« Non, non, non tu garde ça, je nai pas envie de tentendre quand je vais jouir, AHHH » Il éjacula sur sa cuisse un véritable jet de foutre qui dura au moins 10 bonnes secondes. Il resta collé à sa cuisse pour les dernières gouttes, puis il se retira et claqua le bas sur sa cuisse. Le tissu alla se coller au sperme et létala sur toute sa longueur. Cest simple, du haut de la cuisse et le liseré du bas jusquau genou, on pouvait voir des flaques de spermes étalés.

Tout en se rhabillant il lui glissa quelque mots.

« Merci petite pute, je me suis bien amusé, on se reverra, taime ça te faire baiser par des vieux, hein ? » Elle hocha la tête.

« Compte jusqua 10 et tu pourra enlever ton bâillon et te rhabiller et surtout laisse ta cuisse comme elle est »

Arriver à 10, elle recracha le collant, enfin elle respirait, elle avait les jambes en coton. Elle regarda sa cuisse et vit toute ses traces blanches, ses flaques. Elle allait essuyer quand elle se ravisa. Elle remit son chemisier, son string et essaya de réajuster sa jupe. Sa journée se terminait dans 2 heures, cela restait acceptable, elle pouvait rester comme ça.

Et la voila maintenant assise dans le train, elle avait croisé ses jambes sans faire attention au fait quon ne voyait que sa cuisse recouverte de sperme et que sa jupe sétait relevé et laissai voir la lisière de son bas et le haut de ses cuisses, une voix la tira de ses pensées:

« Madame, une petit pièce, s y ou plaît? » Encore un de ses roumains qui font la manche et qui dérange les gens, vraiment aucune considération pour les autres ces gens pensa-t-elle

« Non » Il remarqua la cuisse dévoilée de la femme, Delphine elle ne vit pas le regard du roumain sur sa cuisse découverte. Elle ne comprit pas non plus pourquoi il repartait avec le sourire.

Il revient après 5 minutes mais il nétait plus seul il était revenu avec 4 autres roumains comme lui. Ils regardèrent Delphine, sourirent et sassirent sur la même banquette. Delphine commença à renifler le coup fourré, le wagon était entièrement vide mais non ils fallaient quils sassoient à coté delle. Elle remarqua également les regards sur son bout de cuisse dévoilée, elle tira sur sa jupe, on ne voyait plus que le haut de son bas mais elle ne pouvait rien faire pour les taches de spermes sur ses bas.

« Madame, une petit pièce, s y ou plaît ? » Cétait le même roumain qui posait la question

« Je vous ai déjà dis non, laissez moi tranquille » Elle était de plus en plus gênée, de plus en plus mal à laise. Les 5 roumains se rapprochèrent delle. Un premier mit sa main sur le bas souillé, il retira sa main poisseuse et la montra à ses collègues et ils se mirent à rigoler.

« Laissez moi, je ne vous permets pas » Elle essaya de retarder le moment où elle allait passer à la casserole

« Dis moi madame, cest quoi ton travail, tes une pute ? »

« Ne me parlez pas sur ce ton là et arrêtez de minsulter » Il recommença à mettre sa main sur sa cuisse et frotta le bas. Le sperme sétala encore plus. Sa main était maintenant pleine de foutre, il la tendit à Delphine

« Lèche, pute »

« Non, me parlez pas comme ça, jsuis pas une pute, je travaille à Auch »

« Ah comme ça tas un travail normal, madame et ils te laissent travailler dans cette tenue ou tu te mets à quatre pattes »

Elle ne répondit pas à la question

« Réponds ou lèche »

« Vous faites chier, vous vous voulez une réponse, et bah oui je me mets à quatre pattes, voila vous êtes contents » Vu leurs mines ils avaient lair contents

« Oh oui, on est contents maintenant lèche » Il avait toujours la main en lair

« Maisjai répondu à votre question »

« On sen fout lèche ou je te le mets dans la gueule » A contre cur elle lécha la main du roumain, elle trempa sa langue et aspira le sperme.

« Cest quoi ton prénom, Madame ? »

« Delphine » .

« Moi je mappelle Alin, lui cest mon frère Petru, mon cousin Cosmin, mon autre frère Cornel et un autre cousin Grigore » Il y avait toute la famille et ils allaient baiser cette pute hautaine. Cornel prit la parole dans un ersatz de français

« Maintenant madame, tu vas nous sucer la bite »

« Non, cest hors de question je lui ai déjà léché la main, je ne suis pas à votre service » Elle se doutait que ce genre de réponse narrangerait rien mais elle devait gagner du temps pour retarder au maximum la sauterie qui sannonçait assez hardcore

« Soit tu suces soit tu: comment on dit en français, tu lèches nos pieds » Elle regarda leurs pieds, des vielles baskets, sales, ils navaient pas de chaussettes. Cornel enleva ses chaussures et tendit un pied à Delphine.

« Tiens, un avant goût »

« Ca va pas vous êtes malade, jappelle la police » Elle se releva, pris son portable mais Grigore se leva

« Assieds toi et donne ton portable » Comme envoutée Delphine sassied et donna son portable.

« Lèche le pied et après tu nous suces, Ok » Elle hocha la tête, elle avait perdu toute force de se battre, elle avait juste envie que ca se termine. Au fur et à mesure quelle approcha sa tête du pied, elle sentit lodeur et eu des hauts de curs, lodeur était semblable au roquefort. Elle commença par embrasser le coup-de-pied puis les orteils et enfin la plante. Puis elle sortit sa langue et lécha le pied du roumain avec un dégoût non dissimulé. Enervé par ce manque denvie, Alin prit Delphine par le cou et la força à avaler un bout du pied, elle avait les cinq doigts de pied dans la bouche Cornel accéléra le mouvement, elle effectua une véritable fellation à un pied. Son visage rougit, de la bave coulait de la commissure de ses lèvres. Cornel retira enfin son pied.

« Quelle pute, taimes ça les pieds hein, allez tu vas tous nous les sucer » Delphine se décomposa, revivre ça plus jamais

« Non je rigole, tu vas juste passer aux bites maintenant » Elle décrocha un petit sourire. Alin reprit la parole

« Mets toi à genoux, tu vas nous sucer à la chaine madame » Elle sexécuta, elle était à genoux entre les roumains qui était chacun dun coté, ils sortirent tous leurs bites, elles nétaient guère plus propre que le pied de Cornel. Elle commença avec la bite de Petru, elle dut dabord le branler puis une fois de taille acceptable, elle se le mit en bouche. Elle fit quelque aller retour puis la recracha et regarda à nouveau la bite, elle était devenu énorme, une vingtaine de centimètres, 4 à 5 centimètres dépaisseur, aussi gros que son gode. Elle regarda autour delle et elle vit que les autres avaient une bite comparable. En voyant la tête de Delphine, ils rigolèrent.

« Naie pas peur, continue, tu vas voir ça passe tout seul » Elle repartit à lassaut de la queue, senfonça une bonne quinzaine de centimètres dun coup mais elle eu plus de mal pour les 5 derniers. Voyant la difficulté, Petru lui appuya sur le crane et la força à tout gober. Cette première fellation lança les hostilités, on lui enleva le chemisier, lui sortit les seins du soutif, on lui enleva son string, remonta sa jupe dun coup jusqu’à quasiment sa poitrine et on pelota sans vergogne. Elle continua de sucer ces bites mais maintenant on la fouilla de partout. Les 5 hommes sentirent sa chatte pleine de mouille et rigolèrent à gorge déployée. Elle était maintenant debout toujours à sucer, dans cette position on pouvait sans mal voir tout larrière train de Delphine, on lui enfonça trois doigts dans son anus, puis Cornel lui enfonça sa bite. Son cri fut étouffer par une bite mais elle fut très surprise, elle commença à aimer cette petite sauterie. Chacun leur tour ils la pénétrèrent analement puis on varia les plaisirs, elle était maintenant prise en sandwichs puis avait une bite dans la bouche et avec ses deux mains libres elle branlait les deux derniers. On changea encore de position, elle était maintenant dans le couloir central avec les deux bras attachés au montant des sièges avec ses bas, la tête collée au sol. La croupe relevée au maximum, ils la pénétrèrent vaginalement chacun leur tour en mettant un pied sur son visage pour une meilleur prise. Ils la détachèrent pour léjac finale, elle était allongée sur le sol se touchant les seins et la chatte en attendant le grand final. Ils la recouvrirent de sperme mais ce nétait pas tout, ils lui pisèrent dessus également, Delphine était au ange, jamais on ne lavait traité de cette façon (ça nallait pas durer). Pour lhumilier davantage on la força à marcher à quatre pattes dans lallée avec un de ses escarpins dans le cul. Alin prit la parole:

« Bon on est épuisés, Madame, on va te regarder faire, tu vois le SDF la bas, tu vas le baiser » Elle ne fut même pas surprise et alla voir le SDF, boitante.

« Excusez-moi monsieur » Il empestait lalcool, la sueur, il était surtout dégoutant.

« Hmmm quest ce que tu me veux »

« Ca vous dira de vous vider les couilles »

« Hmmm pourquoi pas » Il se leva, sortit sa bite et sans se poser de question elle se le mit en bouche sous les rires, les insultes des roumains. Le SDF lui vida sa bouteille de rouge sur la gueule et sa canette de bière. Elle sassit sur la banquette et se fit mettre par le SDF, il éjacula comme les autres sur son visage. Alin reprit la parole:

« Avant de partir, je veux voir un truc, la canette de bière et la bouteille, on va te les enfoncer » Elle se remit à quatre pattes et fit même des petits va et vient dimpatience, la canette de bière ne posa aucun problème que ce soit dans sa chatte ou dans son cul. La bouteille de vin par contre ce fut plus compliqué, le goulot rendra comme dans du beurre dans les deux orifices, mais à la demande de Delphine ils essayèrent le culot.

« Mets-moi la base de la bouteille dans le cul »

« Tes sérieuse madame, y a au moins 7-8 centimètres, tu vas avoir mal » Elle sourit et écarta encore plus les cuisses comme signe dacquiescement, Alin ne se fit pas prier, il bloqua à lentrée mais il força et sous les hurlements de plaisir de Delphine il réussit à rentrer le culot de la bouteille dans son anus, il prit une photo sur le portable et lui tendit.

« Cest bon, tu peux partir maintenant » Elle embrassa chacun des roumains et même le SDF, il ne restait plus quAlin, il avait son string dans la main, il lembrassa et lui enfonça son string dans la bouche.

« Dernier cadeau, adieu » Elle ne se rhabilla même pas, elle prit juste ses bas et partit, le train sarrêta pile à sa gare. Elle ressortit du train comme si on ressortait dune machine à laver, elle avait son chemisier ouvert, ses seins sortaient de son soutif, sa jupe nétait plus quun vulgaire bout de tissu, elle avait son string dans sa bouche, ses bas aux mains comme ses chaussures. Elle rentra chez elle dans cet état beaucoup trop crevée pour se rhabiller, sur le chemin elle se fit siffler par un groupe de jeune mais ce fut les seuls personnes quelle rencontra. A la vue de son immeuble, elle vit que son appartement était le seul encore allumé. Elle prit les escaliers et entendit des bruits venant de son appart, elle tapa à la porte et son fils qui ouvrit la porte. Il était à poil.

« Ah maman, ça faisait longtemps, vu ton état tas bien suivi mes conseils, tu me raconteras, mais comme promis tu évites la sauterie prévue pour ta copine » Elle entra et vit au moins 25 personnes et entendit les cris dune femme. Cette femme cétait Sylvie, elle était genoux les bras attachés et un masque harnais sur le visage, elle se faisait fouetter. Jean annonça quelle ne faisait pas partie de la sauterie, elle put ainsi aller dans la salle de bain, prendre un bon bain, en entendait les bruits de la partouze qui se déroulait, elle resta une bonne demi heure dans leau et sortit nue. Elle vit Sylvie sans son masque harnais mais avec deux bites dans lanus, deux dans le vagin, deux dans la bouche. Elle était bien contente de ne pas participer à la sauterie, elle alla se coucher et sendormit très rapidement.

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