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DERRIERE LES MURAILLES DU CHATEAU – Chapitre 1

DERRIERE LES MURAILLES DU CHATEAU - Chapitre 1



C’est en 1850, l’année de mes vingt ans, que je suis entrée comme femme de chambre au château. Auparavant, je servais chez des bourgeois en ville ; c’était une sorte de promotion que de travailler pour des aristos. Mes nouveaux maîtres m’avaient proposé des émoluments assez conséquents d’autant que le volume de travail était très raisonnable. Toutefois, les horaires étaient assez contraignants : il fallait être là tôt le matin pour vêtir Madame à son lever, ensuite le travail consistait à entretenir sa garde-robe et enfin il fallait être présent le soir au coucher.

Ce château me paraissait gigantesque : il y avait une cinquantaine de pièces sur 3 étages. J’étais logée au dernier étage sous les combles, avec les autres domestiques.

Dès les premiers jours, j’avais  sympathisé avec Albert, le valet de chambre de Monsieur. Il avait seulement 35 ans mais il connaissait bien le château. Il me narrait souvent des anecdotes croustillantes : selon lui, notre maître recevait ses "poules" lorsque sa femme s’absentait. Il est vrai que Madame allait presque tous les jours visiter ses amies dans les châteaux des environs. C’était pour moi beaucoup de travail de lui trouver chaque jour des tenues variées et adaptées.

La vie du château était rythmée par les grandes réceptions, réunissant plus de 50 convives. Selon Albert, ils se passait alors de drôles de choses la nuit dans les souterrains du château. Mais quoi exactement ? Il refusait de me le dire, en me disant que je verrais bien par moi-même.

En quelques jours, j’avais gagné la confiance de ma maîtresse : elle semblait ne plus avoir aucune pudeur lorsque je l’habillais. Elle était bien faite pour ses 40 ans : j’admirais sa poitrine bien faite et ses hanches que je trouvais harmonieuses. J’avais envie de lui faire plaisir en lui caressant les seins et en frôlant son entrejambe; mais bien sûr c’était impossible !

Pour en revenir à Albert, il était devenu mon confident. Nous allions souvent nous promener dans le parc, le soir venu. Nous déambulions tranquillement le long des parterres et des étangs. Dans les bosquets, à l’abri des regards, nous pouvions nous embrasser sans retenue.

Parfois, il me racontait une anecdote survenue dans un de ses emplois : le maître d’hôtel, Barnabé,  et la cuisinière, Ernestine, s’aimaient en secret ; dès qu’il le pouvaient ils s’enlaçaient tendrement dans un coin discret de la cuisine. Mais un jour, la patronne a appelé Barnabé alors qu’avec Ernestine, ils étaient en pleins ébats amoureux. Barnabé a remonté prestement son pantalon, mais à peine arrivé dans la salle à manger, son pantalon est retombé, dévoilant ses attributs virils. Barnabé ne pouvait pas remonter son pantalon car il tenait un pot de café à la main. Il a tenu à faire son devoir en servant les nombreux invités qui le scrutaient des yeux. Mais il s’était senti tellement humilié qu’il a quitté ses maîtres le soir-même, de sa propre initiative !

Des anecdotes comme celle-ci servaient à Albert pour justifier pourquoi il était aussi peu entreprenant avec moi comme avec toutes les autres domestiques. Comme je regrettais alors mon village où certains hommes ne se gênaient pas, au cours d’une promenade, pour m’attirer dans une grange déserte et me culbuter sur une botte de paille ! Mais ici, ça ne risquait pas d’arriver. Et pourtant, en y regardant de plus près, il s’en passait des choses à l’abri des murailles du château !

Comme ce jour où Albert m’avait fait appeler : notre maître rentrait de la chasse, sa grande occupation. Il avait tout de suite été prendre son bain comme de coutume. Répondant à l’appel d’Albert, je suis allé le rejoindre : notre maître ne paraissait pas le moins du monde gêné que je le voie nu comme au premier jour. Il m’a ordonné de sa voix grave :

-Viens me laver ! Tu as sûrement une main plus douce que celle d’Albert !

Je me suis approchée de la baignoire et c’est alors que j’ai vu sa petite chose ! Ce n’était pas du tout ce que j’avais imaginé ! Elle était tout à fait semblable à celle d’un paysan que j’avais fréquenté dans mon village : il n’ y avait donc aucun privilège aristocratique de ce côté-là ! J’ai savonné mon maître en prenant garde à ne pas toucher ses parties intimes ; mais il m’a réprimandé :

-N’oublie pas de savonner mon petit oiseau !

J’ai eu un choc en entendant mon maître prononcer cette phrase. Pour moi, il y a des choses qui sont sacrées et un domestique ne doit pas avoir de contacts trop intimes avec son maître. Il y avait comme un sacrilège dans ce qu’il me demandait. J’ai failli quitter la pièce à cet instant. Toutefois, je me suis ravisée : le devoir avant tout ! J’ai donc pris délicatement sa chose entre les doigts. Immédiatement, elle a commencé à devenir de plus en plus dure. J’ai rapidement passé un peu de savon dessus et je l’ai lâchée très rapidement.

Désormais, à chaque fois qu’il revenait de la chasse, mon maître me demandait de le laver. Mais maintenant, il insistait aussi pour que je lui savonne ses olives. Souvent je me suis demandé pourquoi la nature avait conçu des organes aussi sensibles. On racontait qu’il suffisait de les presser légèrement pour provoquer chez leur propriétaire une douleur intense. Je les soulevais délicatement pour les savonner, comme on fait à un petit enfant. Tant qu’il ne poussait pas de cris, tout allait bien !

Jusqu’à ce jour où en lavant sa petite chose, j’ai vu jaillir un liquide blanchâtre au sommet de son gland : j’ai tout lâché et je me suis enfuie, de peur qu’il ne m’en fasse le reproche!

En me retournant, j’avais de la peine à croire ce que je voyais : il était sorti de sa baignoire et il courait dans le château en me criant de revenir. Soudain, il a réalisé qu’il était ridicule et il est reparti ; mais plus jamais il ne m’a demandé de le laver !

Pendant ce temps, je n’avais toujours pas de partenaire amoureux. Faute de mieux, j’imaginais dans mon rêve Albert qui était blotti contre moi sous les draps, me titillait les tétins, me léchait la moule, me labourait la fente, me faisait jouir longuement et intensément. Mais au réveil, il n’y avait personne !

Je continuais à chercher une relation durable ; un temps, j’avais espéré conclure avec le nouveau garçon d’écurie, un petit blond au visage d’ange. Mais après quelques tentatives d’approche infructueuses, j’ai du me rendre à l’évidence : il était beaucoup plus attiré vers les personnes de son sexe, et je l’ai plus d’une fois surpris alors qu’il se roulait dans la paille avec un camarade.

Alors je me suis interrogée : j’ai compris que moi aussi je pouvais chercher parmi mes congénères. Mais pas les petites bonnes ou les filles de cuisine, non, il me fallait quelqu’un de haut rang parmi les domestiques comme Annie, la cuisinière.

Dès ce moment, je profitais de chaque petit moment de libre pour discuter avec elle. Au bout de quelques jours, j’étais devenue sa confidente. J’allais la voir dans sa chambre le soir et nous discutions sans limite.

Elle a fait le premier geste en me passant la main autour de la taille, ce qui était loin d’être innocent : en effet, elle en avait profité pour me toucher le sein droit !

Petit à petit, notre relation avait évolué. Désormais, nous nous rencontrions dans son lit : sous les draps, nous nous caressions à l’abri des regards. C’était une sensation que je n’avais jamais connu avec un homme. Et j’ose le dire : une sensation plus forte. Ses mains allaient et venaient sur mes seins puis elles descendaient sur mon ventre jusqu’à mon pubis. Ses doigts entraient alors un à un dans l’intimité de ma fente, me donnant un plaisir intense. Je lui rendais la pareille, effleurant délicatement son bouton de rose avant de partir à la recherche de son point sensible en enfonçant mon index dans sa minette : alors, immanquablement, son corps se convulsait de plaisir…

Quand elle voulait corser nos relations, Annie sortait de son tiroir des objets de forme phallique qu’elle insérait dans l’un ou l’autre de mes orifices. Je n’en avais jamais vu auparavant mais je dois confesser qu’ils me donnaient bien des satisfactions. Parfois même, sans l’avouer à Annie, je lui en avais emprunté un pour en profiter seule dans mon lit. Mais bien vite, je revenais dans le sien, où elle me faisait profiter de son expérience, qui me paraissait immense. Annie était experte ès caresses buccales : autrement dit, elle savait me lécher le minou comme personne ! J’essayais de l’imiter, et je peux dire sans me vanter que je la faisais vite monter au plafond rien qu’en titillant son berlingot. Nous étions toutes les deux au comble du bonheur. Notre relation durait depuis plusieurs mois déjà quand j’ai commis une petite imprudence.

Il y avait ce soir-là un grand banquet au château. De nombreux serviteurs extérieurs venaient en renfort. Le soir, dans les sous-sols du château, tous les domestiques étaient conviés à une soirée dansante. Un des valets jouait de l’accordéon et nous dansions au rythme d’une valse entraînante.

Comme il faisait très chaud, certains hommes avaient retiré leur chemise, voire même leur pantalon. Et ils continuaient à danser avec des femmes en robe. Ensuite, certains couples se sont mis à l’écart et ils ont commencé à se caresser et s’embrasser. De plus en plus d’hommes et de femmes quittaient la danse pour regarder des couples faire l’amour. C’était une atmosphère de plus en plus étrange. Je suis restée comme cela en position d’observatrice pendant quelques instants, à l’affût de prétendants potentiels. J’avais d’emblée éliminé les plus âgés, les plus laids… J’ai opté pour un grand jeune homme d’une beauté extraordinaire. Sans dire un mot, je me suis allongée à ses pieds, j’ai écarté les cuisses et j’ai fermé les yeux. J’ai senti son gland pousser sur ma chatte pour l’ouvrir. Il est rentré petit à petit, sans forcer et quand il était bien à fond, il s’est mis à aller et venir au dessus de moi. J’ai commencé à ressentir du plaisir quand il a accéléré son mouvement. Tout mon corps vibrait de bonheur quand, enfin, il a répandu son nectar à l’intérieur de mon petit temple.

Je l’ai alors abandonné pour un autre jeune homme très séduisant et très bien monté. On s’est amusé à faire comme les moutons : il m’a prise en levrette et nous nous sommes mis à bêler. Il avait une telle agilité qu’il pouvait, en un geste, sortir son dard de mon nénuphar et me le rentrer dans l’oignon : il alternait ainsi entre mes deux trous de plaisir, me procurant des orgasmes à répétition. Soudain il a commencé à bêler à tue-tête puis il a lâché la purée…

Je l’ai quitté pour un jeune homme qui était allongé par terre : j’ai pris son dard entre mes doigts pour le faire durcir, puis je me suis empalée sur lui. Ainsi, j’étais en position dominante : par un mouvement de mes hanches je pouvais pleinement contrôler mes sensations. J’ai démarré doucement et j’ai accéléré au fur et à mesure, jusqu’à que j’atteigne l’orgasme, et je me suis levée avant même qu’il ne puisse jouir !

Pendant quelques minutes, j’ai profité du spectacle autour de moi. Des groupes étranges se formaient : une femme était avec deux hommes en même temps. On voyait des groupes se mettre dans toutes les positions imaginables. Je me suis jointe à eux, me faisant prendre par trois hommes à la fois ! J’ose à peine en parler…

J’aurais pu continuer encore longtemps mais comme je devais travailler le lendemain et qu’il était déjà une heure avancée, j’ai décidé d’arrêter. J’ai tenté de retrouver mes vêtements mais sans succès…. Je ne pouvais que mettre une main devant et une main derrière et remonter à ma chambre en exhibant ma poitrine à tous les regards. Je me suis endormie en comptant (à la place des moutons) les hommes qui m’avaient fait l’amour au cours de la soirée ; j’ai dormi comme un loir jusqu’au lendemain.

C’est Albert qui est venu me tirer de mon sommeil : mon maître voulait me voir d’urgence.

Je me suis apprêtée rapidement et je me suis rendue dans le grand salon. Monsieur avait eu vent de ce qui s’était passé ; il lui paraissait anormal que des orgies aient lieu dans le château sans qu’il en soit informé (je crois qu’en fait il aurait aimé y participer..).

Comme mon nom avait été cité parmi les participants à la soirée, il croyait de son devoir de me mettre à la porte sans préavis. J’étais désespérée car je ne me sentais pas coupable, ayant été entraînée malgré moi. Mais mon maître ne voulait pas revenir sur sa décision. Je suis allée prévenir tous mes amis. J’ai dit à Albert et Annie combien j’allais les regretter et je suis partie.

J’avais le cur gros en repensant à toutes ces rencontres, tous ces moments heureux. Une chose était certaine : je m’en souviendrai très très longtemps …

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