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Des papy s'échangent leur petite fille. – Chapitre 4

Des papy s'échangent leur petite fille. - Chapitre 4



Après une bonne baise épuisante pour nous tous, on s’offre une sieste pour se remettre. Je suis à poil et ma petite fille, toute nue elle aussi, vient se blottir dans mes bras pour un tendre câlin. Yannick et Charlie sont eux aussi chacun dans leur chambre, avec leur petite fille, Emma et Vanessa.

On ne dort pas, au moins en ce qui nous concerne Anne-Laure et moi, on se repose en se racontant nos orgies dans les moindres détails.

On est tous les deux ravis de ce plan inespéré, moi des mes petites jeunes noires aussi jolies que salopes, et elle de ses deux vieux blacks aussi salauds que bien membrés. Ils sont venus tous les quatre à l’occasion d’un long weekend de quatre jours, disant qu’ils resteront plus ou moins longtemps selon la tournure des évènements. Pour nous tout c’est très bien passé, et on espère qu’il en est de même pour eux et qu’ils restent le plus longtemps possible.

On ne parvient pas à s’endormir, on s’agite, et on se lève. On s’habille et on s’installe au salon. Nos invités ne tardent pas à nous rejoindre. Visiblement ils sont eux aussi ravis de nos premières séances, et souhaitent rester. On le prend pour un compliment, Anne-Laure remercie ses deux amants, et moi leurs adorables petites filles.

On est en fin d’après midi et on sort pour s’aérer. On se ballade en ville, on s’installe en terrasse pour prendre un verre, on dine dehors, et on rentre vers vingt-deux heures. On forme les couples et on va se coucher dans les trois chambres qui nous attendent, en se souhaitant bonne nuit et bonne baise.

Anne-Laure, ma petite fille, va coucher avec Charlie et sa queue monstrueuse.

Vanessa, la petite fille de Charlie, va coucher avec Yannick et sa grosse queue.

Emma, la petite fille de Yannick, va coucher avec moi et ma belle queue.

En ce qui nous concerne nous les hommes, on va chacun coucher avec une ravissante minette, très jolie, très câline, très coquine, pour ne pas dire plus.

A peine couché sur le lit je me penche sur Emma pour lui rouler une chaude pelle et lui fouiller la chatte. Elle participe activement à notre baiser et me branle le manche, me tripote les couilles. Je bande, elle est toute mouillée, et je viens sur elle pour la pénétrer à la papa maman. Je m’active pour la limer à grands coups de reins:

— Eh bien mon salaud, tu ne perds pas de temps. Je t’excite tant que ça?

— Oui, tu es parfaite. Et moi, je te plais, ou tu aurais préféré Charlie?

— Non, elle est trop grosse sa bite. Je verrai demain ce que je peux faire avec, mais pour cette nuit je veux la tienne, au moins je sais que je peux la prendre partout.

— Tu veux te faire encore enculer?

— J’espère bien oui, je veux ta queue et ton sperme dans tous mes trous.

— Je ne demande pas mieux petite salope, mais je ne suis pas superman

— Tu n’as qu’à faire comme mon papy, une nuit il m’a aimée cinq fois, une fois toutes les deux heures. On se faisait une baise rapide, dix minutes à un quart d’heure, et il se reposait jusqu’à la prochaine.

— Tu es une futée petite putain, ok, on va voir ce que je peux faire.

Je n’ai cessé d’aller et venir en elle tout en discutant, mais maintenant on arrête de parler, et j’accélère la cadence, je la lime virilement, puis sauvagement puisqu’elle m’y encourage:

— Oui, oh oui, oh putain, c’est bon. Vas-y, défonce moi, bourre moi comme une chienne, oh putain elle est bonne ta queue. Baise moi, baise moi fort, jouis dans mon ventre, vide tes couilles, donne moi tout…

— Je maintiens l’allure, et ponctue chaque coup de boutoir par des insultes qu’elle semble apprécier.

Ca vient, la sauce monte, et je me répands dans son vagin. Ma queue se calme, et je lui annonce mon intention de récupérer mon sperme pour le lui faire bouffer. Elle vient sur moi en 69, me nettoie la queue tandis que je nettoie son huître. J’ai tout mon foutre dans la bouche, je la retourne, et me penche sur son visage. Elle ouvre sa bouche et je recrache tout dedans. Elle avale, me montre sa gueule vide, et on se roule une pelle vorace:

— Tu es un vicieux toi, un pervers. Je l’ai de suite vu à ton regard.

— Oui, mais ça ne semble pas te déplaire!

— Non, au contraire. J’aimerais que papy soit aussi porc que toi, on pourrait se faire plein de cochonneries, comme dans mes fantasmes.

— Je fantasme moi aussi, on peut peut-être tenter quelque chose. C’est quoi tes fantasmes?

— Je t’en dit un, et après c’est à toi. Mais d’abord tu me jures que ça restera un secret entre nous.

— Pas de souci ma chérie, je te le jure.

— Je rêve de sucer un chien, il parait que ça jute sans arrêt.

— Désolé, mais je ne peux rien pour toi. Moi je rêve d’un plan pisse avec une jeune femelle.

— Ca te plairait de lui pisser dessus?

— Oui, si elle aime ça, mais surtout je voudrais que ce soit elle qui me pisse dessus et dans la bouche.

— Tu me donnes envie, mais ici ce n’est pas possible!

Elle est sérieusement intéressée, et je lui montre la faisabilité de la chose. J’ai une salle d’eau dans la chambre, bien insonorisée, avec une grande douche de plein pied. On réfléchit encore une fois pour savoir si on veut réellement le faire ou si on en reste au fantasme. On décide de tenter l’expérience. Je vais sans faire de bruit à ma réserve, et je reviens avec un pack d’eau.

On s’empresse de boire rapidement une bouteille chacun, et on s’assoit sur le lit avec une autre bouteille qui a du mal à descendre. On planifie notre séance en attendant l’envie de pisser, dans les grandes lignes, sur le principe, mais en laissant place à l’improvisation. Ce qu’il nous faut c’est faire durer, et donc pisser peu à peu, chacun son tour, avec des pauses. Je lui fais alors une confidence sur mon expérience personnelle; je n’ai jamais fait une partie à deux, mais il m’arrive de me faire des séances urine solo. Elle m’avoue alors que ça lui arrive elle aussi; ce qui ne fait qu’amplifier notre désir de le faire à deux.

On a vidé la deuxième bouteille et l’envie d’uriner se fait sentir.

On est sur le plateau bouche, et pour lui prouver que je veux être son chien, autant qu’elle sera ma chienne, je m’agenouille devant elle, les fesses sur les talons, la bouche grande ouverte, et je l’invite à démarrer la séance. Elle écarte ses lèvres, dévoile son magnifique écrin rose, et j’attends avec impatience son jet doré. Je ne sais si elle hésite, ou si ça ne vient pas, mais ça tarde:

— Pisse, pisse salope, n’aie pas peur, je suis ton chien, ton gros porc, ton vide vessie, ton sac à pisse…

Elle se libère enfin et je reçois son jet dru au fonds de la gorge. C’est foncé, c’est chaud, ça sent fort, et je ne peux avaler. Ma bouche se remplit, ça déborde, et je me caresse pour étaler son liquide partout sur mon corps.

On a dit que l’on faisait peu à peu, et elle stoppe. Je recrache tout sur son minou et je la lèche.

C’est elle qui est maintenant à genoux, et je coule mon bronze dans sa bouche, aussi coloré et parfumé que le sien. Elle l’étale elle aussi sur ses seins, son ventre, puis lorsque je stoppe elle recrache tout sur ma queue et me suce. Elle se lève et on se roule un patin avant de remettre ça;

— Hum, c’est bon, tu es une belle petite vicieuse comme j’en rêve.

— Et toi un vieux cochon comme j’en rêve aussi. Mais là on est en réel, et c’est trop bien. Redonne moi ta bouche, j’ai envie de faire.

Je m’agenouille, puis on recommence plusieurs fois. A force d’éliminer, et comme prévu par nos expériences, nos urines s’éclaircissent, sont moins odorantes. C’est à son tour de pisser, et je me décide à tout boire, tant que son breuvage est encore légèrement goûtu, avant de ne devenir que de l’eau chaude à peine parfumée. Elle me regarde un peu étonnée:

— Mais tu as tout bu salaud! Je suppose que je vais devoir en faire autant.

— Je ne t’oblige à rien, tu fais ce que tu veux. Moi je me suis régalé, et il me tarde de recommencer.

— Attends un peu, chacun son tour. Je veux me régaler moi aussi, je veux être ta chienne comme tu es mon chien.

Je pisse dans sa bouche et elle avale tout, se lèche les babines. On remet ça, puis on s’allonge sur le sol. On se met sur le côté, en 69, je la lèche, elle me suce et on pisse l’un dans l’autre sans se prévenir. A force de se vidanger, on n’a plus rien à s’offrir à boire, et on continue avec un 69 normal. Elle mouille à flots, enchaine les orgasmes, et me dévore la queue avec l’intention d’avoir sa récompense: de longues giclées de foutre que j’éjacule puissamment. Elle bouffe tout et on se relève. On est presque sec, on finit de s’essuyer sans se nettoyer, et on se couche.

Elle m’a eu dans sa chatte, elle m’a eu dans sa bouche, et elle compte bien m’avoir dans son petit trou. On s’endort sachant que l’on va vite se réveiller.

On rallume la lumière, je suis crevé, mais la vue de cette ravissante jeune blackette offerte a vite fait de me redonner des forces. On se fait de tendres et rapides préliminaires, puis elle vient sur moi en 69. Elle me pompe et me branle pour me faire triquer dur, tandis que je prépare son petit illet que j’ai eu le plaisir de dépuceler dans l’après-midi. Elle est suffisamment ouverte, et on se met en place. Je l’aide à s’allonger sur la commode, sur le dos, je relève ses jambes qu’elle maintient en l’air, et je m’engage doucement mais surement entre ses fesses sculpturales. Elle grimace, serre les dents, n’étant pas encore habituée, mais me laisse faire. Je suis tout en elle, coulisse lentement, et elle commence à gémir, à prendre du plaisir. J’accélère, de plus en plus fort, et son plaisir explose:

— Oui, oh c’est bon ta bite dans le cul, quelle conne j’ai été de ne pas essayer plus tôt.

— Je compte sur toi pour rattraper le temps perdu. Et le chien de tes fantasmes, ça te plairait qu’il te baise ou qu’il t’encule?

— Je peux te dire oui, puisque ça ne va sans doute jamais se faire.

— On ne sais jamais. En attendant je vais te prendre comme un chien, fous toi à quatre pattes salope.

Elle est en position, prête à subir sa saillie. Je l’embroche et m’excite entre ses reins:

— Tu aimes ça putain, que je te monte comme un chien monte une chienne?

— Oui, salaud, casse moi le cul, il ne demande que ça.

— Volontiers, mais si tu veux vraiment te le faire démolir, on peut arranger ça demain avec ton papy, Charlie, et leurs gros boudins noirs. Tu as vu le pied qu’elle s’est pris ma putain de petite fille.

— Oui, j’en était presque jalouse, et Vanessa aussi. J’aimerais essayer, et il faudra que tu m’aides comme tu as aidé Anne-Laure.

— Ok ma salope, mais en attendant concentre toi sur ma queue, et moi sur ton cul. Je vais te le matraquer, je vais le remplir de ma semence puis te la faire bouffer.

— Oui, vas-y, espèce de gros porc, tu sais que j’aime toutes tes idées perverses.

Je fais comme j’ai dit, je la tringle pour son plus grand plaisir non simulé, et je vide mes couilles dans ton tube accueillant. Je me retire et comme annoncé elle vient sur moi. Elle nettoie ma queue, je vide son cul, et je déverse ma récolte dans sa bouche.

On se roule une pelle gourmande et on se recouche. On se réveille au matin et on se fait un câlin des plus gentils. Peut-être que son papy l’a aimée cinq fois en une nuit, moi j’en suis resté à trois et elle m’en est reconnaissante; trop gentille cette poupée de couleur.

Je me lève le premier pour préparer le petit déjeuner, Emma me suit et me donne un coup de main, et nos autres invités et petite fille ne tarde pas à nous rejoindre. On se restaure et on repart pour se faire la toilette, se préparer. On va se laver deux par deux pour gagner du temps, je laisse la salle de bain principale à nos quatre partenaires, et je repars avec Emma dans la salle d’eau de ma chambre.

Elle a envie de faire pipi, moi aussi, et on se fait un plan éclair. On se boit l’un l’autre avant une douche purificatrice.

Tout le monde est prêt et on sort. Je leur fait visiter le coin, on se fait un restaurant, et on rentre pour une après-midi que l’on espère aussi chaude que la veille.

A suivre……………

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