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Echanges virtuels avec ma coiffeuse – Chapitre 2

Echanges virtuels avec ma coiffeuse - Chapitre 2



Ceci est la suite de nos échanges virtuels sur internet.

MOI:

…………….ça me fait drôle que tu abordes ce sujet, c’est trop de chance…………………………

On est d’accord pour un plan pisse, et on s’appelle avant notre rendez vous pour des questions pratiques; je vais amener de quoi boire. J’ai porté deux grands verres à bière, et les remplis d’eau dès mon arrivée. On boit et on s’en sert un deuxième. Il faut que l’on boive beaucoup et rapidement pour ensuite éliminer.

On se déshabille tous les deux, entièrement, pour éviter de salir nos vêtements. C’est la première fois que je te vois nue, et je suis comme un fou; tu es magnifique. Je me doutais que tu étais bien foutue, mais pas à ce point. Je te fais tourner et te mâte d’un il vicieux: cuisses, hanches, ventre, seins, fesses, vulve, tout est parfait. Je saisis tes globes, les caresse, les pelote, puis pose mes lèvres dessus. Je les embrasse , lèche tes tétons, et mes mains courent sur ton corps:

— J’ai envie de toi, envie de baiser.

— Désolé, mais ce n’est pas au programme. On a dit un plan pisse.

— Oui, mais il faut que je jouisse avant.

— Mais je n’ai rien contre une pipe.

— Moi non plus, mais c’est toujours pareil. Tu pompes bien, mais j’ai envie d’autre chose. Donne moi ta chatte.

— Non , c’est réservé à mon mari.

— Ton mari! Tu te fous de ma gueule? Tu n’y penses pas quand tu suces.

— C’est pas pareil. Il n’est pas vicieux comme toi, et la seule chose qu’il me fait c’est me baiser, très bien d’ailleurs. Alors je me suis promis de lui laisser l’exclusivité. Pour le reste ca ne l’intéresse pas, alors il faut bien que j’aille voir ailleurs.

— Ok, c’est dommage mais je respecte. Il t’encule?

— Hé, c’est indiscret comme question.

— Je me dis que s’il ne le fais pas, je pourrais le faire.

— Merci, j’avais compris vieux cochon. Je te le dirais un jour, si on continue à se voir; mais ne te fais pas d’idées.

— Salope. Et il te bouffe la chatte?

— Tu n’abandonnes jamais. Non, il ne se fait pas pomper, et il ne me lèche pas.

— Ah, les affaires reprennent. Ce n’est pas pour me vanter, mais je suis un pro du cuni. Tu veux m’essayer?

Tu es d’accord, mais a surtout envie de sucer. On reboit de l’eau, et tu entames une fellation. Il va nous falloir du temps avant d’uriner, et on s’organise pour le passer agréablement.

Je te laisse me dévorer la bite et les couilles, puis je te fais stopper pour ne pas jouir trop vite. C’est maintenant à mon tour de passer à table, juste après avoir encore bu.

Tu es installée dans un fauteuil, cuisses sur les accoudoirs, comme chez le gynéco. Je m’agenouille et me résonne pour te lécher tendrement, et ne pas te bouffer comme un gros porc. Je te caresse gentiment, tu es déjà mouillée, et j’approche ma gueule pour te renifler à plein nez. Ta cyprine est délicatement parfumée, j’avance ma langue et c’est un délice. Je lèche tes grandes lèvres, tes petites lèvres, sculpturalement découpées. Je taquine ton bouton, le fait éclore pour mieux le gober. Tu es hyper réceptive, enchaines les orgasmes:

— Humm, salaud, c’est vrai que tu es doué. Lèches moi, lèches moi encore, c’est bon, oui, je jouis……..

On alterne pipe et mange-minou jusqu’à avoir une envie irrésistible de pisser. Je m’abandonne alors à ta bouche qui fait des prouesses pour me vidanger rapidement.

On va pouvoir enfin passer à notre plan pise tant espéré.

……………………tu m’as dit de me lâcher, mais j’aime autant que ce soit toi qui le fasse. ………………………………fais toi plaisir ma chérie, j’ai hâte de te lire………………………….Bisous coquins, si tu permets.

Eric

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ELLE:

……Vous me prenez de court. J’aurais aimé vous lire, mais je comprends votre envie. Vous êtes un coquin…………………………

On est face à face et on urine chacun dans un verre. On échange nos bières blondes et je m’apprête à boire. Tu me préviens qu’elle va être trop forte et me proposes de la jeter pour m’en servir une deuxième, plus douce. Je n’ai jamais bu de pisse et j’ai envie d’essayer quand même. Je prends une petite gorgée et la recrache dans le verre:

— Pouah, c’est dégueulasse!

— Je t’avais prévenue. Jette la et je te ressert; tu verras ça sera beaucoup mieux.

— Non, attends, je vais réessayer, ce serait dommage de gaspiller.

Je recommence, et avale deux gorgées avec de grandes grimaces. Tu me suggères d’y rajouter un peu d’eau et je suis ton conseil. Ca va beaucoup mieux et cette fois j’apprécie ton breuvage. Tu rajoutes de l’eau toi aussi dans ton verre, et on boit tout.

On pisse à nouveau dans les verres, et nos urines sont plus claires, moins odorantes. On rajoute encore un peu d’eau, moins, et on boit cul sec. Un troisième verre et il n’y a plus besoin d’eau. Nos liqueurs ont commencé avec un jaune pâle pour finir presque blanc. On boit un peu, on échange nos verres pour goûter notre propre pisse, puis on les transvase l’un dans l’autre pour savourer notre mélange.

Avec tout ce que l’on a bu, on doit éliminer encore, mais sans les verres. Tu as envie que je te pisse directement dans la bouche, par petits jets, pour pouvoir tout boire. Je satisfais ton souhait et t’implore de me faire la même chose. Tu pisses à ton tour, par à-coups, des petites rasades que j’engloutis sans soif, juste pour le plaisir.

On continue, on alterne, jusqu’à vidange complète; du moins c’est ce que l’on s’était imaginé. Mais à se boire en circuit fermé ça n’en finit pas, et on se résout à finir aux toilettes.

……………….J’espère que vous allez prendre plaisir à me lire…………je vous laisse relancer……Bises

Ann-laure

MOI:

………..c’était très bien………………….tu es coquine toi aussi………………….

On se revoit de plus en plus fréquemment, deux ou trois fois par semaine. Tu me suces à chaque fois, et je te bouffe la chatte, à tour de rôle ou dans de torrides 69. On continue aussi nos plans pisse, et on se boit maintenant sans les verres et sans ajout d’eau. On se pisse à jets drus dans la bouche avec un saladier sous le menton. On ne peut avaler tout d’un coup et le surplus dégouline dans le récipient. On le jette sachant par expérience que l’on ne peut tout engloutir.

Par contre pour ce qui est de te baiser ou te sodomiser, il n’y a aucune avancée. Ta chatte est réservée, et pour ton cul je ne sais toujours pas si tu aimes, tu ne veux même pas que je te le doigte.

Moi par contre j’adore quand tu me fouilles en me suçant. Je t’encourages à m’en mettre toujours plus, et j’ai maintenant droit à ta main entière, un fist qui t’excite autant qu’à moi.:

— Ca te fait bander salaud, tu aimes ça?

— Oui, j’adore, tu me fais du bien, autant qu’une queue.

— Tu t’es déjà fait enculer?

— Oui, à chaque fois que je peux. Ca te choques?

— Non, tu fais ce que tu veux de ton cul. Ca m’excite de t’imaginer.

— Ca te plairait de me voir baiser avec un mec?

— Oui, pourquoi pas, et même plus. Tu me donnes une idée.

Tu m’expliques alors ton plan, et je suis sûr que tu y avais pensé avant moi, salope. Tu me reparles du vieux à qui tu pisses dans la bouche. Il est aussi vicieux que moi, se fait fouiller lui aussi, et tu nous verrais bien se faire un plan pisse et baise. Tu me demandes l’autorisation de lui donner mon mail pour que l’on s’arrange entre nous, et j’accepte. Tu t’empresses de rajouter que tu veux participer, en tant que spectatrice.

Il m’écrit rapidement et me donne son téléphone pour l’appeler, ce sera plus pratique. On se parle longuement et on se fixe un rendez-vous chez lui.

Après s’être entendu, on baise par téléphone. On ne se connait pas mais on a une connaissance commune pour nous faire bander, toi. On te traite de tous les noms, des mots que l’on a jamais osé te dire en face.

……………à toi pour la suite……………..fais nous faire tout ce que tu veux………………………..Bisous partout

Eric

A SUIVRE……………

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