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Entre fièvre du samedi soir et démons de minuit – Chapitre 1

Entre fièvre du samedi soir et démons de minuit - Chapitre 1



« Chérie, réveille-toi. Prend un cachet, ça te fera du bien.

— Merci mon ange. »

Je tends une main un peu tremblante par dessus le bord de la baignoire pour saisir le verre que mon mari m’a préparé. Bruno est une perle. Il a conduit 6 heures sur les 8 qu’il nous a fallu pour revenir des Pyrénées car je n’étais pas en état de le relayer plus. Aussitôt arrivés,  il a déchargé la voiture et filé à la pharmacie acheter de quoi me remettre sur pied et tenir au moins jusqu’à minuit.

Une fois le comprimé avalé, je repose la tête sur le coussin et somnole de nouveau. Il est 15h en ce 31 décembre 2016. Je suis plongée jusqu’au cou dans l’eau chaude de mon bain en attendant que les frissons dus à mon début de grippe s’atténuent. 30 minutes plus tard, ça va un peu mieux et je commence à me laver. Les sensations que mes mains, glissant sur mon corps, éveillent en moi me rappellent que les moments d’intimité avec mon homme ont été inexistants ces cinq derniers jours. En effet, il n’est pas forcément évident de trouver un endroit tranquille quand vous êtes 25 dans une même maison qui ne comprend qu’un grand dortoir et une petite salle de bain mal chauffée !

Je fais courir mes doigts sur mon corps, le frôlant à peine. Les frissons que ces caresses me procurent n’ont maintenant rien à voir avec la grippe. Je laisse le bout de mes doigts effleurer mon ventre, mes ongles griffer délicatement l’intérieur de mes bras et savoure ce moment d’intimité retrouvée. Inexorablement mes mains sont attirées par ma poitrine qui, se soulevant de plus en plus rapidement, laisse dépasser mes tétons de l’eau. Je fais tomber quelques gouttes sur ces deux pointes roses et le contraste entre la chaleur du bain et la température plus fraîche de la pièce les font se dresser un peu plus. Je passe mon majeur dans le sillon qui sépare les deux globes, ajoute l’index et l’annulaire pour en faire le tour à droite puis à gauche. Je suis les contours du papillon entouré d’arabesques tatoué sur mon cur. Je pince un téton, doucement d’abord puis plus fermement, et m’occupe de la même manière de son jumeau. Je descends maintenant de mes côtes jusqu’à l’os saillant de mon bassin, retraçant les lignes d’encre du phénix renaissant des aigrettes d’un pissenlit.

Je caresse la peau délicate de l’intérieur d’une cuisse puis le pli du genou. Tout mon corps réclame une attention particulière au cur de ma féminité mais je laisse l’excitation monter encore. Ma main survole mon mont de vénus tout épilé, puis passe sur l’autre jambe. Cette fois, quand mes doigts approchent de mon sexe, j’ouvre grand mes cuisses. Je pose mon majeur sur mon clitoris impatient et appuie un peu plus. Je le sens palpiter et commence à le titiller. Je sens déjà l’orgasme monter en moi. Je fais glisser deux doigts le long de mes replis intimes jusqu’à qu’ils atteignent mon anus. Je frissonne et relève un peu plus mes genoux pour me permettre de mieux faire le tour de cette petite fleur plissée. Je recommence plusieurs fois ce chemin, longeant la crête de mes grandes lèvres, tournoyant autour de mon anus, sans jamais plonger dans mes profondeurs. Mes hanches se balancent de plus en plus, faisant déborder l’eau de la baignoire. Je ne tiendrai plus longtemps. Le besoin de jouir devient intenable, mon clitoris pulse comme s’il était animé de son propre cur, avide d’attentions et de délivrance. Je cède enfin, plaque le bout de trois doigts dessus, fais quelques petits cercles et tout mon corps se tend. Mon souffle se bloque, comme si mes poumons voulaient me laisser pleinement apprécier la montée de mon plaisir… Je jouis… Je bascule la tête en arrière, ferme les yeux et mes muscles se relâchent.

« Alors, on se caresse la chatte ?!

Amis de la délicatesse et de la poésie, voici mon mari !

– Il faut bien que je m’en occupe toute seule vu que tu ne me donnes même pas un coup de main. »

A peine le temps de dire ouf que me voilà arrachée à ma baignoire adorée, plaquée contre le sèche-serviette et prise par mon homme bien décidé à me montrer de quoi il est capable.

«  Bon, t’es bien gentille, mais à la base je suis monté prendre une douche et me préparer. »

Flottant sur mon nuage post orgasmique, je m’enroule dans une serviette, m’assied sur le banc dans la salle de bain et profite du spectacle qu’il n’a même pas conscience de m’offrir. Bruno a 31 ans, comme moi, mesure 1,77 m et pèse 68 kg. Il est d’un tempérament assez nerveux, toujours en mouvement et très sportif ce qui lui donne une silhouette assez fine mais toute en muscles. Je me régale de voir son torse glabre ainsi que ses abdos bien dessinés, me retiens de me rapprocher pour arracher la serviette qui le sèche et frotter moi-même son dos et ses fesses bombées. J’essaie de raisonner l’insatiable qui est en moi car pour être à l’heure chez les amis qui nous ont invités en ce soir de réveillon, il faudrait penser à enfiler des vêtements. Mon homme le sait et commence à passer son boxer – tiens je l’aime bien celui-là – sa chemise blanche et son pantalon bordeaux. Plus il s’habille, plus je sens mon corps s’échauffer comme s’il m’offrait un effeuillage digne d’un gogo dancer. Ça doit être un effet de la fièvre, il faut que je calme mes hormones en ébullition.  Mais voilà qu’il boutonne sa chemise et passe un noeud papillon bleu foncé et bordeaux autour du cou.

« Tu peux m’aider à l’attacher s’il te plaît ?

— Mais bien sûr mon amour. »

Mes mots et mon regard lorsque je m’approche me trahissent. Je ne suis pas vraiment du genre mielleuse et Bruno se rend maintenant compte de l’état dans lequel je suis. Il penche la tête et me lance avec un sourire, tout fier de lui :

« Ça ne t’a pas suffi ce que je t’ai mis toute à l’heure ? »

Pour moi, rien de choquant dans ses termes, je suis la première à les dire. Mais je ne réponds rien. Je me colle nue contre lui et ferme l’attache du nud papillon avant d’oublier. Puis je lui mordille la mâchoire, me dresse sur la pointe des pieds et passe la langue sur le lobe de son oreille.

« Tu n’oserais quand même pas te plaindre que ta femme soit excitée, lui dis-je pendant que je fais descendre mes mains sur son torse, son ventre jusqu’à les glisser sous son boxer. Il y en a qui rêveraient d’être à ta place ! Allez mon cur… »

Je commence à descendre sa braguette, ruinant au passage ses efforts pour que sa chemise soit rentrée sans un pli dans son pantalon. Il me saisit alors les mains, me fait pivoter et me renvoie dans mon coin avec une fessée.

« File t’habiller et si t’es sage peut être qu’en rentrant cette nuit, tu auras l’immense honneur de me sucer. »

Sur ma faim, je file dans ma chambre telle une gamine privée de dessert, ruminant quant à la façon de me venger. Mon idée est toute trouvée, ma tenue sera un vrai appel au sexe. Je rentre dans mon dressing, parcours ma penderie du regard et tombe sur LA jupe : noire, moulante comme une seconde peau, simili cuir à l’avant, tissu stretch à l’arrière et, sur le bas, un liseré de dentelle qui s’arrête bien au-dessus du genou. Maintenant le haut. Je fouille dans la pile des jolis Tee-shirts : sans manche, encolure ronde un peu lâche, assez large, couleur or, en mailles un peu ajourées qui laissent deviner ce que je porte ou pas dessous. Simple et efficace. Je rajoute mon grand gilet blanc pour pouvoir m’enrouler dedans quand les effets de la grippe se feront sentir de nouveau. Il ne me reste plus qu’à choisir ce qui le mettra à mes pieds à coup sûr. J’ouvre un premier tiroir et en sors des bas couleurs chair autofixant. Dans le second tiroir, je choisis un string assez minimaliste noir mais dont la résille et la dentelle sont joliment entremêlées et le soutien gorge assorti. Il sera un peu voyant, notre ami Jérôme qui nous reçoit ne manquera pas de m’en faire la remarque mais la fin, ou la faim, justifie les moyens. J’enfile donc ma tenue de combat, m’assois devant ma coiffeuse pour laisser parler mes talents en termes de maquillage, ce qui se résume à un trait de crayon sur les yeux, un peu de fard à paupières, du mascara et du rouge à lèvres marron. Je passe des boucles d’oreilles discrètes, un bracelet et voilà. Un petit tour devant le miroir : j’y vois une petite brune, cheveux coupés courts, grandes lunettes, assez fine mais pas filiforme pour autant, parée pour rendre fou son homme. Parfait, si on fait abstraction des vieilles pantoufles rose. Je descends dans l’entrée récupérer mes bottines à talons, pas très hauts mais aiguilles quand même. Alors que je suis penchée en avant pour les enfiler, j’entends siffler. Je me redresse, me retourne et mon homme découvre le côté pile de ma tenue.

« Oh putain ! »

Exactement mon ange.

Nous partons pour notre réveillon chez Jérôme et Cléa, où nous attend également Jade. Au programme de ce soir, raclette tranquille tous les cinq, ce qui me convient parfaitement. Malheureusement, en passant la porte de chez eux, nous comprenons rapidement que la soirée va être longue. L’ambiance entre le couple est électrique et pesante, alors même que nous trinquons à la belle année qui se termine. Jérôme est odieux avec sa femme, comme souvent, mais ce qui change, c’est que pour la première fois Cléa lui répond. Enfin, elle se rebelle ! Sauf que ce cliché ambulant de machiste italien, aimant avoir le contrôle sur tout, n’apprécie pas vraiment. Après 3 heures à compter les points entre les deux, et pour moi à mélanger champagne et médicaments car les effets de la grippe se font à nouveau sentir, la discussion dérive sur le cul. Bruno, assis face à moi, m’adresse un regard disant « je m’excuse d’avance mais je vais tenter de les dérider ». Je sais ce qu’il va faire, de quoi il va parler. C’est ainsi que mon homme se met à expliquer aux trois autres convives comment nous avons réalisé son fantasme, un plan à trois avec une amie et moi. Jérôme se montre très intéressé, pose beaucoup de questions et finalement  annonce qu’en 2017 il le fera aussi… mais pas avec sa femme. À ce stade-là de méchanceté, je pense qu’un coup de pelle serait le bienvenu. Il est fréquent de se disputer dans un couple, ça permet même de remettre les choses à plat. Mais je ne comprends pas comment une personne peut montrer une telle absence de respect envers sa moitié.

« Par contre, si Jade et toi êtes partantes…ose-t-il nous dire. »

Je serre les pans de mon gilet contre moi, réprimant les frissons de dégoût que me provoque mon voisin de table.

« Le souci, Jérôme, c’est que j’aurais peur de sentir plus les doigts de Jade que ta queue. Tu sais bien qu’avec Bruno, je suis habituée à bien plus gros que toi. »

Je le dis avec un grand sourire et ma voix toute mielleuse pour ne pas trop plomber encore plus l’ambiance

« Coquine, me répond-il en faisant glisser son doigt sur ma joue.

Mais quel dégueulasse !

— Tu n’as même pas idée, mon beau. »

Ce petit jeu me vide de mes dernières forces. Je me lève, m’excuse parce que je suis polie quand même et vais m’allonger sur le canapé. Tout compte fait, être malade lors d’une soirée comme ça, ce n’est pas si mal. Le flot de débilités que j’entends me berce et je commence à somnoler.

« On a qu’à faire une partouze tous les 5. Mais Cléa n’a pas le droit de toucher Bruno et vice versa. Et c’est moi qui dirige. »

Ces paroles me réveillent. Oh l’abruti, mais quel beauf ! Il a beau être mignon, je préfère coucher avec sa femme et Jade. En général, j’aime abandonner tout contrôle quand je fais l’amour mais hors de question d’être soumise à quelqu’un qui se croit au dessus de tout. J’en ai assez entendu. Alors soit je prends mon mari sous le bras et claque la porte, soit je retourne la situation et lui donne une leçon. Pas sûr qu’il la comprenne mais au moins ça me défoulera.

La vengeance l’emporte ! Je vérifie que mon foulard soit autour de mon cou et me lève, bizarrement en forme alors que je m’étais couchée avec de la fièvre. Je me dirige vers Jérôme d’une démarche lente et chaloupée, un sourire sensuel sur les lèvres. Ses yeux se mettent à briller d’un désir un peu malsain. Je le contourne en laissant glisser ma main d’une épaule à l’autre. Je mets mon index sur ma bouche, intimant ainsi le silence aux trois autres, et leur adresse un clin d’il pour les rassurer. Je sais ce que je fais… ou presque. Ce que je tente, ça passe ou ça casse mais je suis une éternelle optimiste. Alors que le spectacle commence.

Je m’installe à califourchon sur ma cible et commence de défaire sa cravate.

« Quelle bonne idée, beau brun ! Je vais même tout de suite commencer par m’occuper de toi. »

Je plaque ma poitrine contre lui et, profitant de sa surprise, lui noue les mains à l’arrière de la chaise avec sa cravate pour qu’il ne puisse plus bouger. Pour sûr, Christian Grey serait ébahi par ma technique ! Je le regarde droit dans les yeux et lentement fait dérouler le foulard autour de mon cou. Quand l’extrémité de l’étoffe tombe sur mes cuisses, Jérôme baisse la tête et aperçoit la lisière façon dentelle de mes bas, révélée par ma position. Je passe alors rapidement le tissu autour de sa tête, le privant ainsi de la vue.

« Par contre, on va jouer selon mes règles. »

Le voir soumis à mon bon vouloir me grise. Jamais je n’ai eu l’envie de dominer quelqu’un mais à cet instant, je n’inverserai les rôles pour rien au monde. Je me retourne pour faire face à Cléa, Jade et Bruno et m’assied de nouveau sur ses genoux, plaquant mon dos contre son torse. Ainsi installée, j’explique à mes partenaires comment vont se dérouler les choses.

« Pour remercier Cléa d’avoir préparé cette soirée et féliciter notre amie ainsi que mon mari d’avoir assisté à ton triste spectacle, je leur offre un moment de plaisir à trois. Quant à nous, nous nous contenterons de les observer. Enfin, je jouerai les voyeuses et te décrirai en détails ce que je verrai.

— Non mais t’es complètement malade. Mon pote, rappelle ta femme et apprend lui à la fermer, proteste-t-il en essayant de se détacher sans succès.

— Ça, tu vas le regretter jeune homme ! »

J’attrape un torchon posé sur la table et le bâillonne. Je regarde les filles et ma moitié. Bruno est plus que partant au vu de l’excitation que je lis dans ses yeux et de la bosse que je vois poindre au niveau de son entrejambe. Quant aux deux copines, elles sont encore hésitantes mais aucune n’a protesté. Alors pour les encourager un peu je me lève et passe mon haut par dessus ma tête puis fais glisser ma jupe par terre. Je me tiens debout devant elles en sous vêtements, bas et chaussures à talons. Et là, je comprends que j’ai gagné car elles font de même. J’entends Jérôme qui s’agite derrière moi et retourne sur ses genoux pour lui décrire la scène.

« Ta femme et Jade se déshabillent mutuellement. Elles commencent à se caresser doucement, regardent Bruno et s’embrassent. C’est magnifique à voir et rien qu’avec ça, je mouille déjà et mes seins se gonflent.

Tu ne vois aucun inconvénient à ce que je quitte mon soutien gorge pour être plus à l’aise ?!

Ton pote détache son nud papillon et déboutonne sa chemise, mais les filles l’arrêtent pour le faire à sa place. Elles sont à genoux et finissent par enlever son pantalon, ses chaussettes et son boxer.

Oh, ta femme est drôlement surprise par la taille de la queue qu’elle a devant les yeux. C’est vrai qu’elle n’a pas vraiment l’habitude de 22 centimètres.

Visiblement, elle n’est pas impressionnée pour autant car elle la prend dans sa bouche sans attendre. Pas entièrement, mais elle fait des efforts. Elle se décale pour laisser à Jade la place pour venir lécher les boules de Bruno. Il est aux anges et leur caresse les cheveux pour les encourager. Cléa remonte en caressant mon homme et l’embrasse à pleine bouche.

Il demande aux filles de s’asseoir au bord de la table et plonge directement entre les jambes de ton épouse. Il passe sa langue sur toute sa chatte et se concentre maintenant sur son clitoris. Il est affamé et déchaîné et je crois que c’est un peu de ma faute. Il attend depuis le début de soirée le moment où il pourra me prendre. Je pense que ça va être intense mais rapide. Il tend un bras pour ne pas laisser Jade en reste. Il plonge directement deux doigts en elle et colle la paume de sa main sur son pubis.

Tu les entends gémir ? Mes mains me démangent et mon corps réclame de l’attention. Vu que tu ne peux rien faire, je vais m’occuper de moi toute seule car le tableau que j’ai sous les yeux m’excite carrément.

Oh, ta femme bascule la tête en arrière et jouit.

Il les fait se relever, les place en 69 sur le tapis devant nous et leur demande de se lécher.  Aucune ne rechigne.

Tu sais, je ne les pensais pas aussi coquines !

Jade est couchée en dessous sur le dos et Bruno place son gland à l’entrée de sa chatte lubrifiée par la langue de Cléa. Il s’enfonce d’un trait et commence à la prendre en lui relevant les jambes. Pendant ce temps, ta femme continue de passer sa langue sur son clitoris. Bruno alterne maintenant entre le puis trempé de Jade et la bouche de ta belle blonde. Je pense que l’orgasme est proche pour Jade. Mon homme se concentre alors sur elle.

Tu entends ses cris de plaisirs, étouffés par le sexe de ta femme ?

Elle crispe ses mains sur les fesses de sa partenaire et se laisse aller à jouir. Sans perdre de temps, Bruno passe derrière Cléa, toujours à quatre pattes. Il commence à la prendre en levrette mais visiblement son anus l’attire. Il fait lécher son doigt par Jade, titille l’illet plissé et le pénètre. Il glisse rapidement un deuxième puis un troisième doigt car il doit être proche de la jouissance. Il fait rapprocher les fesses de Cléa de la bouche de Jade pour qu’elle y passe sa langue et humidifie le petit trou qui commence à s’ouvrir. Bruno est impatient, il présente le bout de son membre sur la petite porte et pousse lentement. Pendant ce temps, Jade lèche le clitoris de ta femme pour l’aider à se détendre.

Crois-moi, une queue de cette taille, on la sent bien passer. Mais comme c’est bon ! Tu sais mon beau, ça m’excite tellement que je vais me caresser sur toi jusqu’à me faire jouir.

J’écarte mon string et plaque le bout de mes doigts directement sur mon clitoris. Ce sera rapide mais je veux jouir en même temps qu’eux. Je frotte plus que je caresse tellement j’aime les regarder. Bruno est rentré entièrement et l’encule plus en plus vite.

Tu l’entends ? Elle vient et moi aussi.

Bruno sort sa queue et arrose de sperme le cul de Cléa et le visage de Jade.

Tu sens comme mon corps se crispe ? Je jouis sur toi ! »

« Chérie, chérie, réveille toi pour reprendre un cachet. Je crois que tu as pas mal de fièvre : tu es bouillante, et dans ton sommeil tu frissonnais et gémissais. En plus, il est bientôt l’heure de se souhaiter une bonne année ! »

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