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Fille et mère – Chapitre 1

Fille et mère - Chapitre 1



J’ai rencontré une fille magnifique, aux seins un peu petit, aux cheveux roux. Je n’ai jamais eu de filles rousses. Malgré son âge, à peine 18 ans, je flirte avec elle et je suis surpris de ses réactions. Elle embrasse très bien et elle semble savoir ce qu’elle veut: baiser. La preuve elle n’hésite pas à me masser la bite. J’ai la réaction normale, je bande. Aussi je cherche à lui caresser une cuisse à travers sa jupe, elle enlève ma main pour que je la pose sur son genou et surtout sur sa jambe: je me retrouve avec ma main montant directement vers son sexe. J’ai une surprise en arrivant, elle ne porte pas de sous vêtement et j’ai un accès direct à son intimité. Elle

continue son baiser qui devient plus profond. C’est une invitation pour lui donner du plaisir.

Je lui met deux doigts sur le clitoris et le branle lentement, trop lentement à son gré puisqu’elle n’hésite pas à me demander d’aller plus vite. Elle prend son pied et miaule comme un chaton. Elle jouit vite et me demande de recommencer. Elle jouit encore plus vite.

Je pense avoir affaire à une fille libérée. C’est vrai. Chez moi, dans l’entrée nous nous embrassons, je lui caresse les seins qu’elle a très

sensibles. Je la serre contre moi: comme je bande, elle frotte son ventre contre ma bite pendant que je lui caresse les fesses en remontant à la recherche de son anus. Je veut y rentrer un doigt: elle se rebiffe, elle n’aime pas ça. Dommage j’aime assez sodomiser une fille, mais si elle ne veut pas je n’insiste pas. Je l’entraîne dans ma chambre, la dénude avant d’en faire autant. J’examine son joli corps plus que désirable. Elle me regarde surtout la bite qui semble lui plaire. Je la positionne de telle façon que ses jambes soit hors du lit. Elle comprend ce que je veux, écarte les jambes et offre à la vue son con entier. Je vois ses lèvres et son clitoris, son vagin caché par les lèvres. Je suis en adoration devant son sexe à genou comme devant un dieu antique. Je lui passe la langue à l’intérieur des cuisses pour arriver à son bouton. Je le prend dans ma bouche et le mordille légèrement avant de lui passer ma langue jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je reste là et recommence encore et encore. Je la baise pour qu’elle jouisse plusieurs fois. Je reste en elle et soudain j’éclate. Je décide de ne pas encore quitter ce con accueillant. Je fais bien, je ne débande pas et la coquine en profite. Nous recommençons à baiser et elle à jouir.

Nous nous reposons un instant et je lui demande d’où elle vient: elle est kabyle. Je pensais que les kabyle étaient des musulmanes accomplies. je me trompais elle est de lointaine origine vandale et sa famille est athée.

Elle demande un 69, ce que j’aime et elle a une façon de sucer bien particulière, mais très efficace. Je n’ai même pas le temps de lui dire que je vais jouir que je lui jette mon sperme dans la bouche pendant qu’elle jouit de ma langue. Elle déguste mon sperme, m’embrasse, se lève et s’habille. Elle s’en va. Elle me promet de revenir demain après midi. Quelque chose me dit que c’est vrai.

Je rode nu dans l’appartement satisfait de la baise et surtout d’être tombé sur une jeune femme chaude, alors que je préfère les femmes un peu mures qui normalement baisent beaucoup mieux que les cadettes.

Je cuisine un repas micro-ondé et regarde un nanard à la télé. Soudain la sonnette me réveille presque. Je vais passer un peignoir de bains et vais ouvrir: devant moi une femme d’une quarantaine d’années qui demande la permission de rentrer. Une fois à l’intérieur elle me demande si c’est bien avec moi qu’une jeune femme a passé "l’après midi. Je ne sais

que répondre et soudain, elle vient près de moi et ouvre ma robe de bain. Elle me regarde la bite et à ma grande surprise, elle me dit que c’est bien moi, puisque sa fille lui a bien expliqué commet j’étais fait

Je ne comprends rien à cette histoire. elle me donne des détails croustillant: avec sa fille elles se partagent les amants et le plus souvent font l’amour en trio avec la plupart des hommes. Elle me demande si j’aime sodomiser les femmes. je ne peux pas lui cacher que j’aime bien enculer les femmes. C’est bon, alors. J’aime bien ça moi aussi, mais il y a longtemps que je ne l’ai pas pratiqué. Ça lui manque. Elle prend ma bite en main et commence à me branler: quand on agit ainsi je bande toujours rapidement. Elle me branle un moment, quand elle voit que je suis prêt à jouir, elle arrête tout, me tourne le dos, relève sa robe, enlève son slip et se mouille le cul avec sa salive et enfin elle guide ma pine vers son anus.

C’est bien la première fois qu’une femme m’oblige à l’enculer. Je rentre au début difficilement et une fois rentrée ma queue se met à faire des profonds vas et viens dans ce cul qui réagit plutôt bien. C’est vrai qu’elle aime avoir une queue dans son anus. Elle est penchée en avant et profite de l’occasion pour se branler. Au moment de jouir, après qu’elle

même est déjà jouit plusieurs fois, elle me fait quitter son cul pour le remplacer par sa bouche et elle avale également mon sperme en me nettoyant entièrement ma bite. Elle me remercie et elle aussi me dit à demain.

Je n’ose croire qu’elle viendra avec sa fille, mais si c’était vrai?

Et le lendemain c’est bien la mère et la fille qui viennent ensemble: elles sont habillées très court et viennent la mère d’abord puis la fille ensuite m’embrasser sur la bouche. Je peux faire la différence, la fille est plus profonde et la mère plus sensuelle; elle me lèche les

lèvres aussi,sans aucun scrupule elle se déshabillent l’une et l’autre et je vois deux corps différent: la fille au con rasé, la mère poilue mais pas trop, les petits seins de la fille et les seins de la mère

un peu tombant plus gros. Elles m’attaquent directement: la fille plus directe prend ma queue en main et me branle lentement pendant que la mère décide de m’attaquer vers le cul: elle m’embrasse et sa main descend lentement mais sûrement le long de mon dos, pour aller entre mes fesses que j’écarte pour qu’il y loge deux doigts. Je suis sur le point de jouir

quand la fille dit qu’il est temps qu’elles s’occupent d’elles aussi. La fille guide sa mère vers la chambre et elles s’y couchent pour se branler d’abord chacune en regardant l’autre et ensuite la mère branle le fille qui lui répond. C’est parait-il une histoire assez vieille qui date

du moment où la mère a surpris sa fille se donnant du plaisir. Excitée la mère l’a branlé à condition qu’elle le lui rende.

Je comprends bien mieux, entre elles c’est devenu normal, mais un homme est très utile: la preuve je les regarde en bandant et commençant à me masturber. Ce n’est pas normal alors qu’elles se masturbent ou se sucent c’est normal pour elles. Je ne sais trop par qui je dois commencer. Je décide qu’elle doivent jouir les deux à la fois. Je n’ai pas encore baisé la mère qui à mon avis doit être très cochonne. Je vais sur elle qui écarte les jambes offrant son con qui en a vu d’autre. Je demande à sa fille se venir offrir son con à la bouche de sa mère. C’est avec plaisir qu’elle le fait. Pendant que je la lime et qu’elle accompagne mes mouvements je vois la fille les yeux fermé, la tête en arrière, profiter du cunnilingus maternel. Dès qu’elles jouissent je permute les positions et cette fois je baise la fille.

Dès que je débande elles se font des 69 et des cons contre cons qui les font partir plusieurs fois.

Nous faisons l’amour jusqu’à tard dans la nuit. Nous finissons par nous endormir. Je suis réveillé le matin par des mouvements inhabituels: les deux femmes se branlent chacune de son coté. Je commence à bander encore: elle ne veulent pas de moi, alors je fais comme elles: je me masturbe.

Nous nous rencontrons presque chaque semaine pour ces partouzes bien particulière.

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