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J'aimais pas les chiens – Chapitre 1

J'aimais pas les chiens - Chapitre 1



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Je n’ai jamais aimé les chiens. Jamais.

Peut-être parce que je les trouvais trop… Vivants. Vifs.

Parce qu’ils nous ressemblaient un peu trop au final. Pas au niveau physique bien sur, mais ils étaient un peu trop capables de s’adapter à notre vie à mon goût. Et cela m’effrayait.

Mon psychologue me fixais souvent d’un air niais quand je lui expliquais cela. Et j’imaginais très bien son inconscient lui faire des remarques stupides sur le dernier des attardés qu’il accueillait dans son bureau.

Aujourd’hui je n’avais plus ce problème, je n’avais plus les moyens de me payer un psy.

Ni un appartement d’ailleurs.

Mais le malaise que je ressentais à la vue d’un chien ne s’était jamais affaibli. Chaque fois que j’en croisais un, je faisais de mon mieux pour éviter de figer mon regard dans ses yeux trop intelligents. Je restais au niveau du maitre, ignorant purement et simplement la bête à mes pieds.

Mais un jour, alors que je venais de me faire mettre dehors de façon plus ou moins délicate de chez un homme chez qui je squattait littéralement et effrontément depuis une semaine, je rencontrais un ancien ami de lycée au coin d’une rue, l’air passablement agacé.

Ses cheveux avaient poussé depuis notre jeune âge et il les portait attachés en une haute queue de cheval, dévoilant un visage mat aux yeux d’un vert d’eau tout bonnement ensorcelant.

Après s’être dévisagés un instant, nos visages s’éclairèrent et il tendit un doigt vers moi:

-Léo c’est ça?

J’acquiesçais et tentait de lui rendre la pareille:

-Lucien?

-Julien, corrigea-il, t’étais pas loin. Qu’est-ce que tu deviens depuis le temps?

Je passais une main dans mes cheveux et tournais le regard vers la rue, un sourire gêné à mes lèvres:

-Rien de bien glorieux crois moi. J’ai pas envie de t’embarrasser avec mes conneries…

Avant que je ne pus l’interroger sur sa vie à lui pour esquiver discrètement le sujet, il éclata de rire et m’entraîna vers un café de sa démarche si sûre de lui, le genre de démarche qu’ont les personnes à qui la vie sourit, à qui personne ne dit non, et qui achètent ou prennent de force tout ce qu’il veulent.

-Si, si, je veux savoir, viens, je te paye à boire, et tu me racontes. J’ai que ça à faire, j’attends un coup de fil urgent, ma gardienne m’a laissé tombé.

Une gardienne? D’enfants? Je manquais de trébucher en montant les trois pauvres marches menant à la porte vitrée du café et oubliais vite de lui poser la question.

Vingt minutes plus tard je venais de finir de lui raconter ma vie de plus en plus pathétique. A savoir que j’avais perdu mon job, puis mon appart, et qu’actuellement je squattais chez qui voulait bien de moi en attendant de pouvoir passer mon entretien la semaine suivante.

Lorsque j’eus fini il me fixa avec un regard intéressé, et je me demandais la raison quand il commença à me raconter sa vie.

Bien entendu, succès partout, maison en banlieue, travail intéressant et à plein temps mais…:

-Et là en fait, je dois partir pour quatre jours à perpette, et j’avais trouvé quelqu’un pour garder le monstre, mais elle s’est décommandée au dernier moment, donc je suis un peu dans l’embarras. C’est pour ça que j’attends ce coup de f…

Il s’interrompit pour décrocher son portable, et s’excusa avant de sortir du café pour discuter.

Je l’observais s’agiter derrière la baie vitrée et m’interrogeais: un monstre? C’est vrai que les gosses sont particulièrement casse couilles, mais de là à parler de monstre aussi sérieusement…

On devait pas avoir le même humour, me dis-je en portant ma tasse à mes lèvres.

Julien revint rapidement, l’air encore plus énervé que lorsque l’on s’était croisé plus tôt.

-Bon, ben voilà, j’ai définitivement plus personne pour le garder. Il est pas si horrible pourtant bon sang!

Il s’assit lourdement et se pencha vers moi:

-Léo, je suis désolé de te prendre de court comme ça mais tu m’as plus ou moins dit que t’avais nulle part ou dormir hein?

Je sentis mes joues rougir de honte et m’apprêtais à l’envoyer paître lorsqu’il continua:

-J’ai besoin de quelqu’un pour garder la maison et tout le bordel quatre jours. Ensuite je m’absenterais parfois les week end et-cetera. Ce que je te propose c’est que tu viennes vivre chez moi, comme un coloc sauf que tu ne paieras rien puisqu’en échange tu garderas le fauve. Ca t’irait?

J’avalais ma salive, et ma fierté par la même occasion et répondais par l’affirmative.

Vingt minutes plus tard sa voiture ralentissait alors qu’il sortait de la banlieue et entrait sur un chemin de gravier menant à un haut portail fraîchement repeint.

Ce con avait les moyens, et j’appréhendais de me retrouver face à un semi château plein d’objets terriblement kitchs qu’il faudrait dépoussièrer quotidiennement.

-Et… Il a quel âge?

-Lou? Il va avoir deux ans bientôt. Un peu brute, mais pas méchant du tout.

Je souriais:

-Joli prénom.

-Et attends de le voir, une merveille. Un Tchécoslovaque, tu vois le genre?

Je fronçais les sourcils, il avait adopté?

Mon silence parlant pour moi il ajouta:

-Tu sais un berger tchécoslovaque? T’y connais rien en chiens hein?

Je couinais:

-Un chien?

La voiture s’immobilisa devant la maison. Finalement, elle n’était pas si grande, c’était surtout le jardin qui avait des allures de parc.

Il rit:

-Tu croyais quoi? Un môme? Je suis pas assez fou. Mais attends de le voir, c’est une bête magnifique, je l’ai fait venir directement d’un élevage de slovaquie.

Ben voyons, je détestais ces bourgeois avides d’exotisme qui faisaient venir quelque chose de loin sous prétexte que c’était rare et précieux.

Je défaisais ma ceinture, tentant de me reprendre. Pour avoir un toit, du chauffage et presque un boulot à plein temps, je pouvais bien surpasser ma répulsion. Je portais ma main à la poignée de la portière et l’entendis juste murmurer "Ah, le voilà" avant qu’un poids ne s’abatte sur la voiture et que je me retrouve nez à nez avec…

-Mais c’est pas un chien ça putain! M’exclamais en bondissant en arrière, le cul sur le frein à main, le dos collé à Julien qui éclata de rire en sortant de la voiture.

-Mais si, viens! Lou, ôte tes grosses pattes de ma carrosserie si tu veux manger ce soir.

Rapidement il contourna l’auto et attrapa Lou par son collier.

Je sortais finalement et les observais un instant. C’était un loup. Avec un collier. Un putain de loup.

-Les bergers Tchécoslovaques sont des bergers Allemands qui se sont accouplés avec des loups. Ca reste des chiens, le seul trucs, c’est de ne pas reculer, et de rester maitre de soi parce qu’ils ont quand même l’instinct de compétition des loups, mais rien de bien méchant. Tu vois?

Mon cul que je voyais. Quelques heures plus tard j’agitais connement ma main en guise d’au revoir alors que Julien m’abandonnais dans sa maison avec le monstre.

Monstre qui courait actuellement autour de la voiture comme un dératé, voulant sans doute jouer avec son maitre.

Ca aurait pu être mignon s’il avait été un caniche. Ou un truc niais, genre un labrador. Là c’était juste flippant de voir cette bête toute en muscles ouvrir sa gueule pour laisser pendre sa langue, dévoilant des rangées de dents blanches acérées.

Ok, j’exagérais.

Le portail se referma, Lou se retourna dans ma direction, et je reculais dans la maison en fermant la porte derrière moi.

Lou allait passer quatre jours dans le jardin, je lui sortirais sa gamelle quand il ne serait pas trop près de la porte. Voilà tout.

A dix neuf heures, je profitais de la pub dans un programme télé pour aller chercher le paquet de croquettes et remplir une gamelle en inox à ras bord.

Je traversais la cuisine à moitié nu. Il faisait foutrement chaud dans la maison, et je n’avais gardé que mon boxer. Je m’avançais jusqu’à l’entrée et ouvris rapidement la porte pour poser la nourriture de Lou dehors.

Un courant d’air glacé glissa sur mes jambes et je frissonnais. Alors que je me baissais, j’entendis un frottement sur le sol. Je levais les yeux et tombais nez à nez avec Lou.

Magnifique. Effrayant.

Il n’avait pas l’air agressif. Ses grands yeux étaient interrogateurs et je me retenais de reculer trop vite. Je me redressais lentement, ayant lâché la gamelle et détaillais l’animal. Il haletait, ayant dû courir à l’entente de la porte d’entrée qui s’ouvrait.

Il fit quelques pas en avant, en direction de la porte entre ouverte mais je déplaçais mes longues jambes et bloquais l’entrée.

-Non Lou, ta bouffe est là. Tu dors dehors, je suis désolé, c’est une affaire de quelques jours.

Que j’avais l’air con à parler à un chien!

Ce dernier leva la tête vers moi pour me regarder, et son museau cogna ma queue dans un mouvement brusque.

Surpris, je reculais. Merde. Il l’avait pas fait exprès, c’est sûr, mais maintenant, j’avais reculé.

J’étais vraiment con, ma psychose me faisait voir les chiens comme des êtres doués de trop de conscience, de trop d’intelligence, et si j’avais reculé, c’est parce que j’avais pris son geste comme une avance. Ni plus ni moins.

Pathétique. Je vis son regard changer d’un coup, je n’étais plus franchement le maitre à bord, il pouvait y avoir compétition.

D’un bond, je rentrais à l’intérieur et claquais la porte.

Deux heures plus tard j’étais avachi sur le canapé, la main sur la queue devant un magnifique film de boules. Le soumis se faisait prendre frénétiquement par un énorme mec poilu, sa queue sortant et entrant dans son cul dilaté à une vitesse effrayante. Le gamin se faisait projeter en avant à chaque coup de reins, ses traits étaient perdus entre douleur et plaisir et les mains de son baiseur creusaient des sillons dans ses fesses parfaitement rondes.

Le tas de muscles s’affala soudainement sur lui et le soumis ne put que se laisser écraser sous la masse, ses mains agrippant les draps tandis que l’autre lui tirait les cheveux en arrière et le démontait sauvagement.

C’en fut trop je suçais mes doigts et les descendais vers mon cul, m’empalant dessus jusqu’à frotter ma prostate et venir dans ma main.

J’éteignais la télévision avec un sourire satisfait et montais les escaliers jusqu’à une chambre au hasard.

Je m’affalais sur le lit et m’endormis dans mon boxer souillé.

Bien plus tard dans la nuit je me réveillais sur le ventre. Une trique d’enfer me dérangeait.

Je n’avais pas pensé à passer sous les couvertures et mon cul était à moitié à l’air, merde, je comptais pas dormir sur la béquille. Je jetais un coup d’oeil vers la fenêtre et ne vis que l’obscurité. Qu’est-ce qui m’avait réveillé?

Un souffle chaud sur mes cuisses me figea. Une truffe humide plongea entre elles et je sentis une langue râpeuse tremper l’entre jambe de mon boxer, effleurant une de mes couilles qui en dépassait.

Bon dieu. Le chien!

Je bondissais hors du lit et me retournais pour voir l’ombre du loup à quatre pattes sur le lit, sa tête se tourna vers moi et il se mit à grogner.

Comment était-il entré?! Il allait me bouffer, merde!

Je me précipitais dans le couloir et descendais les escaliers quatre à quatre dans le noir. Le bruit de ses pattes sur le parquet se faisait proche et il dévalait déjà l’escalier lorsque j’arrivais en bas.

Je ne savais pas ou aller et je tournais vers la droite, au pif, dans le salon.

Je me pris les pieds dans je ne sais quel putain de coussin et me vautrais sur le sol.

Immédiatement, il était sur moi et je tentais de ramper sur le tapis, tendant mes mains devant moi pour trouver un quelconque objet contondant. Ses crocs se refermèrent sur ma nuque et je me figeais.

Il ne serrait pas.

Enfin pas trop. Juste assez pour faire mal sans me faire saigner.

Ses grognements s’arrêtèrent lorsque je stoppais tout mouvement. Sa gueule me relâchât, et je m’apprêtais à me relever lorsqu’il grogna encore.

Je m’immobilisais à nouveau, et il se tût.

Je sentis son souffle brûlant descendre le long de mon dos nu, jusqu’à mes fesses, je tentais de bouger, il grogna, je stoppais. Ok, j’avais compris le message. Je lui laisserais le temps de faire l’alpha à me renifler partout, et il me foutrait la paix.

Sa truffe creusait un pli dans mon boxer tandis qu’il prenait de grandes inspirations en reniflant mon cul.

Un truc de chien quoi. Je choisis de patienter, mal à l’aise.

Sa langue reprit son travail et il me lécha le boxer, les cuisses, léchant si fort que c’en devenait bon et que le tissu mouillé se déplaçait sur ma peau jusqu’à dévoiler mes couilles. Si j’avais su j’aurais pas mis le dernier des boxers pourri et trop large comme sous vêtement. Sa langue s’infiltrait partout et très vite je me retrouvais entre peur et plaisir à tendre presque mon cul dans sa direction.

Soudain il effleura mon trou, je gémissais et tendis mes fesses vers lui. Il reprit son travail avec plus d’ardeur et je couinais comme la dernière des catins, le cul en l’air. Je n’avais jamais eu de meilleur léchage de cul de ma vie. Pas profond, bien sur mais quand même.

Quelques secondes plus tard, alors que je gémissais d’extase, je le sentis se décoller de ma raie et pris une grande inspiration. C’était fini, je le regrettais presque.

Je me redressais à quatre pattes pour me relever quand je sentis le chien s’abattre sur mon dos.

Je m’écroulais à nouveau, sur les coudes, et le sentis s’agiter sur mon dos.

Oh non. Mes yeux s’écarquillèrent lorsque je sentis une queue gluante de foutre se coller contre ma cuisse, puis contre ma fesse.

Je tentais de me dégager mais ses crocs se refermèrent sur mon épaule avec un grognement menaçant, j’arrêtais de bouger, encore, et mon coeur battait à toute allure. Je n’eus pas le temps de réfléchir que ses grands coups de queue s’approchèrent de ma raie, puis de mon trou, et d’un coup sa queue pénétra en moi. Un tout petit coup de queue, terriblement profond et je criais. Et sa mâchoire se resserra légèrement sur mon épaule et il renfonça sa queue en moi, d’un mouvement brusque. Il était énorme. C’était terrifiant et douloureux. Les deux doigts ridicules du début de soirée se faisaient regretter.

Il délaissa mon épaule et je sentis son souffle dans mon cou tandis que ses pattes avant me ceinturaient et qu’il lançait ses hanches en avant. Sa queue rentra entièrement, et il se mit à faire des mouvements brusques, frénétiques, je criais de plaisir, de peur et de douleur. Ma queue à nouveau raide frottait sur le tapis à chaque coup de rein, et il continua de me piner de plus en plus fort, si bien que des larmes de plaisir et de douleur coulaient sur mes joues. Très vite mes cris devinrent des râles et je me perdais dans les limbes du plaisir qu’il m’offrait.

Soudain je le sentis commencer à grossir, je ne connaissais rien à la zoophilie, et je ne réagis pas. Il continua de grossir et mon cul se faisait littéralement écarteler, il continuait de gicler son foutre à l’intérieur de moi et je me sentais douloureusement rempli. Il fit mine de se retirer et la douleur me fit me cramponner à ses pattes. "S’il te plaît, s’il te plaît", murmurais-je. Ne me déchires pas.

Étonnamment il ne grogna pas, sans doute trop stone d’avoir pris son pied, et je commençais à bouger sur sa queue, savourant ce noeud tellement énorme, et tout ce foutre qui ne pouvait pas sortir.

Les minutes passèrent et je m’essoufflais sur sa bite, son noeud se mit à dégonfler, et il fit quelques tentatives pour se retirer, me tirant par la même occasion en arrière. Puis de plus en plus brusquement, et un éclair blanc passa dans mes yeux alors que je jutais sur le sol tandis qu’il se retirait brusquement.

Mon cul dégoulinait de foutre et il se mit à me lécher, encore et encore, tant et si bien que je m’endormis sur le sol. Soumis, satisfait.

Pas de doute, j’allais rester un bout de temps dans cette baraque.

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