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La face cachée de ma cousine – Chapitre 4

La face cachée de ma cousine - Chapitre 4



Je venais d’entrer dans le bâtiment administratif du lycée. Mon plan devait marcher pour sauver Paul ! Ce nouveau défi me procurait un mélange de sensations composées d’excitation, de nervosité, et de peur.

Au moment de taper à la porte du secrétariat, je sentis mes jambes fébriles. J’avais l’impression de manquer d’air, tellement que mon cur battait de plus en plus fort.

Entrez !

Bonjour Madame, j’aimerais voir le proviseur, s’il vous plaît. Est-il disponible ?

Bonjour, pour quelle raison souhaitez-vous le rencontrer ?

Je souhaiterais lui remettre en mains propres une lettre de mes parents, répondis-je en mentant ?

Asseyez-vous. Veuillez attendre quelques minutes, il est déjà en rendez-vous.

Elle m’observa de la tête aux pieds ! Son regard me mit mal à l’aise. Ai-je oublié de nettoyer des taches suspicieuses ?

Un frisson me parcourut le corps lorsque je vis le surveillant, Steven, sortir du bureau. Il me regarda en passant devant moi. Le proviseur me fit signe et m’invita à le suivre.

Bonjour Mademoiselle, quelle est la raison de votre visite ? Je suis surpris de vous voir, car je viens de m’entretenir avec votre coussin pendant une heure.

Bonjour Monsieur, ah bon qu’est-ce qu’il a fait ? dis-je avec beaucoup d’hésitation.

Malheureusement, je ne peux pas vous en parler avant d’avoir rencontré ses parents.

J’espère que ce n’est pas grave ! répondis-je.

Asseyez-vous Mademoiselle et expliquez-moi la raison de votre visite. Y a-t-il un lien avec la situation de votre cousin ?

Non… Non… je ne sais pas ce qu’il a fait, dis-je, en repensant aux différentes positions sexuelles dans lesquelles j’étais soumise.

Être devant cet homme me fit perdre mon assurance.

Mademoiselle, je vous écoute.

Je ne trouvais plus mes mots. J’étais tétanisée face à lui.

Mademoiselle, j’aimerais bien que vous me parliez, j’ai un rendez-vous dans 20 minutes.

… Je… suis là… pour mon… cousin, dis-je d’une voix très fébrile.

Alors parlez ! Je ne peux rien vous dire tant que je ne me suis pas entretenu avec ses parents.

S’il vous plaît, ne le renvoyez pas du lycée, dis-je sans réfléchir.

C’est facile à dire ! Mais que saviez-vous ? Je pensais que vous n’étiez pas au courant.

Une énergie me parcourut le corps et me donna le courage de me lever de ma chaise. Je m’approchais vers lui en contournant son bureau.

S’il vous plaît, ne le renvoyez pas et n’appelez pas ses parents.

Ce serait difficile de ne pas pouvoir le faire, répondit-il.

Il était surpris par mon comportement, mais il me laissa avancer vers lui. C’était un bel homme, connu pour être charmeur avec les femmes. Ma réputation de fille sérieuse et travailleuse me permit de m’approcher de lui, jusqu’à ce que mes pieds touchassent les siens. Il ne fit aucun mouvement et continua de me regarder avec un air joueur en me mettant au défi d’aller plus loin.

S’il vous plaît, n’appelez pas ses parents !

Pourquoi ?

Je me sentais excitée devant lui. Je vis glisser mes bretelles sur mes bras pour me libérer ma robe. J’étais désormais nue, en string devant lui. Je sentais une bouffée de chaleur me parcourir le corps, mes tétons étaient la preuve de mon euphorie.

Monsieur…, lui dis-je avec mon air coquin.

Son regard inquiet me fit comprendre qu’il n’avait pas imaginé cette situation. Je me sentais sûre de moi et je souhaitais prendre l’avantage dans cette situation. Je venais juste de commencer le show !

Son visage était tétanisé, mais je pouvais déceler une lueur d’excitation dans ses yeux.

Je souris en apercevant la bosse se former entre ses jambes. Je me mis à sucer mon majeur, puis à caresser mes seins et descendis ma main dans mon sous-vêtement. J’accentuais la pénétration de doigt pour le rendre accro.

Je me mis lentement à genoux tout en approchant petites à petit mes mains vers son sexe. Il se laissa faire sans essayer de sortir de cette situation.

Au moment d’ouvrir la fermeture éclair de son pantalon, il me prit les deux mains. Je sentais sa peur prendre le dessus.

Mademoiselle, arrêtez ça immédiatement. C’est un ordre.

Non ! Ce sera notre petit secret ! Je vous laisserais quand vous aurez joui. Je sens que vous en avez envie.

La peur de l’interdit me rendit très désireuse de son sexe. Il était très excité, mais empêché de le montrer vis-à-vis de ses obligations professionnelles.

De quoi avez-vous peur, Monsieur, dis-je en continuant de tenir son sexe à travers son boxer.

Vous êtes une lycéenne et je suis votre proviseur.

Je suis en dernière année de lycée et je suis majeur. Je ne vois pas où est le problème. Nous ne nous croiserons plus dans les couloirs dans quelques mois.

Je suis étonné que vous soyez majeur.

Il continua à me maîtriser et dégagea une main pour consulter mon dossier scolaire sur son ordinateur.

Vous avez raison, vous avez 18 ans depuis 2 semaines.

Êtes-vous soulagé maintenant ? dis-je en retirant brusquement mes mains de son emprise.

Sans aucune hésitation, je les glisserais dans son boxer pour commencer à le masturber.

Mademoiselle, arrêtez cela immédiatement. Vous êtes dans mon bureau et j’ai un rendez-vous dans 10 minutes, dit-il avec difficulté.

Laissez-moi vous sucer, Monsieur ! Je vais vous aider à vous détendre !

Au moment où j’introduis son sexe dans ma bouche, j’ai senti que je venais de franchir la ligne de non-retour. J’ouvris davantage sa fermeture éclair pour libérer l’ensemble de son sexe. Il était différent de celui de Paul, plus long et plus épais. Mes lèvres étaient étirées au maximum pour gober son gland, de l’accueillir complètement dans ma bouche.

Je pouvais sentir qu’il avait abandonné toutes résistances. Je me positionnais de sorte à cambrer mon bassin afin de mettre en évidence mon cul.

J’entrepris plusieurs va-et-vient avec ma bouche.

C’était la première fois que je suçais un sexe d’une personne aussi âgée que mon père. Je ne revenais pas de la tournure de ma journée. Ce matin, je n’avais pas pensé que j’allais faire deux fellations, dont une avec le sexe du proviseur.

Mes mouvements de ma bouche étaient de plus en plus rapides et profonds. Sa verge se contracta sous les mouvements de ma langue. Subitement, son corps se ficha au moment où l’on tapa à la porte.

Nous nous regardions avec stupeur. Il n’y avait aucun endroit pour se cacher. Heureusement qu’il n’y avait pas de fenêtre qui donnait sur le secrétariat.

Prenez votre robe et cachez-vous sous mon bureau et pas un bruit.

Oui, Monsieur.

J’exécutais ce qu’il venait de me dire à contrecur. J’étais cachée, à genoux, nue, en tenant ma robe dans une main. Ma bouche était douloureuse et je fis des mouvements pour décontracter mes joues. J’avais la gorge séchée, j’aurais aimé boire avant de me cacher !

Entrez !

Votre rendez-vous est là, informa la secrétaire. Avez-vous fini avec la jeune fille ?

Oui, elle est déjà partie. Faites-les entrer, svp.

J’attendis des pas s’approcher du bureau. Il devait y avoir deux personnes.

Bonsoir, s’il vous plaît, asseyez-vous. Merci d’avoir répondu aussitôt à mon appel. Je souhaite conclure cet incident avec votre fils le plus rapidement possible.

Bonsoir, Mr le proviseur. Nous avons été curieux de votre appel.

Je reconnus aussitôt la voix des parents de Paul. J’étais effrayée de la situation. J’étais en string, complètement vulnérable sous le bureau du proviseur. La situation devenait irréelle. Seule une planche du bureau nous séparait et me permettait de rester cachée. Je n’avais pas de place pour étendre mes jambes et la chaleur se faisait ressentir. Des gouttes de sueur commençaient à couler le long de mon corps.

Une idée me traversa rapidement l’esprit pour garder cette situation à mon avantage. J’étais la mieux placée pour aider Paul.

Il sursauta lorsque j’ai posé mes mains sur son entrejambe.

Vous allez bien Monsieur, demanda la mère de Paul.

Oui merci, je me suis cogné mon genou.

Il passa une main sous le bureau afin de me faire un signe d’arrêter tout de suite. Je pris son doigt et l’introduis dans ma bouche en guise de réponse. Il le retira brusquement et je compris qu’il était en train de paniquer. Malheureusement pour lui, c’était trop tard pour admettre que c’était une mauvaise idée de laisser ma bouche si proche de son sexe.

Je pris son pantalon avec mes deux mains et le descendis en silence. Je ne sentis aucune résistance de sa part. Avait-il aussi envie de prendre le risque ? ou avait-il peur que je fasse du bruit ? Son attitude devait étonner les parents de Paul. Il n’était plus sûr de lui.

Je vous remercie d’être venues au plus vite, répéta-t-il.

Je vous en prie, nous avons été très surpris par votre appel et par le teint blafard de Paul à la sortie du lycée.

Paul a…

Dès la prononciation de son prénom, j’engloutis son gland. Je faisais des mouvements lents et silencieux. Le gonflement de son sexe m’encouragea à continuer dans ma perversion.

Paul a… Il… Il a présenté… son exposé avec sa cousine, mais le professeur n’a pas trouvé leur oral très bien préparé, dit-il avec difficulté après avoir reformulé sa phrase.

Oh c’est dommage. Il l’a pourtant travaillé sérieusement avec sa cousine, répond la mère de Paul.

J’écoute avec attention la conversation en gardant sa verge en bouche sans bouger.

Je dois vous annoncer que Paul a été absent en cours de français après le repas.

La tournure de la conversation ne me plaisait pas. J’ai recommencé mon mouvement de langue autour de son gland. J’ai essayé de faire une gorge profonde, mais ma position et la taille de son pénis m’empêchèrent de le faire correctement. Cependant je pouvais sentir l’effet que cela lui procurait.

Son sexe avait grossi de volume, ma bouche était remplie par cette verge en ébullition.

Le proviseur avait de plus en plus de mal à parler. Je sentis qu’il allait bientôt éjaculer. Il serra ses genoux contre ma tête pour me stopper dans mon mouvement. Mais son sexe resta au chaud sur ma langue.

Je ne voulais pas qu’il éjacule maintenant sinon je perdais le contrôle de la situation.

Il reprit la conversation avec beaucoup de difficulté. Il était piégé, à la merci d’une jeune lycéenne qui lui faisait une fellation sous son bureau.

Comment allait Paul ce matin ? Est-il malade hier soir ? demanda-t-il.

Le proviseur se perdait dans ses explications, il y avait beaucoup plus de pauses entre ses phrases.

Non, je ne pense pas ? Il a dormi chez sa cousine, répondit le père de Paul.

Pensez-vous qu’il a des problèmes au lycée demanda sa mère.

Le proviseur mit plusieurs secondes pour répondre. J’avais repris la fellation avec des mouvements de plus en plus lents et profonds. Du liquide sortit de son gland et me fit comprendre qu’il allait bientôt éjaculer. La situation me rendait folle, je sentis mon vagin trempé de désir. Je m’y insérai des doigts tout en continuant à le sucer.

J’arrêtai de le sucer quelques minutes pour le laisser parler tout en continuant de me masturber. Du liquide épais sortit de mon vagin et coula le long de mes doigts. Sa texture me fit comprendre que j’étais encore remplie de sperme. Une idée cochonne me vient rapidement à l’esprit.

Je sortis le pénis de ma bouche, l’enduis de ce liquide visqueux et le repris en moi sans faire de mouvement. Cette mixture coula dans ma bouche et le long de ma gorge.

Je pense que je devrais discuter avec votre fils pour vérifier son bien-être au lycée. A-t-il des problèmes pour étudier à la maison ? demanda-t-il.

Non, il est très sérieux. Sa cousine le motive beaucoup.

Je vois.

Son pénis était toujours autant gros et dur. Il était au bord d’exploser. J’étais en admiration de ma folie et de ce membre. Je repris mes mouvements de va-et-vient et j’avalai tous liquides mélangés à ma salive.

J’adorais me sentir libre et gourmande de sexe. Je me sentais tellement dévergondée que je pris sa bite au plus profond de ma gorge tout en enfonçant mon poignet dans mon vagin. J’étais en transe.

Je sentais mon mascara couler sur mes joues par la transpiration. Il faisait de plus en plus chaud sous ce bureau !

Je n’écoutais plus la conversation. J’adorais me sentir soumise par la puissance d’une verge.

Je me suis sentie soulagée lorsque les parents de Paul quittèrent le bureau. Le proviseur avait prétexté une excuse pour ne pas les raccompagner.

Une fois seul dans le bureau, il poussa son fauteuil en arrière et admira avec un sourire de dominateur la vue qui lui était offerte : une lycéenne en string se masturbant en train de le sucer sous son bureau ! Il prit ma tête avec ses deux mains comme s’il avait besoin de me toucher pour comprendre que ce n’était pas un rêve !

Vous êtes une vraie coquine Mademoiselle. Vous n’avez pas arrêté de me sucer depuis 30 minutes !

Subitement, il eut des difficultés pour terminer sa phrase. Il bloqua ma tête et un liquide chaud jaillit dans ma bouche. Je lui laissais admirer le résultat en gardant mes lèvres ouvertes, puis le laissai couler sur son sexe en penchant la tête.

Je pris ma robe, m’essuyai le visage avec et m’habillai.

Ce sera notre petit secret ! Merci d’avoir aidé Paul ! dis-je avec un sourire provocateur.

J’ai quitté le bureau en silence. Il faisait nuit et il n’y avait plus personne dans l’établissement.

J’ai pris le bus pour rentrer chez moi. J’étais épuisée de ma journée.

Mes jambes étaient tremblantes lorsque je franchis le seuil de la maison. J’ai retiré ma robe dans ma chambre et suis partie nue dans la salle de bain sans faire attention si mes parents rentraient.

Je suis restée immobile dans mon bain chaud pendant 1 heure. J’avais besoin de me détendre. Je ne sentais plus mon corps, j’avais mal au coup, à la gorge et à la mâchoire. Je fermai les yeux avec un sourire de fierté.

De retour dans ma chambre, je me suis couchée nue dans mon lit. J’étais trop fatiguée pour mettre mon pyjama. J’ai consulté mes messages avant d’éteindre la lumière. Paul a essayé de m’appeler plusieurs fois et j’ai reçu la confirmation de la réception de mon colis dans le point relais. Avant d’éteindre la lumière, je répondis à Paul pour le prévenir que je l’appellerai demain.

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