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L'éducation de ma fille – Chapitre 1

La ligne ténue de l'équilibre des corps - Chapitre 3



Je m’appelle Lucie, 42 ans et travaille comme secrétaire pour un médecin spécialisé. J’ai perdu mon mari il y a de ça sept ans et depuis n’ai jamais retrouvé d’autre homme, ayant décidé d’affirmer mon homosexualité. Je vis donc seule avec ma fille de 18 ans, Gabrielle. L’histoire que je vais vous raconter est véritable.

Je rentrai du travail vers 18h30 et m’attendais à y trouver ma fille, mais je constatai avec surprise que la maison dans laquelle nous vivions était vide. En fait, seul ma chambre était allumé et, intrigué, je m’y dirigeais après avoir posé mes affaires dans l’entrée. Sans faire de bruits, je poussai la porte et eut un mouvement de recul lorsque j’aperçus Gabrielle, en levrette sur mon lit, en plein ébat avec son petit copain. Aucun des deux ne semblait m’avoir entendu rentrer, ni même remarquer que la porte était entrouverte. Malgré la honte, je restai subjugué par ce spectacle : ma fille avait un corps parfait, une poitrine somptueuse (un beau 95C) et un cul de rêve. Elle avait hérité de mes yeux bleus mais avait les mêmes cheveux bruns que son père (j’avais quand à moi les cheveux blond foncé). Son copain était un beau jeune homme, avec un sexe gigantesque. Il empalait ma fille avec force, lui tirant de profonds gémissements de plaisirs. Celle-ci lui offrait son cul sans rechigner et je me disais qu’elle avait hérité de ma perversité… Quelle salope c’était !

Profitant qu’ils ne m’aient pas encore vu, je passais la main sous ma jupe puis dans ma culotte et commençai à titiller mon clitoris. Je me sentis partir, tandis que je mouillais comme une grosse chienne : voir ma fille se faire baiser ainsi m’excitait incroyablement. Je me doigtai pendant quelques instants, mais bientôt la honte fut plus forte que le plaisir que j’en tirais et j’entrai dans la chambre, feignant la stupéfaction :

« Espèce de porc ! Dans mon propre lit en plus ! Sors immédiatement de chez moi, que je ne te revoie plus ! Et toi, je crois qu’il faut qu’on discute. »

Le malheureux saisit ses affaires et s’enfuit sans un mot, honteux. Ma fille, elle, resta nue sur mon lit, choqué. Je m’assis à côté d’elle, tentant de ne pas trop reluquer son sexe trempé ou ses magnifiques seins et prit la parole :

« Je comprends que tu ais besoin de faire l’amour, à ton âge j’étais comme toi. Mais pas dans mon lit, surtout si tu sais que je vais rentrer !

Oui, je suis désolé maman, mais on n’a pas prévu… Il est arrivé, on a discuté un peu et… Ça c’est fait comme ça, il m’a prise et tu es arrivée.

Ça pour te prendre il t’a prise oui… » murmurais-je, espérant qu’elle ne m’entende pas. Mais bien sûr, c’est tout le contraire qui eut lieu :

« Oh, tu sais, je simulais. En vérité, je ne prends aucun plaisir ou presque à faire l’amour avec des hommes… D’ailleurs, ça m’inquiète un peu. »

Je la regardais, surprise qu’elle se confie ainsi. Mais très vite, je compris de quoi il s’agissait : ma fille était comme moi, lesbienne. Une occasion inespérée.

« Peut-être n’es-tu pas hétéro Gaby.

Bah, j’en sais trop rien, je n’ai jamais essayé avec les filles.

Il faut que tu tentes alors… » Ma voix s’était faite chaude et envoûtante. Je mouillais comme une folle.

Lentement, je passais mes mains sur son corps nus en la regardant dans les yeux.

« Si tu veux, on peut essayer toutes les deux.

Je ne sais pas maman, ce serait de l’inceste… Qu’est-ce que tu fais ? »

Je venais d’introduire un doigt dans son sexe. Elle poussa un petit soupir et je sentis les dernières barrières morales qui l’empêchait d’accepter se briser. Sa main passa sous mon chemisier à la recherche de mes seins, qu’elle malaxa habilement. J’introduis un, puis deux et enfin trois doigt supplémentaires dans sa chatte. Cette cochonne mouillait tellement…

Bientôt, nous nous retrouvèrent toutes deux nues enlacés, prises dans un 69 enfiévré. J’appuyais mon sexe contre sa bouche pour l’inciter à aller plus loin avec sa langue ; je poussais un cri de plaisir lorsque je la sentis explorer mon trou humide. De mon côté, je fis jouer mes doigts sur son clitoris jusqu’à ce qu’elle jouisse. Comme une grosse salope, je bus sa mouille et peu de temps après, sa langue de rêve m’offrit un orgasme à mon tour. Transpirantes, nous partirent prendre une douche toutes les deux et nous passèrent finalement la nuit ensemble.

Par la suite, nous réitérèrent cette expérience de nombreuses fois et aujourd’hui encore, nous continuons à nous faire du bien ensemble.

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