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Les actrices – Chapitre 5

Les actrices - Chapitre 5



Ce soir-là, je suis resté jusque relativement tard chez moi, avant de retourner au gîte. En arrivant, je remarquai l’absence de la voiture des harders, ils avaient dû repartir en début de soirée. La journée avait dû être fatigante pour ces demoiselles, la salle principale était dans le noir, ainsi que la cuisine. Par contre, quelques chambres étaient encore allumées. Afin d’être le plus discret possible, je suis rentré par la cuisine et me suis dirigé vers le salon. En entrant dans la pièce, deux bruits caractéristiques m’interpelèrent. Tout d’abord quelqu’un nageait dans la piscine, et ensuite quelqu’un baisait dans la chambre des techniciens.

La tentation du voyeurisme fut trop forte et je me dirigeai silencieusement vers l’endroit d’où venaient les petits cris étouffés. Une chambre était entrouverte, je me risquai à jeter un coup d’il. Je vis sans trop de surprise Chloé en train de chevaucher Julien et de s’en donner à cur joie. Julien lui caressait les hanches, tout en l’encourageant à aller du plus en plus fort. Ses superbes seins dansaient littéralement, et Julien abandonnait les hanches de temps à autre pour les malaxer. Je restais deux, trois minutes à les observer lorsque j’entendis Julien pousser un râle bestial typique du mec qui vient de se vider. Chloé accueilli la semence en elle avec un large sourire, je la soupçonne d’avoir eu un orgasme à ce moment.

Elle venait à peine de se faire remplir la chatte que j’entendis quelqu’un que je n’avais pas encore vu dire "A moi maintenant. Contre le mur, ma salope". Aussitôt, Chloé se plaça face au mur, appuyé les mains à plat et la croupe en arrière, et Fred apparu dans mon champ de vision, bandant comme un âne, pour venir enculer sans ménagement la jeune femme. J’ignore si elle avait eu le temps de se préparer ou si elle avait déjà reçu une bite dans le cul depuis le début de la soirée, mais Fred, pourtant bien équipé, rentra sans aucune difficulté et commença aussitôt à la pilonner. Chloé haleta en rythme, et pour exciter encore davantage son partenaire, vint chercher avec ses doigts le foutre de Julien dans sa chatte, avant de les lécher très sensuelle juste devant son amant du soir. Celui-ci, surexcité par la situation, pilonnait le cul de Chloé avec de plus en plus de force, tout en abreuvant la demoiselle d’injure en tout genre. A cette cadence, il ne fut pas long à se répandre dans les entrailles de la jolie rousse, qui de nouveau accueilli le foutre avec un grand sourire.

Je laissai là mes trois compères, non sans avoir remarqué que Fred avait dû envoyer une sacré quantité de sperme vu le flot qui s’échappait du postérieur de Chloé, et je me dirigeai vers la piscine. J’étais vraiment curieux de savoir qui se baignait à cette heure-ci, d’autant que pendant les quelques minutes où j’étais resté près des chambres, le baigneur n’avait pas arrêté de nager. Je découvris alors que le baigneur était une baigneuse, Jade, la seule actrice d’origine asiatique du groupe. Elle devait mesurer un peu moins de 1,60 mètres pour 45kg au maximum, avec un corps tout en finesse et en délicatesse, avec des muscles bien dessinés. Ses cheveux aussi noir que les plumes d’un corbeau, longs et ondulés, tenaient plus de la crinière que de la chevelure. Sa fausse poitrine lui conférait un 85D, certes pas forcément très impressionnant mais qui s’harmonisait bien avec sa superbe silhouette.

En arrivant près de la piscine, je vis tout de suite que Jade nageait nue sur le dos, enchaînant les longueurs. Je me dissimulai du mieux que je pus afin de profiter du spectacle, la vue de cette sculpturale naïade flottant dans l’eau provoquant chez moi une grande excitation et surtout une puissante érection. Lorsque la jeune femme commença une nouvelle longueur qui l’éloigna de moi, je me déshabillai totalement et me glissai dans l’eau de manière à me placer sur le trajet de ma jolie baigneuse. Ne m’ayant pas vu, elle termina sa longueur dans ma poitrine, ce qui la surprit un peu. Elle se reprit très vite et, face à moi, elle me sourit tendrement, et s’immergea totalement. J’eus à peine le temps de me demander ce qu’elle faisait que, la tête sous l’eau, elle commença à me sucer. De toutes les aventures sexuelles que j’ai pu vivre au cours de cette semaine de folie, cette pipe sous-marine est sans conteste la plus marquante que j’ai pu connaître. Déjà que Jade était tout aussi doué que ses amies pour la fellation, c’était bien la première fois que je me faisais pomper par quelqu’un dont je ne faisais que deviner la silhouette.

La sensation était sublime, d’autant plus que la charmante asiatique profitait de ses reprises de souffle pour venir me lécher le torse ou m’embrasser tendrement.

Me sentant venir, j’attrapai ma partenaire sous les bras et, d’un mouvement ample facilité par l’eau, je la soulevai hors de la piscine pour l’assoir sur le rebord. Sa chatte ainsi placée à la hauteur de mon visage, je commençai un délicat cunnilingus, léchant méticuleusement son abricot et explorant sa grotte d’amour du bout de ma langue. Je ne saurais dire pourquoi, il m’était impossible de faire quoi que ce soit avec Jade qui ne soit pas tendre et délicat. Je m’appliquais donc, m’employant à lui donner le maximum de plaisir. Je pris mon temps, tout devait être parfait. Ma douce compagne se cabrait de plaisir, poussant des soupirs de satisfaction, jusqu’à avoir le souffle coupé lorsque vint l’orgasme. Je continuai malgré tout mon exploration, prolongeant ainsi sa jouissance.

Souhaitant à présent passer à l’étape au-dessus, je quittai l’entrejambe de Jade, je sortis de l’eau, j’étalai une serviette au sol et l’invitai à me rejoindre. Elle s’allongea alors sur le côté, je me plaçai derrière elle un bras sous sa nuque, et, guidant mon sexe vers le sien, je la pénétrai en cuillère, tendrement, centimètre après centimètre. Mes allers-retours se firent alors amples et profonds mais assez lents, tandis que je profitai de ma position pour lui caresser les seins. Très vite, Jade se cambra pour mieux recevoir ma verge, poussant régulièrement de petits soupirs de bonheur. La lenteur de mes mouvements me permit de garder le rythme pendant de longues minutes, pour le plus grand bonheur de ma jolie brune, qui eut à trois reprises le souffle coupé, signe chez elle d’une jouissance profonde.

Après le troisième orgasme, Jade se retira de ma bite et se laissa glisser totalement dans la piscine. Lorsqu’elle reparu à la surface, elle me regarda tendrement, tout en arborant un étrange sourire. Rapidement je compris l’origine de ce sourire, elle était en train de se masturber sous l’eau. Fortement excité par cette découverte, j’entrai à mon tour dans l’eau et vins me placer derrière la jeune femme. Celle-ci retira sa main de sa chatte, s’appuya sur le rebord carrelé, et sembla attendre la suite des évènements. La suite ne se fit pas attendre, et je me mis à la limer comme précédemment, en levrette et sous l’eau, les mains accrochées à ses seins. C’était bien la première fois que je baisais une fille dans l’eau jusqu’à la poitrine, la sensation était curieuse mais très agréable. J’avais l’impression de venir cogner au ralenti contre les fesses de ma partenaire. D’ailleurs, celle-ci prenait elle aussi visiblement son pied, si j’en juge par le rejet de sa tête sur un côté, m’offrant sa nuque à embrasser.

Je continuai ainsi à pilonner ma belle asiatique, caressant ses seins et mordillant sa nuque. Je ne lui ai jamais demandé si cette baise aquatique avait été pour elle l’assouvissement d’un fantasme, mais en tout cas elle y prit beaucoup de plaisir. Je crois n’avoir pas eu souvent une partenaire ayant autant d’orgasmes à la suite, mais il est vrai que nous sommes restés ainsi pratiquement quinze minutes consécutives. A chaque jouissance, elle avait le souffle coupé, le retrouvant juste après. De mon côté, je m’étonnais un peu de ma résistance, mais adoptant un rythme lent et m’étant vidé les couilles toute la journée, c’était compréhensible. Je me suis donc contenté de profiter de l’instant, baisant, caressant et embrassant. Lorsque je fus sur le point de venir, je n’eus pas besoin de dire quoi que ce soit, Jade le ressentit elle-même. Elle me repoussa, se retourna vers moi et s’immergea la tête sous l’eau pour venir gober mon chibre, et recevoir ma semence dans la bouche. J’avoue que je n’avais jamais pensé à éjaculer dans la bouche d’une fille lorsque celle-ci était sous l’eau, mais c’est une expérience que je renouvellerai dès que possible.

Je vidai avec délectation mon sperme sur sa langue, qu’elle avalait au fur et à mesure. Lorsque j’eus fini, elle me donna encore quelques coups de langue sur le gland puis refit surface avec un sourire éclatant.

Depuis un jour et demi que je baisais à couilles rabattues, j’avais déjà réalisé quelques exploits personnels et quelques premières. Avec Jade, je venais d’en réaliser plusieurs en un coup. Tout d’abord, nous avons fait l’amour pendant près de 45 minutes, la plus longue durée depuis le début. Ensuite, bien que possédant une piscine, c’était la première fois que je sautais une fille dans l’eau. Enfin, et surtout, c’était la première fois et la seule à ce jour, que je me faisais sucer sous l’eau avec éjaculation buccale en prime. Et pour couronner le tout, je venais de me rendre compte que nous nous étions envoyés en l’air pendant trois quarts d’heure sans échanger une parole. C’était très étrange comme sensation, mais somme toute pas désagréable.

Après Cet exploit, Jade et moi sommes sortis de l’eau et somme passés à la douche. Une fois terminé, la jolie brune ne pris même pas la peine de se rhabiller, et c’est totalement nue qu’elle se dirigea vers sa chambre. Je fis de même, après tout presque toutes m’avaient vu à poil, je n’allais pas devenir pudique après les avoir sauté. Arrivé dans la chambre, nous nous somme couchés directement totalement nus, trop fatigués pour envisager de recommencer une séance de baise. Le sommeil vint rapidement, malgré la chaleur de la chambre.

Je me suis réveillé brutalement, avec un terrible soif, la chambre encore plongée dans le noir. J’attrapai mon téléphone, 3h30 du matin! Flûtes, j’aurais dû boire avant de me coucher. Je me levai donc, non sans admirer au passage le sublime postérieur de Jade endormie à mes côtés, et je descendis à la cuisine, sans prendre la peine de m’habiller, vue l’heure. En arrivant dans le salon, sachant la lumière assez forte, j’ai préféré ne pas l’allumer pour ne déranger personne. De ce fait je n’ai pas vu que quelqu’un sortait de la cuisine, et je l’ai percuté, heureusement sans gravité. La personne a poussé un petit cri de surprise, et j’entendis un objet tomber au sol. A la voix, je reconnu Mélanie, et en regardant au sol, je vis un livre clairement plus épais que celui qu’elle lisait la veille.

– Oh pardon je ne t’avais pas vu, m’excusais-je. Toi non plus tu ne parviens pas à dormir?

— Non en effet, me répondit-elle avec un grand sourire, j’ai trop chaud. J’en ai profité pour venir boire un peu d’eau et pour lire un peu, en espérant retrouver le sommeil.

En disant cela, elle se pencha pour ramasser le livre. C’est à cet instant que je remarquai qu’elle aussi était totalement à poil.

– Elle te plait, ma petite bibliothèque, on dirait. Tu aimes vraiment lire.

— Oui, J’adore ça, c’est cette passion qui m’a partiellement orientée pour le choix de mes études.

— A ce propos, il y a une question que je voudrais te poser. Tu as fait des études, alors comment es-tu devenue actrice porno?

Elle me raconta alors son calvaire. Elève studieuse, elle passa brillamment une licence de psychologie, finissant major de sa promotion. Au cours de ses études, elle tomba éperdument amoureuse d’un beau jeune homme, pour qui elle quitta famille, amis et études pour le suivre loin. Un fois seule avec lui, le prince charmant devint crapaud et la descente commença. Il exigea tout d’abord qu’elle se plie à ses désirs sexuels, allant jusqu’à lui demander de se faire refaire le corps, poitrine en tête. Puis, il l’emmena sans lui demander son avis dans des boîtes échangistes et des clubs à partouze, l’obligeant à baiser avec d’autres hommes, qu’elle le veuille ou non. Enfin, il mit en scène ses ébats, les filmant et commercialisant les vidéos. Par amour, elle accepta tout, jusqu’à ce qu’il lui fasse comprendre qu’il allait à présent faire venir des hommes à la maison pour qu’ils puissent la troncher, tout en faisant payer le prestation. Que son homme devienne son mac et elle sa pute fut le truc de trop, et elle quitta le domicile en laissant tout derrière elle.

Ayant dès lors besoin d’un travail immédiat, et ayant grâce aux vidéos quelques références dans le métier, elle se résolut à aller voir un producteur porno qui l’embaucha aussitôt.

Lorsqu’elle eut fini son discours, elle avait les larmes aux yeux. Très ému par son histoire, je la pris dans mes bras, la serrant très fort contre moi. Elle me rendit mon câlin, et nous restâmes quelques instants ainsi, serré l’un contre l’autre. Au bout d’un moment, je sentis les mains de Mélanie caresser mon dos et mes épaules, ce qui me procura un frisson et me fit bander comme un âne. Je commençai à faire de même, laissant mes mains s’égarer jusque sur ses fesses, et profitant de ma position pour l’embrasser dans le cou. Dans un soupir très sensuel, elle se cambra alors, rejetant sa tête en arrière, me permettant de l’embrasser sur la gorge et sur le haut de ses seins, un bras derrière les épaules et l’autre au creux de ses reins. Tandis qu’elle s’accrochait à mes épaules, je me montrai très tendre et très doux, la couvrant de baiser pour son plus grand bonheur.

Au bout de quelques instants, elle se dégagea de mon étreinte, vint se mettre accroupi devant moi et commença à me sucer, avec toute la science qui m’avait fait grimper au plafond la veille au soir. De nouveau, ce fut divin, je me délectais de chaque coup de langue, de chaque mouvement de lèvre sur ma verge, caressant sa chevelure châtain. Elle allait et venait, empoignant ma bite de sa main, se faisant une gorge profonde de temps en temps. C’était dur de ne pas venir tout de suite.

J’eus à un moment la curiosité de voir ce qu’elle faisait de sa main libre. C’est alors que je vis qu’elle se masturbait allègrement, s’introduisant régulièrement un doigt dans la chatte. Cette vision me donna comme un coup de fouet, et je décidai de passer à l’action. Je mis fin à la pipe, j’entrainai Mélanie jusqu’à la table du salon, sur laquelle je l’aidais à s’asseoir. Ainsi à bonne hauteur, je me plaçai entre ses jambes et j’introduisis sans attendre mon membre dans son orifice, tandis qu’elle refermait ses jambes derrière mes hanches et s’accrochait à mes épaules. Instantanément, j’empoignai ses jambes et je commençai à la limer dans des mouvements très amples et percutants, ce qui lui déclencha aussitôt un haletant très rythmé. A chaque coup de rein, son corps ondulait mais cela ne devait pas vraiment lui plaire car très vite, elle préféra s’allonger de toute sa longueur, en allongeant bien ses bras, s’abandonnant ainsi à ses sensations.

Dans cette nouvelle position, elle connue très vite un premier orgasme, qui la fit tout d’abord frémir de tout son corps, avant de lui provoquer des spasmes nerveux qui lui firent pousser un petit cri. Complètement en transe, elle recevait mes coups de boutoir avec délectation, goutant chaque mouvement que j’accompagnai soit de caresses des hanches soit de caresse des seins. Les orgasmes commencèrent à s’ajouter les uns aux autres, le fruit de sa jouissance commençant même à se répandre hors de sa chatte, s’écoulant sur les cuisses et sur les fesses. En un peu plus de dix minutes, ce furent trois ou quatre jouissances successives, chacune accompagnée de spasmes que je ne lui connaissais pas.

Les fesses de la jeune femme ayant été convenablement et naturellement lubrifié, je me retirai de ce vagin très accueillant, je demandai à ma partenaire de se retourner et de se coucher à plat ventre sur la table, les jambes au sol. Elle se plaça alors de manière à m’offrir au mieux sa croupe, et, dans cette position, je n’eus aucune difficulté à l’enculer, et à commencer à lui limer le postérieur. Presque immédiatement, elle se redressa, ma bite toujours en train de lui percuter les fesses, attrapa mes cuisses et me demanda de l’accrocher par les seins. Cette position me paraissait un peu acrobatique, d’autant qu’elle avait toujours les hanches appuyées sur la table. Cependant, cela semblait lui plaire et je dois avouer que j’étais assez excité par la situation. Je me mis donc à entreprendre plus fortement la sublime brune, faisant claquer mes cuisses sur son cul à chaque mouvement. Elle accompagnait chaque claquement par un "Oui" bref, jusqu’à me faire entendre un "Ouiiiiiiiiiiiii!!!" langoureux, signe d’une jouissance annale intense, ce que confirmèrent ses ongles en me griffant les jambes.

Afin qu’elle puisse se remettre de ses émotions, je commençai à ralentir le rythme, mais contre toute attente, elle m’ordonna de continuer comme avant, tout en lui malaxant son énorme poitrine. Je repris donc mon action, percutant avec entrain sous les encouragements de Mélanie. Au bout de quelques instants, la demoiselle délaissa mes cuisses pour s’appuyer sur le rebord de la table d’une main, et pour se masturber de l’autre, introduisant un ou deux doigts dans sa chatte. Voyant cela, mon excitation grimpa encore d’un cran, et je me mis à claquer plus fort mes cuisses contre les siennes, lui caressant longuement les seins et lui mordillant la nuque en prime. Le halètement rythmé de la jolie brune trahissait le pied immense qu’elle prenait, et eut une conclusion en apothéose, lorsqu’elle connut un deuxième orgasme annale, si intense qu’elle dû s’appuyer de ses deux mains sur la table pour ne pas chuter au sol.

Cette deuxième jouissance eut raison de mon endurance et, me sentant venir, Mélanie se dégagea, se mit à genou devant moi, et sans attendre goba ma verge. N’y tenant plus, j’envoyais toute la semence dans sa bouche, semence qu’elle avala goulument et entièrement avec un grand sourire. Incapable de se relever et totalement hors d’haleine, la jeune femme resta au sol, et se traina jusqu’au canapé pour s’y adosser. Ayant moi aussi quelques difficulté pour rester debout, je vins m’assoir près d’elle, lui offrant mon épaule pour s’appuyer, ce qu’elle accepta.

– Putain, quel pied. C’est la première fois que je jouis deux fois du cul en une sodomie, j’en rêvais depuis longtemps.

Décidément, Samia avait raison j’allais assouvir pas mal de fantasme avec ces demoiselles, les leurs comme les miens. Ainsi, même si ce n’était pas à proprement parlé un fantasme, je venais de remplir deux bouches successivement, à la satisfaction de leur propriétaire. Mélanie et moi sommes restés ainsi quelques instants, à reprendre notre souffle.

– Tu devrais peut-être retourner dormir, tu es épuisée, lui demandai-je, la voyant s’endormir sur place 

— Oui, je devrai. Tu couches avec qui ce soir?

— Avec Jade. Mais on a baisé dans la piscine pas dans le lit – ah, ça, Jade et la piscine Elle aurait pu devenir championne de natation sans une blessure à la jambe et la descente qui a suivi. La faute au médecin qui l’a soigné, elle te racontera peut être. En attendant, demain matin, réveille là en l’enculant, elle a toujours rêvé de se faire sodomiser sans savoir qui la lui mettait.

Je regardai l’heure, 4H30. Demain matin va vite venir, j’avais hâte d’appliquer ces précieux conseils. En attendant, j’aidai Mélanie à se relever et, ce faisant, je me suis retrouvé face à face avec elle. Sans trop y réfléchir, la situation aidant, nous nous sommes enlacés tendrement et nous avons échangé un long baiser. C’était certes la première fois que j’embrassais une femme qui venait d’avaler mon foutre, mais surtout j’étais bien obligé d’admettre que quelque chose de plus fort qu’une simple envie de me vider les couilles était en train de naitre entre Mélanie et moi.

Après ce langoureux baiser, je l’ai raccompagné dans sa chambre où je l’ai embrassé une dernière fois, avant de retourner dans la chambre de Jade. La jolie asiatique dormait nue sur le côté, les draps rejetés au bout du lit sans doute à cause de la chaleur. Je décidai de m’accorder du repos avant de l’honorer à la manière conseillée par Mélanie, et je me mis au lit, la tête remplit de pensés relatives à mes sentiments naissants pour Mélanie et les divers hypothèses concernant mes parties de jambes en l’air du lendemain. Sur ces agréables pensées, je fini par trouver le sommeil.

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