Histoires de non consentement Histoires de sexe arabes Histoires érotiques au travail

ma fille sa copine et moi – Chapitre 2

ma fille sa copine et moi - Chapitre 2



Depuis deux ans, ma femme ma quitté pour un saltimbanque et je vis seul avec ma fille ! Et depuis ce moment, celle ci ma un peu forcé la main pour faire delle une femme à part entière

Chaque fois que je visionne un film x, elle sarrange pour me surprendre et pour me solliciter de linitier à certaines scènes quelle voit.

Tous mes efforts pour linciter à trouver un jeune garçon sont vains. Dernièrement, un soir, je lentends gémir, des halètements de plus en plus rapprochés accompagnés dun ronronnement bizarre. Un peu inquiet, je me suis approché de sa chambre, dont la porte nest jamais fermée, pas plus quelle ne ferme celle des WC lorsquelle va faire pipi. Elle continue alors à me faire la conversation et je peux entendre le gazouillis de sa petite fontaine. Ce soir-là, quand jarrive devant sa chambre, jai pu voir ma fille senvoyer en lair avec un vibro ! Jai doucement fait demi-tour.

Quelque part, je me suis senti soulagé. Peut-être allait-elle me lâcher un peu.

Le lendemain, lobjet trône bien en évidence sur la table de nuit.

Quelques jours plus tard, elle rentre. Cest le soir et je regarde la télé. Elle passe derrière moi, en compagnie dun jeune homme. Enfin ! me dis-je.

Le garçon me lance un bonsoir timide, auquel je réponds, et ils disparaissent dans sa chambre. Serait-elle sur la bonne voie ?

Elle ressort aussitôt pour venir me demander :

— Tu le trouves comment ?

— Très bien, ma chérie. Passe une bonne soirée.

Elle me fait un bisou et elle disparaît. Jentends bientôt de petits rires et je suis heureux pour elle. Ensuite, plus rien… Les choses doivent avancer…

Tu parles ! Presque en courant, le garçon sort de la chambre, à moitié habillé, et il claque la porte en sortant.

Je ne vais pas tarder à savoir ce qui sest passé. Vêtue seulement de sa petite culotte, ma fille surgit et elle se blottit contre moi, Elle me lance :

— Vraiment trop nul !

— Que sest il passé ?

— Ce con, à peine lui ai-je touché la queue quil a déchargé partout dans mes draps ! En plus, elle est toute petite ! Pourquoi y a-t-il tant de différence avec celle-ci ?

Et elle passe une main par le pan de ma robe de chambre pour se saisir de ma queue, qui bande évidement dans la seconde. Je proteste doucement :

— Laisse-moi, enfin !

— Parce que tu crois que je vais dormir dans mon lit ? Dans létat où il me la mis… Ce soir, je dors avec toi En plus, touche ! Il ma trop excitée, cet imbécile !

Elle met ses talons sous ses fesses et elle écarte les genoux.

— Touche ! Tu vas voir que ma culotte est mouillée… J aimerais bien une petite levrette, moi, ce soir Allez ! Enlève-la moi, mamour…

Une fois de plus, je cède, japproche ma bouche du tissu effectivement bien mouillé et son parfum de jeune femelle excitée menivre. Je dégage le slip pour poser mes lèvres sur sa chatte en chaleur. Ma langue ne rencontre aucune difficulté pour senfoncer dans le vagin déjà ouvert.

Autour de mon cou, elle fait un nud de ses jambes, en soupirant longuement :

  – Oh oui ! Cest merveilleux ! Lèche-moi encore…

Deux minutes plus tard, sa mouille minonde la bouche, tandis que ses cuisses se resserrent autour de ma tête.

Elle retombe, apaisée, allongée sur le canapé, et elle demande :

— On va se coucher ?

— Si tu veux, dis je en soupirant. Elle a réussi à obtenir de moi sa levrette

Le week-end suivant, cest une copine quelle a invité à dormir à la maison, une belle fille brune, qui contraste avec la blondeur de ma fille.

Je ne les pas vues beaucoup. Elles sont restées dans la chambre pendant toute la soirée, et, toujours avec la porte fermée.

Il y a eu des rires, des soupirs, des cris de surprise ou de joie pendant deux heures. Puis je nai plus rien entendu.

Lorsque je suis allé me coucher, obligé de passer devant leur chambre, jai vu que la lumière était allumée et, sur le lit défait, jai aperçu deux jeunes corps enlacés, cheveux blonds et bruns mélangés, seins contre seins, jambes emmêlées. Elles étaient entièrement nues et elles dormaient Une vue irréelle que jai admirée un instant. Le vibro gisait à leur côté. Jai éteint et jai fermé la porte.

Le lendemain matin, elles arrivent à la cuisine, en tee-shirt et en petite culotte. Elles ne sont aucunement gênées si les pointes de leurs seins cherchent à percer le tissu. En revanche, les yeux sont cernés. Elles me font la bise et ma fille me demande :

— Nous navons pas fait trop de bruit hier soir, papa ?

— Non, pas du tout. Je nai rien entendu.

Ma fille a eu un petit sourire complice.

Une fois la copine rentrée chez elle, ma fille vient me voir et elle me dit :

— comment la trouves-tu ?

— Ta copine ?

— Eh bien, oui…

— Elle est très jolie. Mais la plus belle, cest toi.

— Cest très bien que tu la trouves jolie… Parce quil va falloir que tu la dépucelles…

— Quoi ? Tu es folle ! Quest-ce que cest encore que cette invention ?

— Eh bien, voilà. Elle sest rendue compte que je ne suis plus vierge…

— Ah ? Et alors ?

— Rassure-toi. Je nai pas dit que cest toi qui as

— Heureusement !

Je lui ai dit que cétait un copain à toi qui mavait draguée et je me suis laissée faire… Jai aussi dit que je nai pas été déçue, loin de là… Jai aussi essayé de le lui faire avec Firmin, mon vibro, mais elle a refusé. Pas question avec un bout de plastique ! Surtout que je lui avais bien expliqué la douceur dune queue…

— Mais, en admettant, comment me ferais-je passer pour un copain ?

— Facile ! Jai tout prévu ! Jai réussi à la convaincre que, le moment venu, elle aurait les yeux bandés. Fais-moi confiance… Et puis, elle a trop envie dy passer !

— Je le sens très mal

— Maos non ! Ça va aller. Tu as trois jours pour ty faire. Lorsquelle viendra, tu seras parti et lorsquelle sera prête, je tappellerai sur ton portable. En réalité, tu attendras sagement dans ta chambre…

Elle a encore une fois eu raison de ma qualité de mâle

Le soir dit, je me suis retiré dans ma chambre, je les ai entendues arriver et, peu de temps après, les gloussements ont commencé. Elles ont beaucoup parlé, et mon téléphone sest enfin mis à vibrer Moi aussi, par la même occasion !

Quand jarrive dans la chambre, les deux filles sont nues et la copine a les yeux bandés. Elle est allongée, les bras en croix, les jambes à peine écartées. Elle attend le sacrifice

Je mallonge prés delle, ma bouche vient aspirer un téton bandé, son corps se cabre en arc de cercle sous la surprise, puis elle se relâche en soupirant, légèrement inquiète

Je caresse son corps en décrivant des cercles de plus en plus grands, pour finalement atteindre son pubis. Les cuisses souvrent comme par magie, tandis quelle murmure le prénom de ma fille, qui lui tient la main. Mes doigts fébriles séparent les lèvres de cette petite chatte, qui sont mouillées. Ma bouche quitte les seins pour embrasser millimètre par millimètre la peau soyeuse. Ma langue vient remplacer mes doigts. La jeune copine soupire daise et elle souvre au maximum.

Ma fille lembrasse sur les lèvres en lui murmurant des mots tendres, pendant que je la lèche. Très vite, elle jouit sous ma langue. Avec deux doigts, je commence à élargir son petit tunnel. Ma fille lui dit :

— Dis quand tu es prête…

— Je Je suis… Je suis prêtemaintenant

Je viens me placer entre les cuisses, je lui soulève le bassin et, dune main, je présente mon gland turgescent à lentrée de la grotte bouillante, dont les chairs sont refoulées au fur et à mesure de ma poussée. La copine ouvre largement la bouche, mais aucun son nen sort…

Très vite, je sens l obstacle. Sans attendre une contraction de refus, je pousse dun coup sec ma queue au fond du vaginEt voilà ! Elle est femme ! A peine un faible cri et, tout de suite, des soupirs de satisfaction fusent de sa bouche, tandis quelle magrippe entre ses bras pour mattirer plus profondément en elle.

— Oh ! Sapristi, que c est bon ! Continue… Encore !

En appui sur mes bras, je tète ses seins et jintensifie la puissance de mes va-et-vient

La fille jouit en hurlant de bonheur, ce qui déclenche aussi ma jouissance. Elle me griffe lorsquelle sent les giclées percuter le fond de sa chatte.

Lorsque ma queue se retire toute seule hors de ce vagin bouillant, je me laisse tomber sur le coté, ce que je naurais pas dû faire. Jaurais dû quitter immédiatement la pièce parce que la fille revient à elle et elle retire aussitôt son bandeau Elle sexclame :

— Je ne m était pas trompée ! Jai tout de suite deviné que cétait vous…

— Quoi ? Mais comment ?

— Par les descriptions qui mont été faites, jai reconnu votre parfum…

Je suis si sidéré que je ne sais quoi dire. Mais la copine me rassure :

— Rassurez-vous. Ce secret restera toujours entre nous… Et je vous remercie davoir fait de moi une femme, dans la douceur. Vous m avez fait un bien fou…

La copine se tourne alors vers ma fille :

Merci à toi aussi, ma chérie, mais noublie pas que jai accepté à condition queVois-tu ce que je veux dire ?

— Tout à fait et je compte bien réaliser çà maintenant.

— Tu es prête ?

Avant que je naie le temps de réaliser, la copine vient souplement sinstaller à califourchon sur ma figure. Sa moule dégouline sur ma bouche au point que je ne peux plus bouger. Je sens ma fille venir sur moi et, avec sa bouche, elle redonne vite de la vigueur à mon chibre. Elle se le met bientôt dans la chatte, mais elle se retire aussi vite pour ajuster mon gland sur sa petite rondelle. Je minquiète :

— Tu es folle ! Que fais-tu ?

— Papa, jai juré que si elle perdait son pucelage, je perdrais aussi mon deuxième pucelage.

— Mais tu va avoir mal, chérie !

— Ne tinquiète pas. Je me suis entraînée avec Firmin…

Je sens son anneau souvrir lentement, ma bite entre doucement dans létroit conduit, tandis que la moule qui est collée sur mon visage déverse doucement son nectar dans ma gorge. Je le bois avec délices

Les deux filles sont soudées par la bouche et elles se caressent mutuellement les seins. Je nai aucun effort à faire, tandis que les deux petites salopes se régalent. Avec ma langue, je nettoie du mieux que je le peux la moule ouverte. Un long moment passe avant que la jouissance ne les rattrape à nouveau et bientôt elles me libèrent.

Leur mot de la fin a été :

— Nous ne te lâcherons pas tant quil ny aura pas ici une femme à demeure

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire