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Maman lesbienne – Chapitre 7

Maman lesbienne - Chapitre 7



Ce lundi je retournai en cours et me levai de bonne heure. Même si elle ne travaillait pas ce lundi, maman se leva pour déjeuner avec moi. Nous reparlâmes de notre journée de la veille en nous promettant de recommencer le dimanche suivant si le temps le permettait. Nous échangeâmes un doux baiser sur la bouche et je quittai la maison.

Dans la journée, une douleur au ventre me rappela ma condition de femme. Ce nétait pas nos jeux amoureux qui en étaient la cause, mes règles allaient simplement arriver. Quand jétais en couple avec mon ancienne copine, cette période était peu propice aux ébats sexuels. Avec maman, je ne sais pas comment cela se passerait, mais je ne tarderai pas à le découvrir, surtout que nous avions peu de décalage et elle allait les avoir aussi dans quelques jours. Avant de rentrer à la maison, je marrêtai chez un fleuriste pour acheter un petit bouquet.

En rentrant à lappartement, je loffris à maman en lembrassant tendrement et lui révélant tout lamour que javais pour elle. Les larmes aux yeux, elle membrassa encore plus fort. Nous étions bouleversées par lamour qui se dégageait de notre relation, même si pour linstant cela paraissait très sexuel. Nous nous connaissions si bien depuis le temps et cela avait été une révélation. Maman me trouva un peu pâle. Je lui avouai que mes règles nallaient pas tarder à débarquer. Elle me donna un cachet contre le mal de tête. Je lui souris, la pris par la main et déposa un baiser sur ses lèvres qui se transforma rapidement en un baiser torride.

Ma tante, la sur cadette de maman, était passée à la maison dans laprès-midi. Bien entendu, rien navait filtré, la pauvre aurait été outrée dapprendre cela. Elle était mariée et avait deux enfants, un garçon et une fille. Mes cousins étaient plus jeunes que moi et nous nous entendions bien, sans plus. Par contre, jadorais sa maison située près du Castellet, avec un beau terrain et surtout une piscine dont je profitais à chaque fois que jallais la voir. Il fallait que lon reste discrètes vis-à-vis de la famille.

Notre soirée se déroula chastement. Nous parlions de nous, de notre avenir. Maman me dit quelle comprendrait très bien que, si je rencontre une jeune femme qui me plaisait, je veuille arrêter cette relation contre nature. Je la rassurai, lui avoua que jétais la plus heureuse en ce moment et que jaimerai que cela dure éternellement si elle le souhaitait aussi. Je mis une serviette hygiénique et nous filâmes au lit.

En passant, je pris un petit plug dans larmoire. Javais gardé ma culotte, maman était nue comme dhabitude quand nous étions seules à la maison. Nous nous câlinâmes un long moment, nous embrassant, nous caressant. Mes doigts effleuraient son doux minou. Depuis que nous étions épilées, le contact était encore plus excitant. Je léchai ses seins, pris un téton dans ma bouche et la téta comme un enfant, mordillant légèrement. Ma bouche parcourut ensuite son ventre et ma langue trouva enfin son petit bouton déjà tout dur. Je le dégustais, fouillant chaque recoin de son puits damour avec ma langue.

Jai toujours eu une passion pour lécher mes copines, mais linterdit de la relation avec maman décuplait ce délice. Je profitais pleinement de sa chatte et de cette mouille qui envahissait mon visage. Je la dégustais. Je saisis le plug et le plaça devant son petit trou lubrifié par la mouille qui dégoulinait dessus. Délicatement je lintroduisis dans son anus jusquà ce quil reste bloqué dedans avec sa forme particulière. Je pus ensuite me consacrer à sa chatte offerte. Mes doigts la pénétrèrent et, pour que cette caresse soit complète, ma langue soccupa de son clito. Pendant de longues minutes je lui fis lamour ainsi. Notre union était fusionnelle et je ressentais chaque mouvement de son caresse en réponse à mes caresses. Son plaisir monta graduellement jusquà exploser dans un cri quelle ne put contenir et qui me ravit.

Maman se leva pour enlever le plug dans la salle de bain et se nettoyer. Elle revint dans la chambre. Elle était belle dans la lumière diffuse. Elle avait un corps très féminin, beaucoup plus que le mien que je trouvais maigre et pas assez formé. Je la pris dans mes bras quand elle sallongea à mes côtés. Nous nous endormîmes ainsi.

Les jours suivants furent assez calmes sexuellement, beaucoup plus tendres. Nous nous rendions compte de lamour qui se dégageait de notre relation. Maman eut ses règles deux jours après moi, ce qui ne nous empêchait pas des bisous et des caresses. Le dimanche suivant, nous avons essayé de trouver un autre endroit pour être tranquilles. Nous trouvâmes un champ, mais les hautes herbes étaient désagréables. Nous passâmes cependant la sieste tendrement enlacées à nous câliner amoureusement. Nous étions moins paisibles que dimanche dernier et il y avait un peu de passage sur une route à une centaine de mètres. Nous retournâmes à la maison en fin daprès-midi pour enfin pouvoir nous lâcher pleinement.

Mes règles étant enfin terminées, je pus profiter pleinement de nos jeux de pénétration. Installées dans le salon, maman avait été cherché quelques godes et les avait posés sur la table basse. A genoux sur le tapis, le buste reposant sur le canapé, jattendais avec impatience la suite des évènements. Elle me caressa le dos, puis les fesses avant que ses doigts commencent à me pénétrer doucement. Je frémissais de la sentir ainsi en moi. Je mouvrais un peu plus à ses câlineries. Elle remplaça ses doigts par le plus petit des godes. Elle neut pas besoin de le lubrifier car je mouillais beaucoup. Je le sentis rapidement au fond de ma chatte, entrer et ressortir. De son autre main, maman me titillait le clitoris ce qui amplifiait mon plaisir. Au bout de quelques minutes, maman choisit un gode nettement plus gros mais qui ne tarda pas à se retrouver bien au chaud. La sensation de dilatation de ma chatte était vraiment agréable. Je me mordais les lèvres.

Je demandai à maman de mintroduire un gode encore plus gros. Je ne voyais pas celui quelle présenta à lentrée de mon vagin, mais le bout me semblait assez énorme. Voyant quil ne passerait pas aussi facilement, elle le lubrifia largement et le représenta devant ma chatte. Dune douce poussée, elle commença à linsinuer en moi. La tête dans les bras, je profitais pleinement. Javais limpression dêtre déchirée, pourtant petit à petit le gode arrivait au fond de moi. Maman accéléra le mouvement. Je me sentais remplie. Je voulais jouir. Je lui dis « prends-moi avec ta main ». Je ne savais pas si elle y arriverait, mais jétais copieusement excitée et je voulais avoir un orgasme très fort. Elle ne se fit pas prier. Lubrifiant largement sa main, trois doigts se trouvèrent rapidement en moi.

Avec mes mains, jécartais lentrée de mon vagin pour faciliter laccès. Doucement, elle força lentrée de ma chatte avec tous ses doigts. Je poussai un cri lorsque sa main franchit enfin les muscles de mon vagin. La douleur mêlée de plaisir était forte. Maman voulut arrêter. Je lui dis de continuer car je sentais que jallais jouir. Dune main sur mon clitoris, je le caressais pendant que maman me remplissait complètement. Lorgasme que je ressentis me fit presque tomber dans les pommes. Cétait ce que javais connu de plus fort jusquà présent. Avec précautions, elle retira sa main. Je mécroulai, de fatigue et de plaisir. Elle me rejoignit sur le canapé pour un long câlin emmêlé de baisers fougueux. Je comprenais mieux ce que maman ressentais quand je lui faisais même si elle était beaucoup plus large que moi. Malgré la douleur que je ressentais à lentrée de mon minou, je me promis de recommencer.

A suivre

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