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Mamans piégées – Chapitre 2

Mamans piégées - Chapitre 2



Chapitre 2 : Orgasme sous la tente.

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Son père coupa le moteur. Les voilà enfin arrivés au "Camping des Petits-Plaisirs". Après des heures d’embouteillages en cette fin de mois de juillet, Jacques (son père), Nadine (sa mère), et lui-même (Tony) sortaient de la voiture pour se dégourdir un peu les jambes. La canicule les avait poussés à trouver un camping pour une semaine sur la Côte d’Azur, histoire de profiter un peu de la mer. Tony, à 19 ans, regrettait amèrement de ne pas être resté chez lui avec ses potes pour faire la fête. Mais ses parents avaient tenu à ce qu’il vienne avec eux. Il espérait au moins trouver une fille avec qui s’envoyer en l’air toute la semaine…

Son père travaillait dans une entreprise de télécommunication, et sa mère était secrétaire chez un notaire de Paris. De taille moyenne, brune, elle pouvait se vanter d’être très bien conservée. Elle avait eu Tony très jeune : elle avait ainsi 37 ans, une poitrine très fournie, des fesses fermes et un ventre plat. Inutile de préciser qu’elle attirait le regard des hommes, tous âges confondus.

Ils trouvèrent rapidement l’emplacement qui leur était dédié et montèrent les deux tentes : une pour Tony et l’autre pour ses parents. Ils se couchèrent assez tôt, éreintés par le voyage.

Le lendemain, Tony se leva assez tard, en fin de matinée. Sa mère lui avait laissé un mot sur la table : "Papa fait les courses et je suis à la plage. Bisous, maman". Il se dit qu’un bain de mer lui ferait du bien, et se dirigea vers la plage. Il repéra quelques filles de son âge, plutôt sexy, mais rien d’exceptionnel. Il vit sa mère, allongée sur le ventre, en train de lire un livre. Elle avait détaché ses bretelles de maillot pour ne pas avoir de trace de bronzage. A quelques mètres de là, un groupe de types un peu plus jeunes que lui, qui devaient avoir 18 ans, la regardaient avidement. Il leur lança un regard noir, et s’assit près de sa mère.

"- Bien dormi?, demanda-t-elle en souriant

— M’ouais ça va… C’est bruyant un camping…

— Je sais, mais c’est quand même sympa de pouvoir se baigner au réveil non?

— Ouais ouais, répondit Tony. Mais avec tous ces connards de puceaux qui te matent, ça m’énerve plus qu’autre chose…

— Surveillez votre langage jeune homme, rétorqua-t-elle en rigolant. Tu sais, à mon âge, c’est plutôt flatteur. Et puis il suffit de ne pas y faire attention et de se détendre.

— Hum…"

Les jeunes le regardaient d’un air moqueur. Nadine, dos au groupe, ne pouvait pas voir ce qu’ils faisaient. Ils ne se privèrent pas de faire des gestes obscènes dans sa direction, notamment en imitant une fellation de manière ostentatoire. Ils étaient au moins cinq, et Tony n’osa pas aller les corriger, bien qu’il en mourrait d’envie. Il décida de les ignorer et partit se baigner.

Ils rentrèrent et retrouvèrent Jacques, qui préparait à manger. Après un bon repas, Nadine décida d’aller de nouveau à la plage, encore une fois seule, puisque Jacques préférait faire une bonne sieste, et Tony faire un tour du camping.

L’après-midi passa paisiblement et ils se retrouvèrent en début de soirée pour dîner.

Alors qu’ils étaient au dessert, celui qui semblait être le meneur du groupe de jeunes, brun et plutôt beau gosse, passa devant l’emplacement, se dirigea droit vers Nadine, et déclara :

"- Hey Nadine, j’espère que tu seras encore là pour la soirée de départ de Samedi !"

Tony faillit s’étrangler avec son yaourt.

"- Bien sûr, nous ne partons que Dimanche, répondit-elle avec sympathie.

— Génial, bonne soirée alors!" Et il s’en alla.

Jacques s’exclama en riant :

"- Dis moi, tu perds pas de temps pour connaitre des gens toi ! Une journée et un jeune te tutoie déjà !

— Oui, j’ai discuté avec lui à la plage tout à l’heure, et tu sais comment son les jeunes, ils tutoient vite, s’amusa-t-elle. D’ailleurs, tu pourrais sympathiser avec lui Tony ! Finalement vous avez le même âge ! Rappelle-toi : il s’appelle Jordan"

Tony, encore sous le choc, répondit un "oui peut-être" sans conviction.

La journée suivante fût assez similaire à la première, et celle d’après tout autant. Il semblait cependant à Tony que sa mère passait pas mal de temps avec le dénommé Jordan. Il les croisa ainsi plusieurs fois, riant de concert. Quand il fît remarquer cette complicité quelque peu étrange à sa mère, elle lui répondit :

"- Tu sais, ton père n’aime pas trop sortir, tout comme toi d’ailleurs. Au lieu de passer la journée à la plage toute seule, ce qui est assez ennuyant, je discute avec Jordan. Il est très gentil tu sais? C’est un brave garçon !"

Le jeudi, soit quatre jours après leur arrivée, Tony décida de rejoindre sa mère à la plage. Il la vit seins nus, sur le dos, en train de papoter avec Jordan. Ce dernier prétexta une tâche assez urgente, et s’éclipsa avant l’arrivée de Tony.

"- Maman ! Qu’est ce que tu fous sans haut de maillot?

— Je bronze ! , s’exclama Nadine. Pourquoi te mets-tu en colère?

— Mais je t’avais jamais vue le faire avant ! s’écria Tony.

— C’est normal, j’osais pas… Mais après avoir discuté avec Jordan, c’est vrai que c’est mieux de ne pas avoir de marque de bronzage, tu comprends…"

Tony fulminait. Sa mère exposait sa poitrine -soit dit en passant magnifique- aux yeux de tout le monde parce qu’un connard lui avait conseillé. De colère il préféra s’en aller.

Le vendredi matin, il se leva tôt. Son père partit en ville, pour faire des courses, envoyer des cartes postales etc etc… Il ne reviendrait sans doute pas avant midi. Sa mère préféra dormir un peu. Tony décida donc d’aller prendre un bain matinal, histoire de se rafraîchir les idées. Quand il revint, Nadine n’était plus là. N’étant pas d’un naturel inquiet, il se dirigea vers les douches. Un peu avant de les atteindre, il reconnu les voix de Jordan et de sa mère. Il s’approcha donc en douce pour essayer de voir ce qu’ils faisaient. Il reçut un véritable choc.

Sa mère essayait divers sous-vêtements et demandait l’avis de Jordan. Il attendait dehors pendant qu’elle enfilait un string violet, ou un soutif noir, voire même un porte-jarretelle hyper sexy. Les douches étaient désertes et heureusement. Jordan ne se privait pas de commentaires :

" Ouah celui-là est parfait pour tes fesses ! On t’a déjà dit que ta paire de seins est splendide?"

Et Nadine qui répondait des "merci" un peu gênés, bien qu’elle soit très flattée.

Tony, encore sous le choc, préféra revenir à l’emplacement des tentes. Sa mère arriva une demi-heure plus tard, un grand sac dans les bras. Il n’osa pas demander ce qu’il y avait dedans. La journée passa lentement, et ils se couchèrent tôt en prévision de la soirée du lendemain.

Au réveil, en ce samedi matin, Tony était plutôt content. Demain ils se barreraient définitivement de ce camping de fous et la vie reprendrait son cours normal. Nadine partit faire la vaisselle de la veille alors que Jacques feuilletait son journal en sirotant son café. Tony, lui, suivit discrètement sa mère pour la surveiller. Perdue dans ses pensées alors qu’elle faisait machinalement la vaisselle, elle ne vit pas Jordan se faufiler discrètement derrière elle. Une décharge électrique parcourut le corps de Tony alors que Jordan empoignait les fesses de sa mère d’une main et un sein de l’autre en s’exclamant :

"- Alors ma poule, bien dormi ?!"

D’abord surprise, Nadine lâcha un verre qui alla se briser dans le lavabo. Puis, ils éclatèrent de rire, et se firent la bise, comme si de rien n’était. Le moral de Tony retomba à 0. Comment sa mère pouvait-elle croire que ce n’était qu’un jeu? Comment pouvait-elle être aussi naïve? Incroyable. Jordan demanda de nouveau confirmation pour la soirée, puis s’en alla, non s’en mettre une petite claque sur les fesses de Nadine.

La journée passa comme toutes les autres, même si l’appréhension de Tony grandissait au fil des heures. Il avait peur pour cette soirée. Il arriva à convaincre son père de venir avec eux, ce qui le soulagea quelque peu.

Vers 22h, ils se dirigèrent tous les trois vers le bar en plein air du camping. Il y avait là une centaine de personnes qui dansaient, toutes générations confondues.

Jacques et Nadine partirent danser en amoureux, alors que Tony préférait s’affaler au bar et boire une bière. Plus tard, il vit revenir son père, transpirant, qui s’assit à côté de lui.

"- Pffou, je sais pas d’où ta mère tire toute cette énergie, mais moi j’en peux plus", s’exclama t-il.

Il commanda une vodka pure, qu’il descendit d’un trait.

"- Vas y doucement pap’", conseilla Tony

Son père lui répondit par un geste de la main agacé.

Tony se leva, et essaya de repérer sa mère dans la foule. Il la vit danser au milieu de plusieurs hommes, qui s’étaient ruer dessus dès que Jacques était parti. Néanmoins Tony ne repéra pas Jordan, et il se détendit quelque peu. Il voulait se trouver une fille pour la soirée. Il se mit alors en chasse.

A 1h du matin, après une chasse infructueuse, au milieu d’une foule ayant diminuée de moitié, il chercha sa mère des yeux. Elle dansait un slow… avec Jordan. Et de là où il était, il pût voir que les mains de ce petit con étaient pratiquement sur les fesses de Nadine. Une jeune fille s’approcha de Tony et lui proposa de danser. Il accepta, mais continua de surveiller Jordan de loin. A la fin du slow, sa mère dit quelque chose à l’oreille de Jordan qui sembla déçu, lui fit la bise et partit en direction de l’emplacement des tentes. Tony jubilait. "Prend ça dans ta gueule p’tit puceau, c’est comme ça qu’on apprend la vie".

Vers deux heures du mat’, Tony laissa sa cavalière, et se dirigea vers le bar, où il retrouva son père, un peu éméché, en pleine discussion passionnée avec le serveur. Il lui dit que Nadine était partie dormir, et lui conseilla de la rejoindre.

"- J’arrive, bientôt… Marc, ressers moi un verre s’il te plait !"

Tony quitta la fête et se dirigea vers les tentes. Il fit le moins de bruit possible, pour ne pas réveiller sa mère, et se glissa dans son duvet.

Une vingtaine de minutes plus tard, incapable de trouver le sommeil, il entendit son père ouvrir la fermeture de la tente de ses parents.

"- Mon chéri c’est toi?", demanda Nadine.

Aucune réponse. Juste un bruit de duvet et de fermeture glissière qu’on referme.

"- Tu sens l’alcool. T’as pas trop bu au moins? Attends j’allume… Mais.. Qu’est ce que…?"

Puis Tony puis entendre son père embrasser fougueusement sa mère. Du moins, les bruits de sussions le laissaient deviner. La tente semblait pas mal remuer, comme si sa mère voulait se débattre. Parfois un mot ressortait :

"-Mais… Attends non… Ne… Je… Mariée… humpf"

Durant 10 minutes, la tente remuait de toutes parts, avec toujours ces bisous langoureux, bien que sa mère n’avait pas trop l’air d’en avoir envie. De temps en temps, il semblait à Tony, qu’un habit devait être enlevé. La braguette de son père s’ouvrit, sa mère se débattit encore plus.

"- Humpff… Arr… Huuuumpff"

Tony en eut marre d’entendre ses parents faire des trucs, sortit discrètement de sa tente et se redirigea vers la fête. Il ne restait plus beaucoup de monde. Il s’assit près d’un homme qui semblait endormi sur le comptoir.

"- Mais… PAPA?"

C’était son père qui décuvait l’alcool qu’il avait ingurgité.

Mais si ce nétait pas lui dans la tente… c’était… JORDAN ! Il n’y avait pas une seconde à perdre, il se rua vers la tente. Mais une dizaine de mètres avant de l’atteindre, il fût plaqué au sol, ligoté et bâillonné par les types de la bande à Jordan. Ils rigolèrent, le placèrent dans des buissons en s’assurant qu’ils pouvaient bien voir la tente, et s’assirent près de lui en contemplant le spectacle.

Sa mère devait encore se débattre, vu comme la tente bougeait. Quoique… c’était assez régulier… et une sorte de "plic plic" remplaçait désormais les bisous. Par moment, un "clac" sonore, proche du son d’une fessée, retentissait. Enfin, il avait l’impression que sa mère… gémissait. Oui elle gémissait. Tony bouillait de rage, mais ne comprenait plus rien. C’était impossible qu’elle puisse prendre du plaisir à se faire baiser par un mec de 18 ans. De là où il était, il pouvait même entendre les commentaires de Jordan :

"- Aaaaah tu m’auras bien chauffé cette semaine… Je sais que t’attendais que ça… Tu l’aimes ma bite? 19 cm à 18 ans, ça te plait? Je savais que la levrette te plairait"

"- Humpff… Je… "

"- Je suis content que ton mari soit un sale alcoolique. Au moins il partage sa femme. Le pire c’est que je suis sûr que lui, il utilise des capotes… Moi je vais tout faire pour que tu tombes enceinte…"

"-N… Non… Ah… Pas… Pas ça !"

A ce moment là, la fermeture éclair souvrit brusquement, et il sortit sa mère dehors. Elle portait la jupe noire et le soutien-gorge rouge qu’elle mettait toujours pour dormir, le soutien-gorge dans le but d’empêcher ses seins de trop tomber en vieillissant. Elle se débattit à peine. Il la mit debout, la plaça près de la barrière qui délimitait l’emplacement, la plia vers l’avant, et souleva sa jupe. Elle attrapa la barrière, et poussa un petit cri alors qu’il la pénétrait d’un coup. Ses couilles tapaient contre les fesses de Nadine, et il attrapa ses cheveux pour qu’elle se cambre bien. Tony vit, des buissons dans lesquels il était attaché, sa mère gémir de plus en plus fort.

"- Je… Arrê..te… Mon fils… mon mari… huuuumf…. aaaaah…"

"- T’inquiète pas pour ça, tout est arrangé… Han.."

Il la pilonna plusieurs minutes ainsi. Heureusement, dans l’obscurité, personne ne les vit s’envoyer en l’air. Personne sauf Tony.

"-En fait… Han… Ça mexcite de te baiser dans la tente de toi et… han… de ton mari…", ricana Jordan.

Il attrapa Nadine, dégrafa son soutien-gorge d’une main experte, l’accrocha à la barrière, et poussa la mère à Tony dans la tente. Il referma la fermeture. Apparemment, elle tenta de se dégager cette fois. Peine perdue, Jordan reprit facilement le dessus. La tente s’agita de nouveau à un rythme régulier. Il devait la prendre en missionnaire, avec les jambes sur ses épaules, car la tente était un peu déformée vers le haut et menaçait de se décrocher. Tony avait perdu tout espoir. Cette fois-ci, sa mère semblait prendre part à l’acte, plus que toutes les fois où Tony l’avait entendue avec son père. Elle s’abandonnait à ce jeune qui pourrait être son fils ; elle devenait sa femelle, et semblait jouir de cette humiliation. L’énorme sexe de Jordan lui donnait des sensations qu’elle n’avait jamais connues. Les cris qu’elle commençait à pousser étaient ceux d’une femme soumise.

"-Ahhh… Ouiiii… Humpfff… Oui…

-T’aime cette position hein? C’est pas ton misérable mari qui te donnerait autant de plaisir hum?

-Encore…. Oui… prend moi Jordan… OUI…

— Han j’vais te faire venir comme jamais… han…

-Plus fort ! OUI COMME CA ! Là… Oui… Continue je vais venir… AH…"

Tony n’en revenait pas… Sa mère… Sa propre mère… Elle allait jouir à quelques mètres de lui, dans la tente familiale… Et c’était la bite d’un p’tit merdeux qui s’agitait dans son vagin… Et le pire dans tout ça, c’est qu’il en bandait comme jamais. Nadine atteint un orgasme surpuissant, alors que Jordan la remplissait de semence.

"-ENCORE… ENCOOORE…. OUUUUI LA JE VAIS… VENIR… OUI AAAAH… OUUUUUUUUUUI ! AAAAAAAAAAAAAAAH !

-HAN NADINE…. HAAAAAA"

Puis plus rien. Pendant 5mn, les respirations se calmèrent. Un des quatre mecs qui avaient attaché Tony alla discrètement chercher le soutif, partit quelques minutes plus loin, puis revint avec le soutien-gorge maculé de sperme et un bout de papier épinglé dessus. Il alla le remettre à sa place en souriant aux autres.

La fermeture glissière de la tente s’ouvrit, dévoilant, dans la pénombre, l’intérieur complètement dérangé. C’était probablement pour rafraichir un peu l’air qu’ils l’avaient ouverte. La mère de Tony était en train de se positionner sur Jordan pour le chevaucher. Ce dernier, juste avant, qu’elle ne s’empale, referma la tente, alors que Nadine poussait un long râle de plaisir. Et voila que la tente remuait de plus belle, et que le ciel palissait progressivement.

Comment avait-il pu s’endormir? Tony ne savait pas. Peut-être était-ce le choc. Quoiqu’il en soit, il devait être 7h, et il n’était plus attaché. Il se leva péniblement et s’approcha de la tente. Sur la barrière, le soutien-gorge était accroché avec un message : "Jordan est passé par ici". Quelle bande de connards. Il arracha le soutien-gorge, et partit prendre une douche. Sur le chemin il croisa son père, qui se dirigeait vers la tente tel un zombie. Il avait dû dormir sur le bar.

Au retour sa mère avait laissé un message : "Partie prendre un bain, bisous !"

Son père, pour décuver, décida d’aller la rejoindre, accompagné par Tony. Sur la plage, ils ne la trouvèrent pas. Jacques ne s’en ému pas, et partit se baigner. Mais Tony revint vers les tentes. Sa mère ne s’y trouvait pas. Dans le doute, il voulut aller vérifier si la voiture était toujours garée à l’écart, dans un endroit que leur avait conseillé un vieux du coin et qui leur évitait de payer un parking. Elles étaient bien là. La voiture et sa mère. Ainsi que Jordan. Et, vu comme la voiture bougeait, et aux gémissements qui en sortaient, ils devaient bien s’amuser, à l’intérieur.

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