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Mes chères cousines – Chapitre 4

Mes chères cousines - Chapitre 4



Il était 15 heures, la même journée que les évènements précédents cependant, j’avais eu le temps de me remettre de tout ça et m’étais presque habitué aux envahissantes attentions qu’Emma et Léa m’imposaient et j’avais même pris part à leur petit jeu en les repoussant sadiquement et de manière aléatoire pour les voir se vexer et ensuite venir les taquiner pour raviver leur guerre de territoire, territoire que je représentais et malgré l’ambiance enfantine une vraie tension sexuelle s’en dégageait, certainement dû au fait que mon fantasme et une nymphomane se voulait un jeu de possession, à celle qui se frottera le plus à moi, après réflexion le combat semblait plus de nature animale qu’autre chose.

Le temps fila rapidement malgré le peu d’activités qui s’offraient à nous, découverte d’anciens albums de photos plus ou moins gênantes, action ou vérité décevant ou bien discussions en tous genres sur le canapé, cependant l’ambiance était toujours agréable et l’heure de dire au revoir à Léa était venue.

Je la suivis à l’extérieur de la maison et elle ne manqua pas de me peloter les fesses pendant que je lui fis la bise ce qui ne me déplut pas, d’autant plus que mes cousines n’avaient pas eu la foi de venir braver le froid. Malgré mon incapacité à réagir aujourd’hui je comptai bien sur le fait que la prochaine fois qu’on se reverrait, je ne me laisserai pas faire et je la soumettrai à mes tortures.

Une fois à nouveau dans la maison, j’aurai pensé qu’Emma en aurait fini de cette guerre et en aurait conclu que, étant chez elle, je lui appartenais davantage mais elle prit goût à mon contact direct et me le montra à plusieurs reprises.

Mon parrain rentra enfin de son travail ce qui ravit mes cousines, qui s’empressaient de lui préparer le dîner, non pas dans un esprit de pseudo-obligation d’être les seules femmes de la maison mais par pure générosité. (Ce qui m’étonna étant donné que leur père ne refusait à aucune dépense pour ses princesses) Mes cousines étaient merveilleusement bien éduquées par leur père mais possédaient un caractère assez trempé pour mettre à mal tous les clichés misogynes que véhiculaient les anciennes façons de penser que leur père pouvait parfois appliquer. Je les rejoignis à la tâche et moins d’une demi-heure après, le repas était sur table.

La soirée s’avança quand nous avons décidé de faire une partie de Monopoly dans ma chambre, seule chambre qui avait une table basse sans désordre. La partie s’éternisa, comme souvent avec ce jeu, et arrivée l’heure de minuit Julie alla se coucher tandis qu’Emma partit prendre sa douche, en attendant je m’appliquai à ranger le jeu et le replacer sur l’étagère du salon tout en remarquant que mon parrain était déjà couché depuis un moment. Quand Emma libéra la salle de bains je pris ma douche rapidement puis enfilai un simple caleçon comme pyjama pour aller rejoindre mon lit.

En entrant dans ma chambre je découvris Emma recouverte de mes draps dans mon lit, étonné mais pas déçu pour autant je m’allongeai de l’autre côté du lit pour ne pas la déranger ce qui fut loin d’être le cas car, quelques secondes après, elle se colla contre moi en passant sa main au-dessus de mon torse dénudé.

Emma était devenue après tous ces évènements, ma petite protégée, bien que nous eussions presque le même âge, sa taille, sa beauté presque angélique et sa naïveté bienveillante me donnait envie de veiller sur elle et la chérir comme une princesse.

La nuit fut étonnamment belle quand on savait que c’était la première fois que quelqu’un dormait avec moi en me collant, jusquà ce qu’une envie pressante ne vienne me tirer du lit à 4h30 du matin.

J’enlevai son bras, à moitié engourdi par le réveil, et retirai la couverture pour me lever, après mêtre soulagé et violemment désengourdi de mon sommeil par le luminaire agressif des toilettes, je rentrai sans un bruit dans ma chambre pour ne pas réveiller ma petite princesse qui dormait profondément.

Je m’assis sur le lit et l’observai quelques minutes, elle portait une fine nuisette opaque décorée de quelques fleurs qui se déformaient au gré de ses courbes.

Son bras droit était le long de son corps et le bras gauche, le plus proche de moi, était replié vers son visage, j’effleurai ses doigts fins et dénués de tout défaut sans réactions.

J’enlevais mon caleçon et, pris d’une peur qu’elle se réveille et me voie nu à côté d’elle, mon excitation monta et s’empara de mon corps. Je continuais d’examiner le corps inerte d’Emma qui avait le visage serein et la bouche légèrement ouverte qui laissait couler un trait de salive, je passais mon doigt le long de sa bouche et de sa joue délicatement puis l’appliquai sur mon gland.

Le décolleté de sa nuisette se terminait après sa poitrine tout en restant serré, ses seins étaient maintenus par un soutien-gorge couleur chair, j’écartais son décolleté pour enlever le soutient gorge gauche et ainsi, dévoiler son sein qui, malgré sa taille était divinement dessiné, son téton fin et endormi gisait au sommet.

Sa nuisette épousait parfaitement sa taille fine de ballerine, son os pelvien demeurait comme deux îles désertes sur son bassin qui s’interrompait par les vaguelettes de sa nuisette entre ses cuisses, légèrement écartées, qui n’étaient que très peu couvertes par son tissu qui s’arrêtait qu’environ 5 centimètres plus bas que son entrejambe. Mes doigts passèrent sur ses cuisses, fines et douces, pour descendre jusqu’à ses mollets imberbes pour enfin m’arrêter sur ses mollets et y arrêter mes doigts. Je me penchai au niveau de ses cuisses pour tenter d’épier le moindre centimètre de son anatomie, après tout, elle avait essayé de posséder pour elle seule toute la journée (et y était finalement arrivée), j’avais bien le droit de faire mienne son anatomie pour une nuit. Je plaçais mon doigt en dessous de sa nuisette pour la relever lentement sur sa peau, chaude et douce, mon doigt passa sur sa culotte puis s’arrêta sur ses sensuelles îles désertes que je venais fouler par mon désir et conquérir.

Sa culotte se retrouva en face de moi, creusée par les lèvres de son vagin, souvenir qui sétait dissipé depuis l’an dernier et qui m’appelait maintenant. Son vagin formait une bosse à sa base je me mettais à quatre pattes, la main qui continuait à nourrir mon excitation et mis ma tête au plus profond entre ses cuisses entrouvertes que j’avais légèrement écartées. Sa culotte rose, visiblement bien serrée, s’engouffrait entre ses fesses et des vaguelettes se formaient à l’endroit où se trouvait son anus.

Avec une délicatesse et une lenteur que je sus préserver de mon excitation, je pris l’un des côtés de sa culotte pour la coincer sur le côté, les rayons de lune vinrent illuminer ses lèvres serrées qui en leur fente, cachaient une autre fente plus rosâtre et luisante, j’approchai mon nez de ses parties intimes pour y découvrir une nouvelle odeur enivrante celle de ma petite-cousine, j’insufflai longuement son odeur jusqu’à en avoir les poumons pleins, comme drogué par son odeur. En dessous de son vagin siégeait son tout petit anus ridé sur les bords.

Incapable de résister à la tentation, de ma main qui maintenait mon excitation, je plaçais un peu de liquide qui sortait de mon pénis puis passais mon doigt entre ses lèvres extérieures pour les écarter en mon passage, je faisais glisser mon doigt, humidifié par ma présemence, délicatement sur son vagin jusqu’au clitoris qui durcissait malgré le sommeil profond dont elle était sous l’emprise, je redescendis vers l’entrée de son vagin que j’atteignais en écartant ses deux lèvres internes, je pénétrai son vagin d’une phalange, son anus se serra, je ressortis mon doigt pour lécher ce doux breuvage.

Je m’amusai avec son vagin pendant près de 20 minutes pour finalement éjaculer abondamment sur ses cuisses et son vagin, je retirai le gros de ma semence et décidai de remplacer la salive que je lui avais prise par quelques gouttes de ma semence, j’appliquai mon doigt sur ses lèvres et regardai ma semence couler dans sa bouche, par réflexe, sa langue passa sur sa lèvre puis elle avala tout le liquide tout en humidifiant ses lèvres. Une fois revêtu de mon caleçon, je déposais mes lèvres contre les siennes, humides et douces, puis plaçais ma main sous sa taille pour me rallonger, peu après elle venue replacer son bras contre moi et se tourner complètement vers moi en plaçant sa jambe pliée sur moi.

Le réveil fut assez matinal puisquaux premiers rayons de soleil qui pénétraient la chambre, Emma, étonnamment matinale, grimpa sur moi, somnolente, plaça ses genoux à mi-chemin de mes cuisses et s’allongea sur moi, les bras au-dessus de mes cheveux, déposa un long baiser sur ma joue et blotti sa tête dans mon coup.

J’émergeai lentement de mon sommeil dans les bras de ma douce princesse en plaçant ma main sur le bas de son dos et, de l’autre bras, l’englobai en haut du dos jusqu’à arriver, malencontreusement, sur le bord de son sein gauche, ni moi ni elle ne voulions réagir puis elle s’assoupit légèrement sur moi.

Voulant lui faire un massage du dos, je relevais sa nuisette jusqu’en haut du dos en me rappelant que, dans la nuit j’avais bien remis son soutien-gorge et sa nuisette en place mais pas sa culotte, pris d’un sentiment à la fois de peur et d’excitation, je tentais de contenir mon pénis de grossir mais je dus commencer à faire s’aventurer mes doigts dans le bas de son dos pour ne pas qu’elle remarque mon pénis déjà bien gonflé contre son entrejambe.

Le simple fait de faire glisser mes doigts eut un effet immédiat sur Emma et un long souffle chaud sur mon cou et un frisson chaud s’empara d’elle, son corps se plaqua contre le mien et par conséquent, son vagin découvert se plaqua à mon pénis raidi contre mon bassin.

Emma ne réagit pas et continua de succomber au passage de mes doigts qui se firent de plus en plus amples et confiants parcourant tout le long de son dos et dépassaient sur ses fesses.

Après une bonne heure de massages et de câlins, elle se redressa, faisant bouger son vagin sur mon pénis couvert par mon caleçon, posa ses mains sur mon ventre et me fit un sourire très large et mignon et se leva à côté de moi.

Elle me demanda, amusée, de ne pas regarder et qu’elle allait se changer, ce que je ne fis pas.

Elle se tourna vers la vitre, prit un nouveau soutien-gorge et une nouvelle culotte, semi-transparente, puis des vêtements propres pour enfin enlever les sous-vêtements qu’elle portait, dont sa culotte qui était toujours de côté, en se penchant pour récupérer ses vêtements à terre, je pus voir une dernière fois ses parties intimes, comme je les avais laissées la veille puis elle se rhabilla puis me laissa un autre baiser sur la joue et sortit de ma chambre.

Je remarquai, après son départ, que mon caleçon était légèrement humide, elle avait semblerait-il bien aimé frotter son vagin contre moi.

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