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mon premier cul – Chapitre 3

Les deux piliers du bar d'en face - Chapitre 1



Il est 18 heures et je lis dans ma chambre, étendu en slip sur mon lit. Papa ne rentrera pas avant demain soir et Jocelyne est à son cour de danse.

— Michel j’ai besoin de toi!

La barbe! maman est occupée à nettoyer en bas et je n’ai pas du tout envie de l’aider, j’ai horreur de tordre les serpillières.

Je fais donc la sourde oreille, avec un peu de chance elle se lassera de m’attendre. je ne lui ai pas pardonné l’humiliation qu’elle m’a imposée. Comme je le redoutais, la petite garce des voisins a raconté à toutes ses copines du lycée la scène de la suspension des culottes dans le jardin. Sans manqué de bien préciser que j’étais cul nu. Cul traversé d’une longue ligne rouge signe évident de fessée.

Bizarrement, alors que je devrais être mort de honte, le souvenir de cette exhibition forcée réveille mon sexe dans mon slip. Machinalement, je me caresse au travers du tissus en repassant dans ma tête la raison initiale de cette punition.

-Tu pourrais répondre quand je t’appelle!

Maman est là, dans l’embrasure de la porte. Heureusement , j’ai gardé mon slip mais elle ne peut pas ignorer la bosse qui le déforme.

-Ca me désole d’avoir à te le demander mais il n’y a que toi à la maison et j’ai vraiment besoin d’aide.

-Qu’est ce que tu veux encore?

-J’ai glissé dans l’eau en nettoyant l’entrée.

-Et alors?

-je suis tombée sur la plante de mamy!

Je ne peux mempêcher déclater de rire. Il y a 5 ans, ma grand-mère a offert à maman un cactus qu’elle avait acheté en Espagne. C’est le genre de cactus que l’on voit dans tout les vieux films de cowboys. A l’époque il faisait 15cm de haut mais l’atmosphère de l’entrée doit lui plaire car aujourd’hui il est près de son demi mètre de haut avec de solides piquants dardés dans tout les sens.

Je remarque seulement à ce moment que maman tient un flacon d’alcool et des compresses de gaze dans les mains.

-Tu t’es fait très mal?

-C’est assez douloureux , oui mais surtout je ne peux en aucun cas m’asseoir!

— Tu veux dire que le monstre de mamy t’a piqué le cul?

— Parle un peu correctement s’il te plait. Oui j’ai le derrière piqué et je pense que plusieurs épines sont restées plantées dans mes fesses.

Pour me prouver ses dire, maman se retourne et relève son cache-poussière. Surprise! Elle n’a pas de culotte et pour la deuxième fois de ma jeune vie j’ai une vue complète de son gros cul.

— Et que veux tu que j’y fasse? Vas voir le docteur, ou rends toi à lhôpital!

— Je ne vais pas aller chez le docteur et encore moins à lhôpital pour ça! Je serais trop humiliée. sois un bon fils, enlève-moi ces épines et désinfecte, s’il te plait.

Je réalise que je vais avoir le cul de maman sous les yeux pendant un long moment et que je vais même le toucher.Si je m’y prends bien j’arriverai peut-être même à la voir nue.

— Bon d’accord je vais t’aider. Viens près de moi.

Elle laisse retomber sons vêtement de travail et s’approche de mon lit . Là, elle se retourne à nouveau et dévoile à nouveau son énorme postérieur. Ce ne sont pas juste quelques piquants qui sont restés plantés dans ses fesses. En fait elle a le cul comme une pelote d’épingles. Tendant une main derrière son dos, maman me présente une pince à épiler.

— tu auras plus facile avec cela.

— ca ne va pas, tu es à contre jour, il faudrait que tu te couches sur le ventre avec ton cul dirigé vers la lumière sinon je ne pourrai pas tout te retirer.

Sans répondre, maman se tourne face à moi et sétend sur mes cuisses. J’ai eu une vision fugace de son minou poilu. Ca, c’est vraiment une première pour moi, jusqu’ici je n’en avais vu qu’en dessin à peine esquissé.

Armé de la pince, je commence le travail d’épilation.

-Aie! Ca fait mal! Tire un peu sur la peau, sinon le piquant fait un mal de chien en sortant et en plus il risque de se casser et la pointe restera dans la fesse.

En bon fils, j’obéis sans discuter. je choisi un endroit où aucune épine de dépasse et l’empoignant à pleine main j’écarte la fesse. L’effet est immédiat. C’est la révolution dans mon slip. je prend tout mon temps. Une à une les épines quittent le fessier maternel, mais la concentration est de plus en plus difficile. Chaque fois que je tire la fesse pour tendre la peau j’ai une vue imprenable sur le fond de la raie sombre. Lillet brun sentrouvre et se referme comme si le cul de maman me faisait un clin d’oeil.

Au fur et à mesure qu’une partie du cul est dégagée de tout piquant, je passe consciencieusement la main libre sur la peau pour vérifier que je n’ai rien laissé. Après une demi heure de travail, je maperçois que les "aie " de maman se sont transformés en gémissements ou plutôt en soupirs.

Quelques piquant se sont plantés très loin dans la raie, au ras des premiers poils. Pour les atteindre je dois demander à maman d’écarter les cuisses aussi fort qu’elle peut. Sans discuter elle s’exécute. Ce ne sont plus les deux ou trois épines qui restent que je regarde. J’ai sous les yeux la fente de sa chatte et, je manque m’étrangler en constatant qu’un liquide blanchâtre s’en écoule.

-Quand tu auras fini de te rincer l’oeil, tu voudras bien achever ce que tu as commencé?

-Il en reste 2 ou trois que je n’arrive pas à attraper, elles sont trop loin dans ta raie.

-Essaye quand même, moi je ne peux pas voir et même à taton je n’arriverai pas à les enlever

— Il faudrait que tu soulève le ventre et que tu écarte toi même les fesses en grand

Toujours obéissante, maman se met a genoux au dessus de moi. La tête sur mes chevilles, elle attrape ses grosses fesses et les écarte au maximum. Bien que la position me permette dôter les dernières épines, je profite de la situation pour en demander plus

— J’y suis presque , relève encore un peu ton cul et ouvre le plus!

Là je vois vraiment tout. le gros cul à 50cm de mes yeux, la raie écartée, lillet entr’ouvert. Plus bas, la fente vaginale à peine voilée par quelques poils humides. Même ce que je ne sais pas encore être le clitoris dépasse des lèvres.

J’ai ôté les 3 derniers piquants, mais je vérifie et revérifie en passant les doigts partout. Maman ne réagit pas. Elle doit pourtant bien s’apercevoir que mes mains la pelotent. Je passe dans la raie m’attarde sur le petit trou, poursuis jusqu’à la fente de plus en plus humide, remonte de l’autre coté jusqu’au bouton qui, comme un petit zizi s’est décalotté.

Les soupirs initialement discrets se sont fait de plus en plus fort au fur et à mesure que, d’une part la chatte maternelle libère de plus en plus de liquide; et d’autre part, mon sexe durcit et s’étend au point que le gland sort de mon slip.

Je n’ose continuer, si je caresse encore ce cul et ce minou je vais éjaculer.

-Voilà je pense que tout est en ordre maintenant, tu veux vérifier?

Sans répondre, maman passe la main entre ses cuisses mais ne va pas plus loin que son clitoris qu’elle frictionne vigoureusement. C’en est trop ! Avec un gémissement qui se mêle à un cri de maman, j’éjacule. Mon sperme frappe le ventre qui le surplombe avant de retomber sur mon slip. Maman s’affale sur mes cuisses . Elle n’a pas retiré sa main de son minou. Elle reste immobile et si son cul n’était pas parcouru de soubresauts je pourrait la croire évanouie.

5 minutes sont passées. J’ai toujours les deux mains posées sur le cul maternel. Dans mon slip, trempé, mon sexe est resté tendu.

Enfin, maman se retourne. Elle regarde la bosse de mon slip.

-Tu es quand même bien monter, mon chéri. pas autant que ton papa mais toi,au moins, tu es raide

-papa aussi doit bander quand tu lui montres ton cul!

-Il y a bien longtemps qu’il ne le regarde plus

-Moi je ne m’en lasserais pas

-Ton slip est tout trempé retire le

-Je crains d’avoir aussi trempé ton ventre et ton cache-poussière

-Tu as raison je vais aussi tout retiré. De toute façon nous n’avons plus rien à nous cacher maintenant

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