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Pension – Chapitre 4

Pension - Chapitre 4



La pension "Les glycines"

Chapitre 2

Ma mère et ma tante se mirent d’accord pour que j’invite Pervenche le week-end suivant. Quand je lui soumis le projet elle eut une hésitation mais comme elle ne voyait jamais personne de sa famille, elle finit par accepter et élargir le cercle de ses amis qui, jusque là, était plutôt restreint. Bien entendu je ne lui ai pas parlé des nouvelles relations qui s’étaient établis les jours précédents. Je voulais lui faire la surprise qui, j’en suis sûr, étant donné son appétit sexuel, allait certainement la ravir.

Quand Pervenche arriva à la maison, ma mère et ma tante lui firent moult compliments sur son aspect physique et son élégance. Pervenche rougit mais sembla très contente et retourna le compliment. Elles allèrent s’asseoir dans le salon et pendant qu’elles dégustaient leur thé, je les regardais discrètement. Chacune détaillait l’autre, les regards allant de la poitrine aux jambes surtout sur celles de ma mère et de ma tante qu’elles avaient largement découvertes et que leurs mouvements, apparemment involontaires, laissaient apparaître parfois leur culotte. Il faut préciser que tata Yvette et sa sur étaient au courant des frasques de Pervenche et faisaient tout pour l’aguicher. Ce petit manège dura un bon quart d’heure quand Yvette attaqua directement Pervenche et ne fit pas dans la dentelle.

— Ainsi vous avez déniaisé mon neveu? D’après lui votre main et votre bouche font merveille sans parler du reste.

Pervenche fit un bond sur son fauteuil mais moi, comme je me tenais debout derrière, je la saisis aux épaule pour la rasseoir.

— Son récit nous a beaucoup intéressé à sa mère et à moi. Il faut vous dire que nous sommes deux surs incestueuses et qu’à nos ébats jusqu’alors secrets, nous y avons inclus notre Jacques depuis qu’il nous a parlé de vous et j’avoue, ma sur le confirmera, une bonne queue chez des surs jusqu’à là lesbiennes, ça vous met un peu de piment.

— Mais pourquoi me dites-vous ça, rétorqua Pervenche.

— Pour la simple raison que le récit de Jacques à votre sujet, nous a mis l’eau à la bouche, enfin, pas seulement de l’eau et pas forcément qu’à la bouche.

— Et vous étiez sûres que j’allais accepter.

— Avant votre arrivée non, avoua ma mère, mais maintenant j’en suis persuadée. Tenez, vos jambes sont plus ouvertes que tout à l’heure et si je vous demandais d’enlever votre culotte vous n’hésiteriez pas. Ai-je tort?

— Je vous mentirais si je vous disais que je ferais la fine bouche. Montrer ma chatte, la caresser, me la faire sucer ou me la faire pénétrer ne m’a jamais posé de problèmes. Au contraire ce sont les périodes d’abstinence qui sont pénibles.

— Bien, Pervenche, qu’attendez-vous pour vous branler ordonna ma tante

Moi j’avais passé mes mains dans son corsage et lui titillais les tétons. Pervenche enleva sa culotte, écarta les cuisses et exposa sa chatte déjà baveuse aux deux femmes.

— Je veux bien me branler devant vous mais j’ai horreur de ne pas être accompagnée. Qu’attendez-vous?

Ce fut tante Yvette qui, la première, se déculotta mais ma mère ne perdit guère de temps pour en faire autant. C’était vraiment excitant de voir ces trois femelles, la culotte sur leur cheville, genoux ouverts et la main farfouillant dans les replis de leur chatte. Bientôt, les seuls bruits furent leurs gémissements et les clapotis de leur mouille. Moi, je bandais comme un cerf. Heureusement Pervenche termina rapidement. C’était dans ses habitudes de jouir très vite dès que la situation sortait de l’ordinaire aussi s’occupa-t-elle de ma queue sous le regard de ma tante et de ma mère. La vision de ma bite sucée par Pervenche déclencha l’orgasme des deux surs et moi je me vidais dans la bouche de ma suceuse en poussant des grognements de plaisir.

Quand tout le monde fut remis de ses émotions, Yvette questionna Pervenche sur ce qui passait à la pension car, dit-elle, il s’en passe de drôle d’après mon neveu.

— Parlez-moi de Toinette, de Mme Rose et de Mathilde demanda-t-elle.

— Il n’a rien oublié ce coquin de Jacques rétorqua Pervenche en souriant. Je le comprends pour lui ce sont des choses qui lui paraissaient impossibles il y a seulement un mois. Bien que je ne me classe pas parmi les saintes, Mme Rose et la Mathilde sont les plus enragées du sexe. Elles ont dévergondée Toinette, notre fille à tout faire et quand je dis tout faire c’est vraiment le terme exact.

Mon histoire, raconta Pervenche, remonte au temps où j’étais élevée chez les religieuses. Vous savez, on les qualifie de bonnes surs mais en réalité elles ne sont guère tendres. Pour un mot de travers, une réflexion qui ne leur plaisait pas et hop, c’était la punition immédiate qui consistait à nous mettre au coin avec la jupe levée, dévoilant notre fessier aux autres filles. Lorsque nous étions plus grandes elles nous faisaient venir dans le bureau de la mère supérieure et là, toujours les fesses à l’air, elles nous flagellaient le postérieur. Un jour où j’ai eu l’audace de me retourner, j’ai vu une des surs qui avait passé sa main sous sa robe et qui agitait sa main à hauteur de son entrecuisse. Ce n’est que bien plus tard, quand arriva la puberté, que j’ai su ce que faisait la sur cette fois là car, comme mes camarades de chambrée, nous masturber était devenu notre passe temps favori. J’en ai beaucoup voulu à la religieuse qui me fouettait en disant qu’elle aurait mieux fait de me masser l’abricot.

A ma majorité, je me suis jetée dans les bras du premier jeune homme qui me faisait la cour. J’ai perdu ma virginité et appris, grâce à lui, toutes les variantes de l’amour. J’ai ensuite papillonné de queue en queue pour forger mon expérience et puis, ayant, à mes yeux, trouvé l’oiseau rare, je me suis mariée et comme au contraire du conte de fée, je n’eus aucun enfant. Je lui suis resté fidèle mais une fois veuve, je me suis rabattue sur la pension "les glycines", sage comme une veuve éplorée jusqu’au jour où, entrant sans prévenir dans la cuisine, je vis Mme Rose, allongée sur la table, cuisses largement ouverte, avec entre elles la tête de Mathilde la cuisinière et derrière elle, Toinette qui l’avait troussée jusqu’aux hanches et qui lui léchait la raie de son gros fessier. Pendant ce temps, Toinette, elle-même se masturbait.

Je suis restée quelques secondes à regarder, interdite, puis refermais la porte. Je m’appuyais le dos contre cette porte en essayant de chasser les images que je venais de voir, estomaquée, le souffle court. C’est à cet instant que je me suis souvenue que moi aussi j’avais un sexe et c’est dans les toilettes qui se trouvaient à proximité que je me suis faite jouir seule, pour la première fois depuis des années. J’avais presque oublié, l’ayant pourtant pratiqué dans ma jeunesse, que se branler pouvait donner autant de plaisir.

Ma mère et ma tante buvaient les paroles de Pervenche et ne pouvaient s’empêcher de se triturer la moule.

— Arrêtez, leur dit Pervenche, comment voulez-vous que je me concentre.

— Faites comme nous rétorqua Yvette, jouissons un bon coup et après nous vous promettons d’être sages.

J’assistais alors à leur deuxième séance de masturbation encore plus débridée que la première. Jacques mon petit, me dit ma mère, approches-toi de moi et, alors que Pervenche reprenait son récit, ma mère me prit la bite et délicatement la caressa.

— Bien entendu, Mme Rose vint me voir et me demanda de ne pas ébruiter ce que je venais de voir. Moi, sans réfléchir, je lui demandais, en échange de mon silence si je pouvais participer à leurs ébats. J’eus à peine terminé ma phrase que Mme Rose m’emmena dans son bureau et là, mes enfants, ce fut l’apothéose. Jamais je n’avais joui avec autant de force. Mme Rose est une vraie sorcière, elle a su trouver tout de suite les caresses qui vous font décoller. Mes souvenirs de touche-pipi avec mes copines me parurent bien fades. Bien entendu Mme Rose voulut que je lui rende la pareille et malgré mon inexpérience dans les jeux lesbiens je la fis jouir rapidement. Il faut dire que, sans sous-estimer mes efforts méritoires, Rose est une personne qui jouit très vite et à répétition. A partir de cet instant, je fis partie de la bande et les séances de gouinage avec Mathilde, Toinette et Rose se multiplièrent. J’avais pris goût aux amours féminines et mon plaisir fut de dévergonder les autres pensionnaires femmes et j’avoue que j’en ai troussé plus d’une. Vous ne pouvez pas savoir, parmi toutes ces femmes âgées, le nombre qui adorent le sexe.

Pervenche fit le récit de ma première prise de contact avec elle et sa fierté d’être la première à m’avoir branlé et fait jouir. A ce souvenir qu’elle venait d’évoquer ma queue se dressa dans la main de ma mère qui jouait avec depuis un bon moment.

— Regardez mesdames comme elle est belle la bite de mon fils!

Et elle finit sa phrase dans un gargouillis car elle l’avait avalée toute entière. Se faire sucer c’est merveilleux mais par sa mère c’est divin. Elle me fit asseoir sur l’accoudoir du fauteuil sur lequel elle était assise et ouvrit les cuisses en grand. J’avais compris le message et pendant qu’elle me faisait la fellation elle désirait que mes doigts lui caressent le minou. Je fus surpris par la quantité de mouille qui dégoulinait de sa chatte et aussi par la grosseur de son clito, non pas très long ni saillant mais par son volume proche de celui d’une grosse cerise. C’est Tante Yvette, voyant mon étonnement, qui commenta l’organe plutôt bien développé de sa sur.

— Tu sais cher neveu, son bouton n’a pas toujours été de cette taille. Au début ce n’était qu’une petite boule qui devenait bien dure quand on s’en occupait. Puis elle s’est servit d’une seringue munie d’un embout en caoutchouc qu’elle maintenait sur son clito et elle me demandait de faire le vide. J’étais plutôt sceptique quant à la méthode mais, quand je le vois maintenant, j’avoue que le traitement à été efficace.

— Alors fiston, qu’attends-tu pour t’en occuper me demanda ma mère. Dès que j’eus posé le doigt dessus et commencé à le titiller elle se mit à pousser des cris, plutôt des gargouillis car ma bite lui emplissait la bouche. Non seulement il est gros ajouta Yvette mais il est extrêmement réceptif.

Elle avait raison, ma mère lança brusquement son ventre en avant et faillit me mordre la queue en expulsant une quantité phénoménale de mouille.

— Et en plus, quand l’orgasme est très violent, ta mère devient femme-fontaine. Tu peux être fier de l’avoir fait jouir autant. Ce n’est pas tous les jours que cela lui arrive;

Je déchargeais aussi brutalement que ma mère avait orgasmé. Même Pervenche fut impressionnée.

— Mon dieu, dit-elle, si je m’attendais à ça en venant vous voir. Moi qui croyais m’ennuyer devant une tasse de thé, des après-midi comme celui-là j’en ferais bien mon ordinaire.

— Cela ne tient qu’à vous. Vous serez toujours la bienvenue répondit ma mère. Je ne sais pas si ma sur sera toujours présente ni mon fils qui doit quand même suivre ses cours, mais je pense qu’à nous deux nous arriveront à passer du bon temps.

— Puis-je vous poser une question?

— Allez-y.

— Vous êtes mariée, comment cela se passe avec votre époux?

— Le mieux du monde. De par son métier il est souvent absent, une semaine entière parfois. Ce que Jacques ne savais pas encore, c’est qu’il y a belle lurette que nous ne baisons plus et je le soupçonne et même je suis quasiment sûre qu’il a une maîtresse. Moi ça ne me dérange pas j’aime me masturber depuis que ma chère sur me l’a enseigné et il y a elle qui pallie, avec beaucoup plus de brio et quand elle est là, l’absence de mâle. N’est-ce pas Yvette?

— Oui, acquiesça ma tante, je serais de plus en plus présente puisque je suis sur le point de divorcer. Moi je n’ai pas pu rester avec mon mari comme l’a fait ma sur. Il ne me trompe pas, qui voudrait d’un homme qui baise comme un lapin, deux aller et retour, un petit cri et hop il s’endort. Heureusement comme ma sur, j’ai une forte prédilection pour la masturbation, le plus souvent seule ou, comme elle vient de vous le dire, de bonnes séances de gouinage ensemble.

— Vous ou votre sur, ajouta Pervenche, n’avez jamais été tentées par prendre un amant?

— Non répondit ma mère et puis maintenant j’ai mon petit Jacques chéri. Vous avez pu le constater, il est plutôt bien monté et résistant.

— Tu en as de la chance ajouta tante Yvette. J’espère bien que tu me le prêteras de temps en temps?

— Attendez les filles, je ne suis pas superman, j’aurais déjà un programme chargé la semaine avec Pervenche et ses consurs aussi, le week-end, je veux bien vous honorer toutes les deux mais à doses modérées et si je ne vous suffis pas il vous restera le cunnilingus entre vous que j’aurais le plaisir de vous voir faire.

Toutes trois acceptèrent ma décision. Il y eu un court moment de silence, chacune se regardant, attendant celle qui, la première, relancerait la conversation. Ce fut tante Yvette.

— Vous ne le savez sûrement pas dit-elle en s’adressant à Pervenche, mais je suis professeur de Français et il m’arrive de donner des cours de soutien aux élèves qui doivent passer leur baccalauréat. L’année dernière j’ai reçu deux jeunes filles, visiblement amies de longues dates. Je les avais installées côte-à-côte sur une table et leur avais donné un exercice à faire et m’étais absentée leur demandant de ne pas faire les folles pendant le quart d’heure où le ne serais pas là. La porte de la pièce était restée entrebâillée de quelques millimètres donnant l’illusion aux filles qu’elle était fermée. Ayant omis de leur signaler un détail pour faciliter leur travail, je revins sur mes pas. Et là, par la faible ouverture de la porte, je vis les mains des deux jeunes filles, croisées sous la table, je ne voyais rien de ce qui se passait en dessous mais les mouvements du bras en disaient long sur leur activité. Et bien mes amies, vous l’avez certainement deviné, je ne suis pas repartie et j’ai pu assister à l’orgasme des deux filles et du mien par la même occasion.

— J’aurai certainement fait comme vous acquiesça Pervenche, moi qui ne côtoie que des personnes plutôt mûres, les amours juvéniles m’ont toujours fascinée. J’aime lire des romans érotiques qui parlent de la découverte de la sexualité des jeunes, de leur première expérience avec une personne de leur sexe ou bien de sexe opposé qui se contente de touche pipi mais qui devient rapidement plus intense dès qu’ils ont eu leur première jouissance. Comme vous je me serai branler en regardant un si joli spectacle mais j’aurai essayé de me glisser dans leur intimité et de me faire sucer par ces deux donzelles.

— Non, je n’ai pas voulu prendre ce risque. Je voulais que cela vienne d’elles-mêmes, alors je fis semblant de les surprendre tandis qu’elles finissaient de jouir, je leur ai fait comprendre que je serais discrète sur ce que je venais de voir mais que j’aimerai bien, les prochaines fois, assister à leurs ébats de plus près.

— Et cela eut lieu?

— Oui, dès le cours suivant. Je n’avais pas encore donné leur travail qu’elles avaient déjà la main entre les cuisses. Je me suis branlée en même temps qu’elles. C’était sans doute la première fois qu’une adulte se masturbait devant elles car elles se sont rapprochées de moi, si près que je sentais leur haleine sur ma chatte. Inutile de vous dire que j’ai joui rapidement et elles aussi. Depuis c’est devenu un rituel, une mise en train pour mieux travailler ensuite.

— Tu m’avais caché ça râla ma mère.

— Cela n’a duré, à mon grand regret, qu’un trimestre mais elles ont réussi leur examen comme quoi plaisir et travail peuvent cohabiter. Et toi petite sur, est-ce que tu me dis tout répliqua tante Yvette.

— Bien sûr, quoique une fois

— Vas-y raconte!, avons-nous crié tous trois d’une seule voix pour l’encourager à poursuivre.

— C’était pendant la période où Yvette et moi, encore adolescentes, nous nous éclations chaque soir dans notre chambre mais, dans la journée, j’étais obsédée par le sexe. Dans la classe je me laissais souvent aller à rêver, à regarder tous mes camarades, garçons et filles, les imaginant la main sur leur bite ou dans leur chatte et, comme vous le devinez, ça me faisait mouiller. Alors le plus discrètement possible, je glissais une main dans la ceinture élastique de ma jupe. Ce comportement était fréquent et, bien-sûr, l’élève sur l’autre rang, finit par remarquer mon manège. C’était une adolescente comme moi, elle était grosse et moche avec un cul de jument, une poitrine de vache laitière toute boudinée dans une robe trop étroite. Lorsque je sentis son regard posé sur moi tandis que je m’asticotais l’abricot, je n’ai rien fait pour arrêter ma délicieuse branlette et, étant sur le point de jouir, cette spectatrice inattendue hâta ma jouissance. Pendant la récré, elle vint me voir et sans prendre de gants elle m’avoua qu’elle aussi aimait se masturber, que cela lui était venu après que des garçons, se moquant d’elle, de son obésité, l’avaient entraînée dans un bosquet, l’avaient déculottée et frotté son minou. Ce jour-là, bien que morte de honte, elle avait ressenti un tel plaisir qu’elle avait refait les mêmes gestes mais cette fois ce ne fut plus simplement du plaisir qu’elle ressentit mais une véritable jouissance. Depuis elle se branle régulièrement et de m’avoir vue le faire en classe l’avait beaucoup excitée. Elle aurait bien aimé m’imiter mais sa timidité l’en avait empêchée. Je ne sais pas pourquoi mais cet aveu me toucha. C’est vrai, pourquoi les filles au physique ingrat, n’auraient-elles pas le droit au plaisir. Je l’ai donc entraînée vers le vestiaire de la salle de sport, désert à cette heure, sous le prétexte de discuter plus librement et lui demandais si là, maintenant, toutes les deux, elle n’aurait pas envie de se faire plaisir. Pour l’encourager, je commençais la première, elle ne mit pas plus de 10 secondes pour m’imiter. Entre ses cuisses grasses, je vis une chatte avec des grosses lèvres bien bombées et ses petites lèvres, à l’inverse des miennes, étaient invisibles. Elle glissa un doigt dans sa fente et fit des va-et-vient en regardant mes doigts aller et venir dans ma chatte.

— Vous avez recommencé souvent demanda Yvette avec un brin de jalousie dans la voix?

— Jusque la fin de l’année scolaire. J’avais réussi à ce qu’elle vienne sur le même pupitre que moi et, d’un commun accord, avions décidé de nous passer de culotte. Si vous saviez le nombre de fois que mes doigts ont trempé dans sa mouille.

— Et le soir tu me caressais la chatte avec tes doigts poisseux, fulmina ma tante.

— Ne sois pas idiote ma chère sur, il m’arrive quand même de me laver les mains.

— Comment s’appelait cette pouffiasse ajouta Yvette?

— Jeanine STu la connaissais, tu es même sortie avec un de ses frères.

— Bien sûr que je la connais cette salope, d’après son frangin elle baisait avec toute sa famille. Avec ses frères d’abord, ils étaient 3, avec son père, quelques fois avec sa mère et parfois avec les deux en même temps quand ils avaient bu un coup de trop. Au fait, qu’est-elle devenue?

— Nous nous sommes côtoyées durant l’année scolaire et nos seuls moments d’intimité se résumaient à nous caresser le minou. Ensuite elle a déménagé et je n’ai plus su rien d’elle. Bon, ce n’est pas tout ça, mais ces conversations m’ont mise en appétit.

Elle avait raison ma mère, je rebandais, Pervenche, quant à elle, avait déjà ses doigts dans sa moule. Ma tante et ma mère s’allongèrent sur la moquette, en 69 et nous offrirent un spectacle sublime de gouines confirmées. Je n’ai pas pu m’empêcher de planter ma queue dans la chatte d’Yvette qui était au-dessus et, de temps en temps je la dirigeais vers la bouche de ma mère qui me suçait un peu pour reprendre le butinage du clito de sa sur alors que je replongeais ma bite dans sa chatte. Tout le monde rassasié, Pervenche prit congé. Ce soir là fut très calme, chacun et chacune ayant fait le plein de jouissance.

Le lendemain je retournais à la pension. Ma mère me demanda de ne pas trop m’épuiser pour profiter de moi le week-end suivant et tout en m’embrassant, en me faisant les dernières recommandations, elle se serra fort contre moi. Elle savait ce qu’elle faisait la bougresse car presque aussitôt ma queue se dressa. Quand elle sentit la bosse qui déformait mon pantalon, elle m’attira vers le canapé.

— Jacques chéri, viens vite, donne-moi une fois encore du plaisir, c’est si long une semaine.

— Tu as tante Yvette je pense qu’elle va rester un bon bout de temps chez nous.

— Oui, mais avec toi ce n’est pas la même chose, aller, viens vite.

Je n’ai pas pu résister à cette invitation et, tandis que ma mère jouissait, sa sur se pointa, à moitié endormie mais pas pour longtemps car, devant se spectacle elle eut vite fait de prendre la place de ma mère quand celle-ci eut son orgasme. Je baisais donc ma tante qui, elle aussi, jouit très rapidement ce qui fait que je n’avais pas eu le temps d’éjaculer.

— Allez, insatiables femelles, sucez-moi chacune votre tour, la première qui me fera cracher mon sperme sera la première dont je m’occuperais à mon retour.

J’ai un peu triché car, étant sur le point de jouir dans la bouche de ma tante qui, au demeurant est une redoutable suceuse, je me retirais à temps pour éjaculer dans la bouche de ma mère. Je ne sais pas si elle a compris mon manège mais elle me remercia.

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