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Prise à mon propre piège – Chapitre 1

Prise à mon propre piège - Chapitre 1



J’étais maintenant bien installée sur le lit, je portais ce qui l’excitait le plus, c’est-à-dire, aucune petite culotte mais seulement mon porte-jarretelles noir discrètement dentelé qui retenait les bas de la même couleur ainsi que le soutien-gorge assorti qui était d’un noir translucide. Il n’avait pas de rembourrures, je n’en avais pas besoin! À travers, on y distinguait bien mes auréoles et mes mamelons qui ornaient fièrement mes volumineux seins. La paire de menotte achetée au sex-shop l’an dernier et le foulard qui allait me couvrir les yeux éteint posés sur la table de chevet. J’étais prête pour le retour de mon amoureux, c’était son anniversaire aujourd’hui, Cédric fêtait ses 30 ans.

Il était parti tôt ce matin pour reconduire notre jeune garçon de 18 mois chez ses parents pour le week-end, c’était la première fois qu’on se retrouverait seuls tous les deux depuis la naissance. Les derniers mois avaient été plus que tranquille sur le plan sexuel, nous avions hâte à ce week-end de retrouvailles. Ce matin comme à tous les matins, j’avais couru mon 5 km, je m’étais fait un devoir de reprendre ma taille de guêpe rapidement au grand bonheur de mon copain, 22 ans c’est trop jeune pour se laisser aller! Ses parents habitant à 3 heures de route aller-retour, j’ai eu le temps de bien me préparer. Après mon entraînement matinal, j’ai pris une longue douche, me suis me raser la chatte au complet, comme il aime. J’ai enfilé la lingerie puis j’ai pensé que l’occasion était parfaite pour un de nos jeu sexuel préféré, celui que l’on fait à l’occasion, trop rarement à mon goût. Il entre dans la maison et me surprend endormie dans la chambre, ou du moins on prétend! Il m’attache les mains au lit puis me bande les yeux comme s’il était un cambrioleur et me prend sauvagement. C’est le fantasme ultime pour moi, à tout coup, l’orgasme est sensationnel.

Me voilà donc sur le lit de notre chambre, au deuxième étage de notre petit cottage, préparant son retour. J’étais déjà excitée et je voulais qu’il le soit aussi, je voulais le surprendre. Il arriva un peu plus tôt que j’avais anticipé, il n’avait pas chaumé en chemin, il devait se douter de ce qu’il l’attendait! Je l’entendis sonner à la porte, avait-il oublié ses clés ou avait-il les bras chargés? Par chance, je n’eus pas à descendre, il ouvrit finalement la porte. J’eus le temps de mettre mon plan à exécution. Je me bandai les yeux moi-même avec le foulard, je ne voyais désormais plus rien mais tout était prêt déjà, ma main droite était déjà menottée, je n’eus qu’à passer l’autre bracelet derrière le barreau de métal de la tête de lit et attacher ma main gauche à l’aide de la droite. Voilà, j’étais prisonnière, couchée sur le dos, aveugle, les mains solidement attachées, à sa merci, offerte en pâturage au moindre de ses désirs, mon con était déjà humide.

Je ne disais rien, espérant qu’il me trouve rapidement. Il passa quelques secondes au rez-de-chaussée et monta finalement l’escalier lentement, très lentement, il se doutait de quelque chose, j’en étais sûre. Cédric arriva devant la porte ouverte, je jouai la comédie en me tortillant et l’implorant de ne pas me faire de mal, il devait déjà être bandé de me voir ainsi, sa femme à moitié nue se donnant des allures de petite garce, les mains menottées à la tête de lit. Il joua la comédie lui aussi et comme à l’habitude, il s’approcha de moi sans un mot. Je le sentis embarquer sur le lit, il écarta aussitôt mes jambes malgré ma résistance simulée, puis il plongea sa tête directement entre mes deux cuisses. Il attaqua mon clitoris de sa langue puis me lécha la fente, il enfouit sa langue dans mon vagin. Il ne m’avait pas fait de cunnilingus depuis si longtemps et surtout pas avec cette adresse. Tout en me bouffant la chatte il me pénétra d’un doigt, puis deux, puis trois doigts, sa main ramonait mon intimité, mon plaisir s’accentua aussitôt, j’étais beaucoup plus vaginale que clitoridienne, le désir inondait tout mon être avec une vitesse affolante. Mon bassin bougeait férocement pour accéléré le mouvement de ses doigts en moi, si bien qu’il bloqua sa main et me laissa le soin de dicter le rythme des va-et-vient par mes coups de hanches. Au moment où j’allais jouir, il retira ses doigts de ma fente et plongea son index lubrifié dans mon anus sans avertissement.

Je laissa échapper un cris de surprise. Il m’avait déjà proposé quelques fois des relation anales et je lui avait fais comprendre à chaque fois que je n’y tenais pas du tout. J’étais estomaquée par son audace. Il m’avait pris au mot, je n’arrêtais pas de jouer le jeu et de dire qu’il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Il bougeait son doigt dans mon cul doucement en me léchant le clitoris et la fente passionnément. Je le laissa faire, après tout, c’était son anniversaire et puis, ce n’était pas si désagréable. Il réussi même à refaire monter en moi l’excitation, me rapprochant une nouvelle fois de l’orgasme à force de me lécher si habilement et d’explorer mon cul avec son doigt. Je prenais mon pied.

Encore une fois, Il ne me laissa pas jouir et retira tout avant le feu d’artifice. Mon amoureux savait que je préférais jouir avec sa queue en moi. J’entendis son zipper s’abaisser puis le pantalon tomber. Il se positionna à genoux devant moi, je sentis ses deux mains glisser sous mes petites fesses et il me tira vers lui avec un grande aisance, je ne savais pas Cedric capable d’une telle force, j’étais un peu surprise. Mes bras étaient maintenant étirés au maximum toujours attachés à la tête de lit. Avec sa main, il positionna sa bite à l’entrée de mon sexe trempé et impatient et d’un seul coup de hanche, me traversa férocement. Mes lèvres s’étirèrent au maximum, son pénis toucha le fond! Je poussai alors un cris de stupéfaction et d’horreur, la verge en moi était beaucoup plus grosse qu’à l’habitude! Ce n’était pas celle de Cédric! Pas de doute, c’était manifestement plus large et plus long, en fait, le pénis qui venait de me pénétrer était gigantesque, une queue monstrueuse. L’homme ne se formalisa pas de mes cris, il me défonça sans précaution aucune, enchaînant les coups de boutoir tel un marteau piqueur. Ma chatte était assaillie par ce phallus intrus, je n’avais jamais connu une telle sensation d’être complètement rempli par le membre d’un homme. Je me tortillais dans tous les sens, pendant que l’homme continuait de me sauter, il n’y avait rien a faire, je m’étais très bien menottée au lit. Je tentais de résister mais le type n’en avait rien a faire et continuait de m’enfiler lourdement faisant ballotter mes nichons dans tous les sens. Pouvais-je lui en vouloir, lui qui avait trouvé un jeune femme nue et menottée sur un lit l’implorant à la baiser. Je me rendis compte que mon fantasme d’être prise par un étranger ou un cambrioleur devenait réalité. Mon côté sombre prenait le dessus lentement mais sûrement sur ma morale et bientôt, je me mis à éprouver de plus en plus de plaisir sous les féroces pénétrations de l’inconnu. Rapidement, le désir montait, mes cris devinrent des encouragements à l’homme de ne pas arrêter, de continuer, de me sauter, plus fort. J’étais honteuse d’éprouver ainsi du plaisir à me faire prendre par un autre dans le lit conjugal. Peu importe, mon excitation ne pouvait plus s’arrêter, le monde des sensations avait pris le contrôle de tout mon être devant la réalisation inattendue de ce fantasme si puissant. Sa queue surdimensionnée me pistonnait, Je jouis. Je criai autant que les filles qui exagèrent dans les films porno, je n’y pouvais rien, c’était plus fort que moi. Je n’avais jamais eu d’orgasme aussi violent. Je ne pensais plus du tout à mon copain, j’étais au paradis.

L’homme retira sa bite, me pris les deux chevilles avec une seule main et poussa mes jambes vers le haut, révélant mon cul. De son autre main, il dirigea son membre vers mon anus. Pas la peine de résister, j’étais à sa merci, j’étais son esclave sexuelle, sa pute, il serait le premier à m’enculer. Son gland poussait sur l’anneau qui refusait de se dilater. Petit à petit, le gland fit son chemin dans mon cul, visiblement trop petit pour accueillir un engin de cette taille. La douleur était vive mais je ne disais rien, je voulais désormais vivre mon fantasme jusqu’au bout, il ferait de moi ce qu’il voudrait. Après un laps de temps qui me parut une éternité, à force d’imposer son dard sur mon orifice anal, la bite entra. Aussitôt la tête passée il ne mis pas de gants blancs et fourra brusquement sa verge au complet au fond de mes entrailles, il me sodomisa comme il m’avait pris le vagin, sauvagement. Tout en me déviergeant le cul, il se pencha légèrement sur moi et tira sèchement sur mon soutien-gorge, faisant jaillir mes deux melons au grand jour. Je criais à chaque va-et-vient, j’étais estomaquée qu’une si grosse queue puisse entrer entre mes deux petites fesses, il me traversait le rectum sans arrêt et m’empoignait les seins de ses deux mains presque au point de me faire mal, j’avais l’impression de sentir sa verge jusque dans mes intestins.

Après cette sodomie brutale, il se mis rapidement à genoux par dessus moi. Le bruit de frottement rapide et constant me laissait deviner qu’il se branlait, je devina son pénis à quelques millimètres à peine de mon visage. Les mains liées et le corps contraint entre ses deux puissantes cuisses, j’attendais docilement la suite. Tout en continuant de se masturber, il me plaqua sa verge sur les lèvres que je gardais jalousement fermées. Son insistance était sans équivoque, son gland poussait sans relâche à la commissure de mes lèvres hermétiques, je dus finalement ouvrir. Son membre entra aussitôt, sans surprise, mes lèvres durent s’étirer passablement pour permettre le passage de son gigantesque phallus. Il faisait des va-et-vient dans ma cavité buccale en se branlant de plus belle, j’avais l’impression que son sexe descendait jusque dans mon sophage. La scène ne dura pas plus de 15 secondes, l’intrus était là où il voulait pour jouir. J’avais honte de faire ça à mon amoureux, je ne lui avais jamais permis de me venir en bouche et certainement pas de l’avaler, et voilà qu’un autre allait le faire à sa place. Il arrêta sa main une fraction de seconde, je perçu nettement l’atteinte du point de non retour, suivi d’un puissant spasme musculaire à la base de son engin, une monstrueuse projection de sperme m’envahit la cavité buccale. Une deuxième giclée tout aussi abondante et dégoûtante suivi. Puis ça n’arrêta pas, ses couilles devaient avoir été abstinentes depuis une éternité! Le salaud m’inondait la bouche de son trop plein de semence. Les salves de fluide visqueux se déversèrent une après l’autre quand enfin, le déversement cessa. Aussitôt la dernière goutte de semence expulsée de sa queue, il se releva et prit la poudre d’escampette sans dire un seul mot. J’étais figée sur le lit, la bouche remplie, écoutant les pas du type descendant l’escalier puis sortant rapidement par la porte arrière de la maison.

Presque au même moment, la porte avant s’ouvrit, Cédric arrivait. Devais-je crier à l’aide ou ne faire semblant de rien? Il montait les marches rapidement, j’avalai le sperme. Je dus déglutir plusieurs fois pour tout avaler et effacer toute trace de se foutre gênant. Je tenta de respirer normalement et de paraître du mieux que je pus, fraîche et dispo pour mon amoureux. Il entra dans la chambre, me vit et abaissa aussitôt son pantalon en se dirigeant vers moi.

Qui était-il? Un cambrioleur, le voisin, le frère de Cédric, un collègue de travail, un livreur? Je ne le saurai jamais. Je devais maintenant satisfaire Cédric et devrai probablement feindre l’orgasme pour lui. Je me ferma les yeux sous le bandeau et pensa à mon fantasme désormais réalisé. Malheureusement, je savais maintenant que mon fiancé ne fera jamais connaître un tel orgasme. Je crois que cette fois, au moins, j’allais lui permettre lui aussi de venir d’en ma bouche, ça me donnera bonne conscience.

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