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Un amour de grand'mère – Chapitre 5

Un amour de grand'mère - Chapitre 5



Un amour de grand’mère !

Aurélien et sa grand’mère se reposaient dans le grand salon plongé dans la pénombre pour échapper à la grosse chaleur de l’après-midi. Allongée entièrement nue sur le canapé elle lui racontait ses souvenirs de jeunesse avec Bernard. Le garçon, dans la même tenue, par terre à ses pieds, l’écoutait remonter le temps !

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La dernière fois je t’ai raconté comment ton grand-père m’avait jetée peu de temps après notre mariage, dans les bras de Florent, ’un « vieux » pour faire l’amour à trois !

C’était un de ses anciens professeurs qui possédait une splendide propriété. Il y organisait des soirées et y recevait des couples pour participer à des parties fines !

Nous étions devenus très vite des habitués ! Florent, notre hôte, était en fait un être sulfureux ! Homme, femme, voire animaux, tout était source de plaisir pour lui !

A l’époque il hébergeait Brigitte, une de ses élèves, une jeune fille qui avait tout juste vingt ans, lui qui en avait presque soixante ! Elle était son « esclave » et lui obéissait quoiqu’il exigeât d’elle ! Un contrat librement partagé entre eux.

La première fois, un soir, je me souviens, il devait y avoir une dizaine de couples invités qui faisaient cercle autour d’une grande table basse un peu spéciale. Brigitte, entièrement nue était attachée par les poignets et les chevilles de telle façon qu’elle ne dissimulât aucun détail de son anatomie ! L’obscénité de la pose, son sexe rasé avaient été ma première surprise. A l’époque un sexe glabre n’était pas coutumier.

Florent revêtu de sa tenue de « Maître » tournait autour d’elle et caressait son corps avec les lanières d’un fouet insistant sur les seins et l’intérieur des cuisses. La peau si fine et sensible à cet endroit, tressaillait. Cela va peut-être te paraître étrange mais nous attendions qu’il la frappât. Je sentais en moi un besoin de voir ce corps ouvert se tordre sous la douleur. Toute l’assistance, une assemblée de fidèles nus, était suspendue aux gestes du « Maître » qui officiait dans un silence quasi religieux. Je dois te dire que nous avions dû tous nous dévêtir lors de notre arrivée.

Soudain, Florent cingla les seins de la fille à deux reprises de toutes ses forces. Sous la douleur, son bassin s’était relevé ouvrant encore davantage son sexe. Elle hurlait ! Le fouet frappait maintenant le pubis ! Un coup en travers du bas-ventre, l’autre dans le sens de la fente. C’était horrible mais la souffrance non feinte était source pour moi comme pour les autres, d’un plaisir malsain.

Il se pencha sur elle et déposa sur ses lèvres un long baiser. Les yeux remplis de larmes de la fille témoignaient néanmoins comme de la reconnaissance si ce n’est de l’amour ! Elle était sa « chose » et tout ce qui venait de son « Maître » n’était forcément que preuve d’amour ! Elle rayonnait !

La peau zébrée avait rougi et gonflait à vue d’oil. C’est à ce moment que Florent vint me chercher et me demanda de soulager avec ma langue les brûlures causées par le fouet.

J’étais nue, et je me sentais gênée devant les autres couples, tandis qu’il me plaquait la tête entre les cuisses de la fille. « Lèche ! Apaise sa douleur ! »

J’obéissais. Ma langue comme celle d’un petit chien courrait le long des marques. Celles sur le pubis étaient une invite à poursuivre plus avant. Les grandes lèvres charnues s’ouvraient sur le sexe tout rose. J’avais son clitoris que je suçotait entre mes lèvres. Je l’aspirais. Brigitte gémissait doucement, soulevant ses fesses comme pour m’inciter à poursuivre.

J’avais complètement oublié que dans la position où j’étais, personne ne pouvait plus rien ignorer de mon anatomie ! A genoux, le cul en l’air, je bouffais la chatte de la fille !

J’ai à peine tressailli lorsque le « Maître » enfonça sans ménagement le manche du fouet dans mon anus ! «Ça suffit, il est trop tôt pour qu’elle jouisse ! », s’était écrié Florent.. « Il faut la préparer encore ! ».

C’est alors que son «petit ami», un homme très âgé, peut-être soixante-quinze ans ou plus et qui faisait office de « servant » pour la cérémonie, approcha, apportant une potence comme celle que l’on trouve dans les hôpitaux. Y était suspendu, trois longs tubes de caoutchouc au bout desquels étaient fixés un tube en verre de la grosseur d’un pouce. Ils étaient reliés à une petite machine qui s’est révélée être une pompe à vide.

Florent coiffa le clitoris de Brigitte avec l’extrémité d’un des tubes, les deux autres étant réservés aux bouts des seins. Il demanda, alors, au «servant» de brancher la pompe.

Le vieil homme avait pour tout vêtement un gilet rayé qui dégageait le bas du ventre, ceint d’un harnais en cuir qui laissait les fesses à nu et qui sur le devant soutenait les couilles, deux grosses prunes dans leurs bourses fripées. Celles-ci ballotaient librement entre les cuisses décharnées, comme deux grelots ! Un anneau de cuir clouté baguait la base de la verge. Comme la fille, il portait un collier muni d’un anneau autour du cou, symbole de leur condition d’esclave..

La pompe se mit à ronronner et aussitôt le clitoris de la fille fut aspiré et étiré brutalement sur au moins trois centimètres. C’était dément ! Les pointes des seins montaient dans les tubes comme une colonne de mercure. Le « Maître », insensible aux cris terrifiants de la fille, à sa souffrance, la laissa ainsi un moment, le temps que le sang affluât dans les bourgeons de chair. Il lui flattait la raie du cul, avec une badine cette fois ! La fille arc-boutée semblait suspendue par ces petits bouts de chair emprisonnés dans leur tube de verre.

Florent m’avait enjoint de retourner à ma place, le fouet toujours enfoncé dans mon cul. Il demanda à ton grand-père de l’ôter de mon anus et d’en sucer le manche pour le nettoyer avant de le lui rendre, ce qu’il fit, empressé ! L’odeur et le goût devaient lui plaire à ce cochon, il semblait ravi !

Le « Maître » estima que le moment était enfin venu de libérer son esclave suspendue aux tuyaux en y faisant pénétrer l’air. Il demanda à son « servant » d’arrêter la pompe. Sans ménagement il tira sur les tubes de verre. Brigitte hurla et s’affaissa sur la table. Son corps tremblait. Les tétons et le clitoris étaient énormes, obscènes. Lentement celui-ci se rétracta, mais gonflé, turgescent, il trônait entre les petites lèvres. Une petite bite en érection !

Sans la prévenir, il y asséna un coup de cravache. Brigitte, au bord de l’évanouissement, poussa un cri de bête. Médusés par la violence du coup asséné, nous étions tous, pris d’un sentiment de gêne. La torture n’était pas simulée mais bien réelle ! J’en frissonnais et cependant nous en redemandions !

Personne n’a protesté. Fascinés par le spectacle, les couples, autour de nous, se touchaient en silence. Les femmes tenaient dans leurs mains, comme des cierges, les verges de leurs voisins immédiats qui, pour ne pas être en reste, rejoignaient leurs doigts dans leurs chattes qu’ils caressaient  ! Mais ce que nous attendions tous, sans oser se l’avouer, c’était que Florent continuât à torturer, il faut bien utiliser le mot,, son « esclave ». Son humiliation, sa soumission agissaient sur notre cerveau, comme une drogue. Cette souffrance gratuite devenait notre plaisir ! Et nous en voulions davantage !

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Aurélien écoutait sa grand’mère. Celle-ci fut interrompue dans son récit par l’entrée de Martine, la bonne, dans le salon.

Depuis le jour où tous les deux l’avaient entraînée à partager leurs ébats, elle, qui auparavant devait avoir une mise stricte, officiait maintenant dans une tenue beaucoup plus suggestive ! C’était la volonté du garçon et sa grand’mère avait cédé, ne sachant rien lui refuser. Le petit tablier blanc de soubrette, sans rien dessous ne dissimulait pas son anatomie mais au contraire mettait en valeur ses seins libres qui débordaient largement du plastron, ses fesses amples et lourdes. Quant au bas du corps, il était rehaussé par le porte-jarretelles et les bas sombres qui affinaient en partie ses cuisses courtes et charnues, gorgées de cellulite. Il lui avait été défendu évidemment de porter une culotte, Aurélien disant vouloir disposer de son sexe à sa guise ce dont il abusait trop souvent à son goût !

Il surgissait dans la cuisine à l’improviste et la pelotait suivant son humeur, disposant de son corps comme bon lui semblait ! Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas, mais, continuer son ouvrage avec un doigt dans le vagin ou dans l’anus n’était pas toujours commode ! Ou alors, toute affaire cessante, elle devait le gratifier d’une petite gâterie. Certes, en général, ça ne durait pas longtemps ! Il déchargeait sur sa langue, vérifiait qu’elle avalât et repartait comme il était venu ! Elle était sidérée par ses capacités : toujours en forme, jamais fatigué ni en manque d’inspiration !

Tous les soirs, avant d’aller rejoindre le lit de sa grand’mère, il venait la voir dans sa chambre. Il s’asseyait sur le bord du lit. Le rituel était le même. Pas le « coucher du roi » mais celui de la bonne !

Dans un premier temps, tout en se tripotant la bite, il exigeait qu’elle fît ses besoins devant lui. La voir uriner et déféquer l’excitait au plus haut point. Puis elle devait se laver soigneusement. Debout dans la baignoire, face à lui, il contrôlait qu’elle introduisît le flexible de la douche dans son vagin puis dans son anus. « Une douche intime » disait-il. Alors seulement il fourrait son nez entre ses jambes pour respirer son odeur de femme.

Pour pouvoir honorer sa grand’mère ensuite et pour ne pas gaspiller ses forces, il lui demandait de se masturber. « Il faut que tu te détendes » arguait-il, « tu dormiras mieux ! ». Il la regardait faire.

Allongée sur le lit cuisses ouvertes, jambes repliées, elle devait se branler jusqu’à l’orgasme. Il faut dire que de se masturber devant le garçon lui était devenu agréable. Si au début elle en avait ressenti quelque gêne, elle s’exhibait maintenant avec un plaisir certain. Elle avait même découvert le plaisir de dilater son anus avant d’y introduire un doigt alors que de son autre main, elle titillait son clitoris. Et puis le regard d’Aurélien, penché sur elle, participait à l’excitation qui peu à peu l’envahissait. Qu’il la traitât de vicelarde ou de sale chienne en chaleur l’aidait à faire monter son plaisir. Elle aimait lui être soumise. Elle regrettait presque qu’il l’abandonnât pour aller faire l’amour avec sa grand’mère. Avec une pointe de jalousie, elle imaginait la fusion de ce corps juvénile avec celui de cette femme âgée. Si seulement elle avait pu participer à leurs ébats ! Elle se sentait frustrée !

— Excusez-moi, Madame, mais que voulez-vous pour dîner, ce soir ?

— Un repas froid, ira très bien ! N’est-ce pas mon petit chéri ?

— Oui Mamie ! Martine, portez-nous du jus d’orange, très frais ! Et toi Mamie continue ! Raconte-moi la suite de cette soirée !

— Mais j’ai perdu le fil ! Où en étais-je, déjà ?

— C’est quand le « Maître » avait cravaché son esclave sur le sexe après l’avoir débranchée de ses tuyaux !

— Ah oui ! J’y suis !

Monique passa tendrement sa main dans les cheveux de son petit-fils et, après un silence, reprit son récit.

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Comme je te le disais, nous étions impatients que Florent, le « Maître » poursuivît le dressage de Brigitte, son « esclave ». Nous voulions la voir souffrir, l’entendre gueuler de douleur, pour notre seul plaisir.

Il demanda à son «servant» » de la détacher. A chacun de ses mouvements nous pouvions voir ses fesses et ses cuisses décharnées contre lesquelles frappaient ses couilles énormes. Elles étaient réellement volumineuses. Son sexe quant à lui était très foncé. C’est là que je vis qu’il était circoncis. Le gland découvert était percé d’un anneau métallique.

Lorsque Brigitte fut enfin libre de ses membres, elle attendit l’ordre de son « Maître » pour se lever. Il ordonna à la fille de se courber et d’appuyer sa tête entre ses bras sur la table basse de manière que nous ne pussions la voir que de dos. Nous avions sous les yeux ses fesses un peu flasques et, entre les jambes qu’il avait écartées avec la cravache, les seins qui pendaient. Sur son ordre le «servant» s’accroupit sous elle et accrocha à la pointe des mamelons deux pinces en acier munies d’un petit anneau auquel il suspendit des poids. L’effet fut immédiat. Les mamelons encore dressés et durcis par le traitement précédent, se distendirent encore davantage. Puis ce furent les petites lèvres qui eurent droit au même traitement. A chacune d’elle, le «servant» accrocha six pinces circulaires, comme des anneaux de rideau. L’ensemble faisait penser à une boutonnière autour de la vulve. Puis il y suspendit soigneusement une série de poids cylindriques. Les petites lèvres soumises à cette masse de fonte se distendirent démesurément. Sur le moment, je me souviens, j’ai pensé à des oreilles de cocker auxquelles on aurait mis des boucles d’oreilles ! La vulve béait. L’opération terminée, le «servant» » se releva.

Sur un signe de son Maître, il fit disposa son esclave à quatre pattes. Florent s’approcha de notre groupe et pria une femme de venir au centre de la pièce comme il me l’avait demandé auparavant.

C’était une vieille, au moins aussi âgée que le « servant », sinon plus. Elle était venue avec son compagnon à qui elle sourit avant de rejoindre l’emplacement que lui indiqua le « Maître ». Il la pria de s’allonger sur le dos et de se glisser sous la jeune fille de manière que la vulve distendue de cette dernière se trouvât à hauteur de sa tête sous laquelle il glissa un coussin pour la rehausser.

Les poids suspendus effleuraient le corps la vieille, étalée comme une grosse vache. En effet, elle n’était pas grosse, non, mais énorme. Cela en était répugnant ! Un tas de viande ou plutôt de gras, il n’y a pas d’autres mots pour la décrire. Ses seins, deux sacs devrais-je dire, qui s’étalaient sur le sol ; son ventre, un amoncellement de bourrelets adipeux repliés sur ce qu’on devinait être son sexe ; sans parler des cuisses ou plus précisément de ses jambons. Une vraie truie ! A se demander comment son compagnon, plutôt gringalet pouvait escalader cette montagne si tant est qu’il pût le faire !

Le « servant » sur un signe de Florent comprit qu’il devait prendre la jeune fille sous les yeux de la vieille ! Il saisit alors son sexe qu’il astiqua jusqu’à ce qu’il soit en érection. L’ampleur cette bite de vieux, longue, noueuse, terminée par un gland énorme, un véritable pieu, nous surprit !

Quand il présenta son gland percé de l’anneau, à l’entrée du vagin de la fille, il y pénétra sans difficulté, tant il était ouvert. Les poids qui le distendaient s’entrechoquèrent comme les perles de ces rideaux que l’on suspend aux portes d’entrée pour faire fuir les mouches !

Le «servant», comme un métronome, entreprit d’aller et venir dans les entrailles béantes de la fille qu’il avait agrippée par les hanches. A chaque coup de rein ses testicules venaient battre sur la langue de la vieille qui essayait de les happer au passage. Comme les enfants qui tirent la queue de Mickey dans un manège !

Béatrice quant à elle, la tête enfouie dans le gras de l’entrecuisse de la vieille, au risque de s’étouffer, était partie à la recherche du sexe ! Dans un effort méritoire celle-ci écartait ses jambons pour lui en permettre l’accès !

Lorsque le « servant », peut-être pour se reposer, sortit son chibre de la chatte qu’il pistonnait et le fourra tout luisant dans la bouche de la vieille, celle-ci l’enfourna et se mit à le pomper goulûment. Sa langue frétillait le long du membre. Pour qu’il ne s’échappât pas trop vite, elle avait réussi à introduire deux doigts dans le cul du vieux et semblait ne plus vouloir lâcher le braquemart !.

Tous, nous regardions le tableau que nous offrait le « Maître ». Une vraie réussite dans l’indicible ! Trois animaux en rut qui forniquaient pour notre seul plaisir de voyeurs.

Sur un signe de son « Maître », le vieux se dégagea et enfila la fille, dans l’anus, cette fois. Sollicité par les petits coups de cravache que lui donnait Florent sur ses fesses décharnées, il accéléra en cadence ses coups de butoir dans le rectum, jusqu’au moment où il se vida dans le boyau. Le ventre collé aux fesses offertes, sa semence giclait. Deux coups de cravaches assénés avec violence zébrèrent son cul. Il se retira, encore en érection et tendit son ventre en avant attendant le coup sur sa verge. C’était la façon dont son « Maître » le récompensait de sa prestation ! Apparemment, insensible à la douleur, ses yeux débordaient de reconnaissance ! Il souriait !

Cependant, la truie ne restait pas inactive. Le visage rayonnant de bonheur elle léchait et avalait tout ce qui s’écoulait du vagin et de l’anus de la fille.

Le « Maître » attacha ses deux esclaves au moyen de chaînes, la fille par son collier, le servant par l’anneau au bout de sa bite, et, comme à la parade au cirque, les promena autour de la pièce. Le dompteur et ses animaux ! Il nous pria alors de nous détendre, de laisser libre cours à nos sens. Il nous dit qu’il serait honoré si nous voulions bien faire l’amour devant lui, au gré de notre fantaisie.

Était-ce la tension qui nous habitait, mais nous nous sentîmes libérés lorsque, pêle-mêle, les uns sur les autres, nous avons baisé comme des bêtes jusqu’à plus soif ! Imagine ! Une vingtaine de corps nus rampants qui s’enfilaient, hommes et femmes indistinctement ! Impossible de savoir qui déchargeait dans ton ventre ou ton cul. Une queue dans la bouche, puis encore une autre, le sperme qui dégouline de partout. Une orgie, quoi !

Monique s’était arrêtée. Elle semblait perdue dans ses souvenirs.

— Mais dis-moi Mamie, comment cela s’est-il terminé ?

— Plus tard mon petit chéri. La soirée était loin d’être finie ! En fait ce n’était que le début. La suite dépassa tout ce que tu peux imaginer !

— Raconte, vite, je t’en prie !

— Non, une autre fois, allons sur la terrasse. Ça va être bientôt l’heure de dîner. Oh, oui Mamie ! Que dirais-tu, si ce soir nous faisions participer cette pauvre Martine ? Tu crois qu’elle aimerait si je la fouettais ?

— Ne lui demande pas son avis. Si tu veux « être le Maître », tu exiges, c’est tout !

— Même avec toi ?

— Devine, petit vaurien !

Chris. À suivre .

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