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Vacances en camping-car – Chapitre 1

Vacances en camping-car - Chapitre 1



Chapitre 1 :

Bonjour ! Je me présente, je suis un jeune garçon de dix-huit ans, et je m’appelle Quentin. Mes passions dans la vie ? Elles sont simples : le cinéma, les séries, les jeux-vidéos, un peu de sport mais pas trop, et surtout, ma sur cadette, Marion ! Enfin, quand je dis cadette, elle n’a que quelques secondes de moins que moi. Pourquoi ? Car nous sommes des jumeaux, et il m’arrive souvent de lui rappeler que l’aîné, c’est moi, malgré tout ! Évidemment, elle le prend à la rigolade !

Pourquoi je dis que Marion est une de mes passions ? Car je l’adore, tout simplement ! Entre jumeaux, nous sommes vraiment fusionnels. On se dit tout, on se raconte tout, on est très complices, bref, je ne me verrais pas vivre sans elle, et rien que d’y penser me donne la chair de poule !

Physiquement, je suis plutôt banal : brun, les cheveux courts, les yeux marrons, la silhouette assez svelte, je mesure 1,70m. 

Marion, c’est tout l’inverse : une jolie brune aux longs cheveux bouclés, aux formes agréables à regarder, surtout ses fesses qui semblent plaire à la gente masculine étant donné que nombreux sont les garçons qui les reluquent, et au tempérament volcanique. Ce caractère, elle l’a hérité de ma mère.

Avec les filles, j’ai un peu de succès. J’ai déjà eu des copines au lycée et au collège, mais rien de bien sérieux. Quand je dis « sérieux », je veux dire que je ne suis jamais passé à l’acte, si vous voyez où je veux en venir. En revanche, ma main droite est ma meilleure amie, et ça, depuis longtemps ! 

Quant à Marion, elle a déjà eu des histoires avec des garçons qui ont duré, mais je ne sais pas si elle a déjà offert sa virginité à l’un d’eux. On se dit tout, c’est vrai, et ça nous arrive de parler de cul, mais cette question, je n’ai jamais osé lui poser. Pourquoi ? Je l’ignore, peut-être car je n’ai pas envie qu’elle apprenne que moi, je n’ai jamais fait quoi que ce soit. 

Bref, maintenant que les personnages principaux de cette histoire sont plantés, passons aux choses sérieuses.

Cet été, mes parents ont décidé de partir en vacances en Espagne. Ma mère a toujours rêvé de visiter l’Andalousie et, comme elle va avoir cinquante ans cette année, mon père a décidé de marquer le coup en nous emmenant là-bas en camping car. On adore ce moyen de transport, puisque cela fait des années que nous l’utilisons, et c’est avec ce camping-car que nous avons passé la plupart de nos meilleures vacances. Il s’agit d’un vieux tacot qui a plus de vingt ans et qui a du mal à dépasser les cent kilomètres heures, mais nous l’adorons, et il fait partie de la famille !

Bref, en ce début, c’est à 6h du matin que nous partons de Brest, direction l’Andalousie, mon père au volant, et ma mère en copilote. Quant à Marion et moi, nous dormons juste au dessus d’eux, dans la capucine du camping-car. À cette heure-ci, il fait encore frais, donc nous sommes emmitouflés dans nos duvets. Pour ma part, je ne porte qu’un boxer. Marion a un tee-shirt, et juste une petite culotte. Ses longs cheveux bouclés sont défaits, et épousent la forme de l’oreiller sur laquelle sa tête est posée. Comment je le sais ? Bon ok, je l’avoue, il m’arrive parfois de la mater discrètement, et je l’ai fait à nouveau ce matin alors qu’elle enlevait son bas de pyjama avant de se glisser dans son duvet. M’a-t-elle vu ? Il y a des chances, mais ça n’a pas l’air de l’avoir dérangé. Après tout, qui me dit qu’elle n’en a pas fait autant ?

Nous passons donc la journée sur la route, Marion et moi toujours dans notre perchoir, et nous occupons notre temps en bouquinant, papotant, et en rigolant tous les deux. Nos parents ont juste à lever un peu la voix pour faire la discut avec nous mais, étant donné le bruit que fait ce vieux rafiot, c’est assez compliqué. Évidemment, lors du premier arrêt, Marion et moi avons pu enfiler une tenue plus décente, et j’en ai profité, au passage, pour mater ses jolies fesses. Bref, maintenant, elle porte un mini-short par dessus sa petite culotte, mais j’ai un doute, porte-t-elle un soutien-gorge sous son tee-shirt ? J’en suis pas persuadé. En tout cas, elle est belle à tomber, comme d’habitude, et je suis sûr que de nombreux espagnols se rinceront l’il en la voyant dans quelques heures. Je sais qu’il s’agit de ma sur et que je devrais pas dire des choses pareilles mais, en même temps, autant dire la vérité, c’est ce que nos parents nous ont toujours apprit !

Le soir, nous nous arrêtons à Agen, dans un petit camping municipal. Mon père est épuisé par cette journée sur la route, et je le comprends. Du coup, il décide de dormir ici ce soir, et de repartir tôt demain matin. Comme il sait que Marion et moi sommes des marmottes, il nous dit même que, si ma mère et lui sont réveillés tôt pendant que nous sommes toujours en train de dormir, ils partiront tôt. Marion et moi sommes fous de joie, car nous adorons quand notre père fait ça : ne pas attendre qu’on soit réveillés pour reprendre la route. Dormir tout en sachant que nous sommes sur la route des vacances, c’est quelque chose qui est vraiment kiffant !

Après avoir transpiré toute la journée dans ce rafiot, je décide d’aller prendre une douche dans les sanitaires du camping. J’enlève donc mon tee-shirt, en attrape un propre ainsi qu’un boxer, puis ma serviette, ma trousse de toilettes et hop, direction les douches.

-Attends, me demande Marion, moi aussi je vais aller prendre une douche.

Aussitôt, elle va s’enfermer dans les toilettes du camping-car et ressort deux minutes après, simplement vêtue d’une serviette qui lui cache tout le corps. Mes parents ont l’air surpris de la voir habillée ainsi, mais Marion se défend en leur disant que c’est plus pratique d’y aller comme ça. Quant à moi, une fois de plus, je la trouve splendide, et le fait de savoir qu’il n’y a rien sous cette serviette, et ben… ça m’émoustille un peu, voire même beaucoup ! 

Bref, nous quittons le camping-car et nous dirigeons vers les douches. Sur son passage, j’aperçois quelques garçons qui se retournent pour regarder Marion, et je suis gêné. Pourquoi ? Car aucune fille ne se retourne pour en faire de même avec moi. Ma sur est une bombe atomique, il faut bien que je m’y fasse !

Nos chemins se séparent à l’entrée des douches. Je me dirige vers celles réservées aux hommes, et Marion vers celles réservées aux filles. 

Il n’y a pas grand monde à cette heure-ci. Je trouve une douche de libre et m’y enferme. Je dépose mes affaires sur une tablette puis, je sors mon gel douche et, ni une ni deux, je file sous la douche. 

L’eau est fraîche, ça fait du bien. Je la laisse donc couler sur moi pendant quelques minutes, sans bouger, les yeux fermés. Une fois de plus, des drôles de pensées envahissent mon esprit. Je revois d’abord Marion en petite culotte dans la capucine, puis Marion avec son mini short qui met bien en valeur son petit cul, puis Marion simplement vêtue de sa serviette. Doucement, je sens mon sexe gonfler petit à petit, malgré la fraîcheur de l’eau qui, normalement, aurait dû provoquer l’effet inverse. Ensuite, j’imagine Marion complètement nue, à quelques mètres de moi, sous la douche, ruisselante d’eau, en train de se savonner entièrement le corps, la poitrine bombée, ses jolies petites fesses à portée de main… 

Cette fois-ci, il faut dire ce qui est : j’ai carrément une gaule d’enfer ! Ça m’était déjà arrivé, évidemment, mais c’est la première fois que Marion est la source de mes fantasmes. Est-ce bien ? Est-ce mal ? Aucune idée, j’imagine que je ne dois pas être le premier à avoir des pensées aussi perverses envers sa propre sur, donc cela me rassure un peu, quelque part. 

Étant donné toutes les images salaces qui se bousculent dans ma tête, quelques minutes me suffise pour soulager cette érection, et de longs jets blancs visqueux iront donc se noyer dans la bonde de la douche. Après cela, je laisse à nouveau l’eau couler pendant cinq bonnes minutes pour me remettre de mes émotions, puis je me savonne, me nettoie, m’habille, et je sors de ma douche.

Quand je reviens au camping-car, personne ne me demande pourquoi j’ai mis autant de temps à prendre cette douche. Marion est déjà là, et elle a revêtu un tee shirt qui lui arrive au dessus du nombril, et son mini-short. Ce foutu mini-short que je rêve de lui arracher avec les dents, avant de la déshabiller, de la coucher sur mon lit et… Et quoi ? Qu’est-ce qui me prend ? 

Il faut que je me calme car je crains que mes parents et Marion ne remarquent que je rougisse. Ou pire, qu’une autre érection se dessine en travers de mon short et qu’elle se remarque aussitôt également. Du coup, pour me calmer, je vais ranger mes affaires dans le camping-car, puis, j’attrape ma console de jeu portable, et je vais jouer dehors. De temps en temps, je mate discrètement Marion qui est en train de se vernir les ongles de pieds. Et quels beaux pieds, d’ailleurs ! Si seulement je pouvais les masser, les mordiller, les lécher, les…

-Ca va, Quentin ?

Ma mère me sort de mes rêveries, et je m’aperçois aussitôt que des bouffées de chaleur m’envahissent. Apparemment, je ne suis pas le seul à les avoir remarquer.

-Oui, pourquoi ? Réponds-je, innocemment.

-Tu transpires à grosses gouttes, et t’es tout rouge !

-Désolé, il fait une chaleur à crever, ici…

Apparemment, cette excuse est crédible puisque ma mère retourne à sa grille de mots-croisés, aidé par mon père qui sirote en même temps une grande bière bien fraîche. Quant à Marion, ce bref échange avec ma mère ne semble pas l’avoir perturbée, puisqu’elle est toujours en train de se badigeonner les ongles d’un rouge pivoine. Ouf ! Si elle savait les pensées que j’ai pour elle en ce moment même, il est clair qu’elle me regarderait différemment…

Après cette soirée agitée, riche en fantasmes et en images perverses concernant ma sur, c’est après un rapide repas constitué essentiellement de charcuterie et de fromage que nous allons nous coucher. Il n’est même pas vingt-deux heures quand Marion et moi grimpons dans la capucine (non sans en avoir profité pour lui mater une nouvelle fois les fesses pendant qu’elle rejoignait notre perchoir) et, quelques secondes après, après avoir enlevé quelques vêtements, nous nous glissons chacun dans nos duvets. Quant à nos parents, ils disposent d’un grand lit dans le fond du camping-car. Pour avoir dormi dedans à quelques reprises lors de longs trajets, je sais à quel point celui-ci est peu confortable. Du coup, je suis très content de pouvoir profiter de cette capucine, et aussi, de la présence de Marion.

Quelques secondes après, des ronflements retentissent, ce qui veut dire que notre père est déjà endormi. Tant mieux, car il veut se lever tôt demain matin pour reprendre la route. 

Avec Marion, nous dormons têtes bêches, c’est à dire que j’ai ces pieds à hauteur de mon visage, et elle a les miens à hauteur du sien. Seulement, je ne peux pas en profiter puisqu’ils sont cachés sous le duvet. Je ne peux donc que m’imaginer leur forme, leur odeur, leur beauté, leur…

Non, il faut que je m’arrête, sinon, c’est un coup à avoir une nouvelle gaule d’enfer, et je ne voudrais pas que Marion s’en aperçoive. Mais c’est dur de ne pas se faire des films, surtout sachant qu’elle ne dort qu’à quelques centimètres de moi ! Et dire qu’hier encore, à cette heure-ci, je ne m’étais jamais fait de tels films avec ma sur en tête d’affiche, qu’est-ce qui m’est arrivé en quelques heures pour que je fantasme à ce point sur elle ?

Bref, après quelques minutes de concentration, j’arrive à reprendre mes esprits, et je me calme. Ensuite, Morphée me tend enfin les bras, et je le rejoint dans le pays des songes.

C’est aux alentours de six heures du matin que mon père décide de reprendre la route, direction l’Espagne. Lorsque j’entends le moteur du camping-car rugir, et que je le sens avaler les premiers kilomètres de cette deuxième grosse journée de route, je me sens apaisé, et je me rendors tranquillement.

Quelques heures après, je sens que ça s’agite à côté de moi. J’ouvre un il, et j’aperçois Marion qui est en train de regarder son portable. 

-Salut, dis-je.

Évidemment, malgré la proximité, il faut quand même que nous haussions un peu la voix pour nous faire entendre à cause du bruit du camping-car.

-Bien dormi ? Me répond-elle.

Si elle savait que, dans un de mes rêves, je lui avais bouffé les seins en long en large et en travers avant de lui arracher son mini-short pour en faire de même avec son entrejambe, je doute qu’elle me poserait cette question…

-Oh que oui, et toi ? Je réponds innocemment.

-Comme un gros bébé.

Marion est toujours dans son duvet, mais le haut de son corps est à l’air libre. Je la vois donc à nouveau avec ce petit tee-shirt et, une fois de plus, je me pose la même question : porte-t-elle un soutien-gorge ? Si seulement je pouvais lui demander. Elle a les trait tirés et la moue un peu bougonne, comme à chaque fois qu’elle se réveille. Ça ne l’empêche pas d’être belle à tomber, une fois de plus. 

-Bon, on fait quoi aujourd’hui, pour faire passer le temps ? Demande-t-elle d’une voix ensommeillée. 

-Je sais pas, tu proposes quoi ?

-Si on descend maintenant, c’est un coup à ce que maman nous fasse une leçon d’histoire par ville qu’on traversera, donc ça risque d’être barbant, non ?

-C’est pas faux…

Personnellement, je n’ai rien contre l’idée de passer la journée dans cette capucine avec Marion à mes côtés. Au contraire, même, sa présence me satisfait au plus haut point, et je ne sais pas s’il s’agit d’une bonne nouvelle. Malgré tout ce que j’éprouve pour elle depuis hier et toutes les pensées un peu dégueulasses que j’ai à son égard, ça reste ma sur, nom d’un chien, ma petite sur, même !

Malgré l’heure matinale et les températures encore un peu fraîches, Marion s’extirpe de son duvet et s’allonge dessus toujours tête bêche. Du coup, je suis aux premières loges pour admirer ses jambes nues et sa petite culotte bleue pastel, ce qui provoque chez moi des nouvelles bouffées de chaleur. Comment essayer de résister face à un tel spectacle ?

Je sens que ça s’agite dans mon boxer. Non, pitié, pas de gaule matinale, pas maintenant, pas devant ma sur ! Et pourtant, je ne peux rien faire contre ça ! Plus je regarde ses jambes, plus je sens mon sexe se dresser. Il faut donc que je trouve une solution pour ne pas me faire griller par Marion. Après quelques secondes, j’ai la solution. 

À mon tour de m’extirper de mon duvet, sauf que, plutôt que de rester tête bêche, je me mets sur le ventre, et mon visage se retrouve donc à quelques centimètres de celui de ma sur. En sentant mon sexe dur s’écraser contre le matelas, j’esquive une petite grimace. Je me retrouve donc en boxer, côte à côté avec Marion, et surtout, cette dernière peut avoir une très belle vue sur mon cul. J’espère que cette érection matinale va vite disparaître, car je n’ai pas l’intention de rester comme ça très longtemps. 

-Ca va, frangin ?

-Oui, pourquoi ?

-Je sais pas, t’as pas l’air tranquille, j’ai l’impression…

-Si si, ça va ! Bon, on fait quoi, du coup ?

Pendant les quinze minutes qui suivirent, nous papotons tranquillement et rions beaucoup, ce qui me change les idées, et ma bite commence à reprendre une taille normale. Ouf ! 

Soudain, le camping-car emprunte une route qui a l’air un peu cabossée, ce qui nous secoue un maximum, si bien que, sans le faire exprès, la main de Marion se pose sur ma fesse gauche.

-Désolé, frangin, c’est la secousse ! Assure-t-elle en enlevant aussitôt sa main.

-Il y a pas de mal, je réponds, sans penser que le pieu qui se trouvait entre mes jambes venait de se réveiller à nouveau à cause de ce bref contact.

-T’as les fesses vachement dures !

S’il n’y avait que ça, suis-je tenté de répondre…

-Ouais, je sais, à force d’être allé au lycée en vélo avant les vacances, ça m’a musclé le fessier.

-Et ben, c’est… impressionnant !

Je rigole, gêné par cette remarque, et aussitôt par le matelas de la capucine que j’ai peur de déformer, tant mon érection me fait mal. Vite, changeons de conversation !

-Tu devrais en faire autant, ça te ferait peut-être du bien !

Qu’est-ce qui m’a prit de dire ça ? Les fesses de ma sur sont parfaites ! C’est très déplacé, comme remarque ! Elle me fixe donc pendant quelques secondes puis, finalement, elle rigole.

-Elle est pas mal, celle-là, tu me l’avais encore jamais faite ! Me dit-elle.

Je me force à rire également puis, nous repartons sur autre chose. Pour la deuxième fois en quelques minutes, mon érection disparaît, et me voilà donc soulagé.

Après une heure de route supplémentaire, mon père décide de s’arrêter sur une aire pour prendre un petit-déjeuner, à quelques centaines de kilomètres de la frontière espagnole. Marion et moi descendons donc de notre perchoir puis, nous enfilons les premiers vêtements qui nous tombe sous la main, et nous suivons nos parents qui nous emmènent dans une petite cafétéria qui se trouve sur l’aire.

Nous déjeunons donc rapidement de viennoiseries, café, jus d’orange et chocolat chaud. Quand mon regard se pose parfois sur Marion, j’ai l’impression que mes joues rougissent au quart de tour. Et quand elle me regarde à son tour et qu’elle me décroche un petit sourire, je ne sais plus où me mettre ! 

Heureusement, j’arrive à me contenir, et mes parents ne s’aperçoivent pas de ma gêne. Nous terminons donc notre petit-déjeuner, puis, après que chacun soit allé faire un tour aux toilettes, nous reprenons la route vers l’Espagne.

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