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Contes sexuels – Chapitre 3

Délire sexuel de Gaïa et son chien Pool - Chapitre 1



Je portais une longue robe au tissu très fin et moulant, sorte de coton transparent, et j’avais les yeux bandés. Mes mains attachées dans mon dos, à l’aide de menottes qui m’avaient paru assez élaborées, ce que je devinais seulement au contact avec ma peau car je ne pouvais rien apercevoir, j’avais été guidée jusqu’à la pièce où l’on m’avait finalement laissée par un collier au bout duquel on avait accroché une laisse. Je sentais une odeur âcre et douce, profonde, je commençais à reconnaître une sorte d’encens et entendait des chants qui se rapprochaient, comme une procession assez lente mais de taille conséquente. J’étais debout, en tenue plus que légère, dans cette pièce qui me rappelait la salle de prière d’une église, cependant pourquoi m’aurait-on amenée jusqu’ici, qui plus est dans une telle tenue de pécheresse ?

J’entendais la salle se remplir, j’étais toujours immobile, même si je frissonnais de temps à autre, mais je commençais à vouloir deviner où je me trouvais et ce que tout ceci signifiait. On m’avait enlevée de chez moi en pleine nuit pour m’emmener jusqu’ici, on m’avait attachée et bandé les yeux : pourquoi une telle mise en scène ? Je savais presque être dans une église, mais encore une fois pour quelle raison ?

Je sentis quelqu’un passer près de moi, sans me toucher toutefois, et une voix résonna dans la pièce :

— Mes très chers frères et surs, je vous ai réunis aujourd’hui pour parler d’un grave problème qui menace notre communauté…

De nombreux chuchotements se faisaient entendre dans ce qui semblait être le groupe des fidèles, d’ailleurs cette voix elle-même ne m’était pas inconnue.

— Silence !

Et le calme revint, cet homme avait l’air très charismatique – Il a été porté à ma connaissance que les récoltes seront très mauvaises, selon les paysans, et la situation avec nos voisins s’aggrave, nous trouvons difficilement un accord de paix… – j’aurais bien voulu qu’il dise enfin pourquoi je me trouvais là – Mais vous n’êtes pas sans ignorer, mes chers fidèles qui avaient lu consciencieusement notre livre saint, que souvent la cause des malheurs d’une communauté peut venir d’un individu particulièrement doué pour le péché. C’est toute sa conduite impure qui peut s’abattre sur ceux qu’il côtoie, méfiance !

Une sueur froide me coula dans le dos : comment étaient-ils tous au courant de mes petits amusements nocturnes avec mon ami d’enfance ? C’est même lui qui m’a séduit avec les caresses apprises durant ses voyages, avant de repartir encore une fois vers de nouveaux horizons. Je commençais à réfléchir, j’avais entendu parler de cérémonies de jadis de "purification", en gros sorte d’orgie où une pécheresse est désignée et recevra tous les sévices que quiconque veut lui faire endurer, pour éloigner les mauvais esprits et surtout le Diable. Oh mon dieu, pensais-je, aide-moi…

L’homme s’était avancé jusqu’à moi et me tenait par la taille en annonçant :

— Nous savons qu’elle est la responsable de nos malheurs, nous allons donc pratiquer comme nos ancêtres une cérémonie purificatrice de péchés sur cette pauvre âme perdue, mes fidèles remettons-la dans le droit chemin !!

Explosa avec joie mon tortionnaire – à cet instant je compris, cette voix, c’était le nouvel évêque récemment envoyé chez nous et qui m’avait conseillé de venir le voir en confession, en précisant bien que je devais venir seule (j’avais trouvé que cela ressemblait à des avances…). Etait-ce là une vengeance de l’homme d’Eglise pour profiter impunément de mon corps et esprit ? Il commençait en effet déjà à me caresser les fesses, si près du but car ma robe était si fine qu’il aurait pu la déchirer d’un coup et me pénétrer là devant ces gens. Il prit ma laisse, me dirigeant vers là où il se tenait durant son discours préparatoire, où se trouvait l’autel de pierre : il me fit asseoir dessus en me portant dans ses bras, puis m’obligea à m’allonger tant bien que mal en repliant mes jambes, exposant mon vagin à sa propre vue. Je ne voyais toujours rien, mais je sentais sa main qui me caressait le ventre en psalmodiant, les autres personnes présentes priant, il se dirigea vers mon entrejambe que j’essayais de soustraire à ses caresses mais il me gifla et disant d’un ton cassant

— Si tu ne te laisses pas faire par ton évêque, je laisserai mes fidèles te passer dessus, un par un et tu sais que ce n’est pas tous les jours la folie sexuelle par ici, ils risqueraient de te briser… Un si joli corps, quel gâchis… En titillant mon bouton, c’était agréable mais j’étais extrêmement gênée de me trouver là.

— Mes fidèles, nous allons commencer la cérémonie puisque la fille mouille déjà de l’intérieur…

Oh mon dieu, mais aidez-moi et parlez à votre serviteur me disais-je en appréhendant de plus en plus le traitement que j’allais recevoir, même s’il avait raison, je mouillais abondamment. J’entendais les gens se lever et s’approcher de l’autel où je me trouvais à leur merci, je devais offrir une vision assez excitante ainsi, presque nue, tremblante et bientôt dégoulinante.

— Joshua, as-tu amené le saint bâton ?

— Qu’est-ce que cette invention encore m’inquiétais-je –

— Oui monseigneur

Dit une voix qui avait l’air d’être celle d’un homme d’âge mûr, car je crois bien qu’il n’y avait que ça ici des hommes. L’évêque prit l’objet et je sentis une sorte de pénis artificiel qui se collait contre mes lèvres vaginales, arrondi au bout comme en vrai pour ne pas me blesser. Je gémis un peu, la pression s’arrêta :

— Vous allez lui caresser les fesses à tour de rôle, mais je vous interdis d’enfoncer des choses dedans pour l’instant… Dit l’évêque en me positionnant fesses en l’air, mains toujours attachées dans le dos, relevant ma fine étoffe pour ne pas en perdre une miette.

— Relève les fesses, m’ordonna-t-il en les claquant violemment et je m’exécutais, non sans mal vu ma position. Il les caressa une dernière fois avant de se repositionner à l’arrière de l’autel, sûrement pour surveiller les autres. Le défilé commença et mes sensations également : certains me titillaient un peu l’anus, mais mon bourreau les rappelait à l’ordre, comme s’il voulait garder ce plaisir pour lui tout seul. Certains me les claquaient avec force, je commençais à les sentir rougir et ne pourrais bientôt plus étouffer mes cris.

— Mark, amène les feuilles du diable

Mais non, il n’allait pas faire ça, j’avais les larmes aux yeux en songeant à ce que j’allais subir sur mon postérieur déjà meurtri. Je sentis qu’on frottait des feuilles rugueuses contre mes fesses, deux secondes plus tard une chaleur m’envahit mais elle ne s’arrêtait pas, j’avais chaud je voulais m’arracher la peau et je gémis.

— Les péchés s’effacent par le sang ou le feu, tu devrais être reconnaissante que nous te laissions la vie sauve au lieu de gémir de la sorte… Murmura leur chef en riant sous cape.

Je souffrais encore plus car il claqua trois fois ma peau irritée par ces plantes qu’on trouvait partout dans les bois et que depuis toute enfant j’appelais moi aussi "Feuilles du diable", les fameuses orties. Il me fit ensuite asseoir les jambes dans le vide, face à la salle cette fois, ma robe était de plus en plus relevée ils auraient presque pu me la retirer j’imagine, mais je n’étais pas en position de demander quoi que ce soit. Je sentais l’air froid qui passait dans le bâtiment, mes tétons se durcissaient encore un peu plus mais heureusement mes fesses reposaient sur la pierre, la chaleur ne diminuait pas mais au moins demeurait constante. Je sentais le groupe m’entourant, certains caressant déjà mes seins et mes cuisses, bien qu’aucun ordre n’ait été donné directement. Je ne sais combien de mains me palpaient exactement, mais mon corps jeune et ferme leur plaisait manifestement, car quelqu’un glissa un pénis assez dur dans mes mains ligotées dans mon dos, j’essayais de me dégager mais c’était impossible :

— Allons donne un peu du plaisir que tu as appris chez les démons à mes fidèles, ils le méritent eux au moins. Dit l’évêque, donnant le point de départ à l’orgie tant attendue.

J’essayais donc de bouger ma main en rythme pour combler cet inconnu, pendant que mes seins étaient violemment pincés et sucés, je sentis enfin deux doits qui s’introduisaient dans mon vagin, sans mal après le traitement que j’avais reçu. On me releva les jambes, un pénis remplaça les doigts intrusifs, je criais car j’avais seulement été pénétrée quelques fois, par mon amant de jeunesse qui était certes bien doté mais ne savait pas s’y prendre aussi bien que mon partenaire imposé. Ses puissants coups de reins faisaient frotter mes fesses contre la pierre, j’avais mal mais prenait beaucoup de plaisir, bien que cela eut été difficile à avouer, surtout devant cette assemblée qui me jugeait pour ce genre de faits. Il éjacula assez rapidement, un autre engin vint le remplacer juste après et ainsi de suite pendant presque une heure : je criais de plus en plus fort, à tel point que le chef intima à un de ses sbires de mettre une main sur ma bouche

Elle va réveiller toute la paroisse avec ses cris de plaisir pervers. J’étais donc entravée de manière totale, même ma bouche ne m’appartenait plus et je me sentais défaillir.

— Continuez, elle doit entrer en transe et se libérer des démons qui l’habitent ! Dit mon tortionnaire d’un ton grandiloquent.

J’entendais de moins en moins bien, mes oreilles bourdonnaient et je sombrais sous un énième assaut sexuel, m’écroulant sur le côté évanouie.

Je me fis réveiller par de l’eau lancée au visage, je n’avais plus mon bandeau et mes mains étaient libres, enfin en tous cas pas dans mon dos : j’étais allongée sur une banquette assez luxueuse – voilà comment vit le clergé me dis-je, pendant qu’on dormait sur de la paille… – recouverte d’un tissu moelleux, mes fesses l’en remerciaient car je les sentais à vif et toujours chaudes, les mains cette fois ligotées devant moi.

— Je crois que le processus arrive à son terme, belle enfant. Tu nous as presque fait peur, mais c’était un habile subterfuge des démons je le sais.

Je pouvais observer mon bourreau pour la première fois, de belle taille et carrure, il avait un visage assez fin et de belles boucles blondes, un ange adulte presque mais aux idées bien perverties je le savais désormais. Il me contemplait d’un air pensif, mais je ne voulais pas imaginer ce qui traversait son esprit tordu. Comme s’il lisait en moi, il sourit et se leva, mettant son entrejambe au niveau de mon visage : j’avais compris, il voulait de moi les pires outrages et péchés avant de pouvoir me "pardonner" et me remettre dans le droit chemin. Il baissa son pantalon blanc, révélant un pénis dressé et de belle taille. Les prêtres nous avaient toujours enseigné que prendre un pénis dans la bouche pour une femme était aussi terrible que le crime de sodomie, pourquoi m’infliger cela ? J’ouvrais pourtant la bouche, encouragée par les caresses dans mes cheveux et sur ma joue, il enfonça directement sa verge dans ma bouche et je léchais et suçais tant que je pouvais, je ne savais pas réellement comment m’y prendre pour lui donner du plaisir et le décourager dans son entreprise, car trop fatigué pour pouvoir profiter de mon corps.

Je suçais son gland, il aimait ça vu la violence avec laquelle il me tirait les cheveux. Pourtant, d’un coup, il m’écarta violemment la tête de sa queue :

— Je sais que ce que tu essaies de faire, ma pécheresse, mais je vais encore devoir m’occuper des autres orifices souillés par le Diable, je suis sûre que ça va t’aider… Dit-il en se baissant sur moi cette fois, retirant complètement son bas.

Il était au-dessus de moi, il se mit à tirer sur ma robe et la déchira en deux très facilement, me laissant à moitié nue au niveau du pubis et des hanches. Il écarta mes cuisses avec ses deux mains, me cambra sur le dos et me pénétra d’un coup jusqu’à la garde. Je sentis sa longue bite m’empaler, je sentais presque les veines gonflées de son pénis car j’étais assez étroite de par ma corpulence mince. Il gémissait, moi aussi, il empoignait mes cuisses pour mieux manuvrer en moi et s’enfoncer toujours plus profondément. Ses reins faisaient bouger les miens, même si je tentais encore de résister, ce qu’il remarqua vite et sourit, m’enfonçant un doigt impromptu dans l’anus. Le regard offensé et apeuré que je lui lançais fit apparaître son sourire blanc carnassier.

— Oui il faut en passer par là si tu veux que la cérémonie soit exécutée en règle… Me murmurait-il en me branlant lentement l’anus, mes fesses brûlant de nouveau à cause des orties, et prenant de nouveau le "saint bâton", me masturba le vagin avec, me faisant mouiller au point où je tachais la banquette sacrée.

— Il faut purifier cette zone, dit mon maître, arrêtant de me faire gémir pour aller chercher un bâton cette fois orné d’une croix de pierres précieuses.

Il me massa cette fois la zone clitoridienne avec le bout arrondi de son crucifix, tenant la croix à pleine main. Je gémissais mais j’avais honte, car c’était avec un symbole religieux, mais c’était sûrement cela qu’il voulait me faire ressentir. Il tint mes jambes relevées et se mit à me masser l’anus de nouveau, enfonçant un peu son arme de Dieu dans mon fondement, orifice interdit et sacrilège. J’essayais de me tourner, je résistais tant bien que mal, ce qui fit encore une fois rire mon bourreau : il me fit mettre à quatre pattes m’appuyant sur mes mains ligotées, m’obligeant à écarter les cuisses et pesant de tout son poids sur moi comme ça je ne pourrais pas échapper à mon sort. Je me tortillais un peu mais ce fut un effort vain, mon anus était allègrement massé et se détendait lentement, malgré mes protestations intérieures mon corps réagissait, l’évêque poussant le bâton à l’intérieur de moi.

Je criais, de plaisir surtout, et un pénis véritable vint envahir mon cul. Il avait l’air satisfait, il entrait et ressortait lentement, m’arrachant de nouveaux cris, qu’il amplifiait en me pinçant les tétons. Il me sodomisa pendant ce qui me sembla une éternité, parfois avec de rapides coups de reins, parfois profondément, presque tendrement comme si je ne devais plus être punie mais initiée au plaisir. Il se mit à me griffer les fesses et j’atteins ma limite, je me contractais et hurlais : j’eus un orgasme immense, je sentis un liquide couler le long de mon anus. L’évêque était assis et me caressait les fesses, puis il me détacha les mains et m’aida à me relever. Je le regardais d’un air implorant, j’espérais être libérée et pouvoir partir d’ici : il me dit

— Il va falloir te trouver une tenue plus présentable, j’espère que tu as compris la leçon cette fois, d’un ton froid, j’étais surprise car il venait de me pénétrer par l’endroit le plus intime et défendu mais après tout c’était un homme de Dieu et ma famille m’avait convaincue de me remettre à lui, je devais accepter ma punition.

— Prions maintenant, et il m’ordonna de me mettre à genoux, les mains jointes devant moi et yeux fermés, je dus lui réciter une prière qu’il me fit répéter plusieurs fois.

— Je sens encore les ombres des démons en toi, ou alors tout simplement tu es très excitante, dit-il avec le regard que je lui avais vu lorsqu’il m’avait sommée de venir lui rendre visite pour une consultation religieuse privée, dont j’imaginais déjà la nature à l’époque, mais maintenant je sais.

— Je vais devoir te surveiller mon enfant, tu viendras me rendre visite dans un mois, d’ici là je recommande prières et messes… Dit-il en me pinçant le téton violemment, car je portais toujours ma robe déchirée et elle laissait voir tout mon corps. Mon dieu, vais-je un jour être libéré de tout cela ? Me demandais-je en rentrant chez moi à travers la campagne, heureusement vêtue plus chaudement et décemment. (à suivre ?)

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