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Histoire de soumission – Chapitre 1

Histoire de soumission - Chapitre 1



Bonjour, je me présente, je m’appelle Stéphane, je mesure un peu plus d’1,80m pour 82 kg, les cheveux blonds cendrés, assez sportif, je suis musclé, et je suis un soumis.

Non pas un soumis qui se fait battre ou utiliser comme un moins que rien ou même comme une femme, un chien ou tout autre animal. Mais je reste au service de celle qui est ma femme et maîtresse parce que je l’aime, qu’elle m’aime et qu’elle me traite bien.

Pour vous expliquer, je dois revenir un peu dans mon passé.

Je suis issu d’une famille catholique, limite intégriste. Mes parents sont très croyants et extrêmement pratiquants. Si ce n’était dû à une maladie de ma mère, nous serions une de ces familles ultra nombreuses car la contraception est l’invention du diable. Mais nous ne sommes que quatre enfants. Mes trois surs, deux plus âgées et une plus jeune que moi.

Comme tout garçon normal, j’ai connu un bouleversement hormonal au début de l’adolescence. Mais j’étais un garçon très timide et très formaté par l’éducation chrétienne de mes parents. Du coup j’avais très peur d’approcher les filles qui me plaisaient. Je suis donc resté longtemps dans l’ignorance de ce qu’était le corps féminin. Avec les débuts d’internet, j’ai découvert la masturbation devant les premiers sites de cul. J’étais encore jeune et la nuit, je regardais les filles sur ces site. Mais c’était difficile, il n’y avait qu’un seul ordinateur dans la maison et il fallait se connecter avec un numéro de téléphone. Mes parents se sont rendus compte que quelqu’un se connectait durant la nuit sur internet. Saleté de facture détaillée.

En dehors de ces soirées sur l’ordinateur, j’avais aussi une autre perversion. Je prenais les culottes que mes surs avaient portées dans la journée et que je me masturbais régulièrement dedans avant de les remettre dans le panier de linge sale. Quand je ne pouvais pas, j’aimais bien avoir les mains dans mes poches et me tripoter la bite, m’excitant dans presque n’importe quel lieu.

Peu de temps après mes 19 ans, je préparais mon bac, ben oui, j’avais redoublé une fois. Un soir, après avoir attendu que tout le monde dorme en faisant mine de réviser, je suis allé sur l’ordinateur.

Mon père est entré dans la pièce quelques minutes après, me trouvant en train de me masturber devant des photos de filles nues dans différentes positions. Il s’en suivit une engueulade magistrale qui réveilla le reste de la maisonnée et où furent déballées toutes mes perversions.

Le lendemain, c’était dimanche, jour de la messe. Je reçu l’ordre de rester à la maison car j’étais impur et incapable de me contrôler. Je ne pourrais donc plus aller à la messe avant d’être passé à confesse. La pièce contenant l’ordinateur avait été verrouillée et il m’était impossible de forcer la serrure sans laisser de trace. Je retournais donc réviser mon bac.

Au retour de la messe, mes parents m’ont parlé d’une psychologue qu’ils avaient rencontrés à la sortie de l’église et qu’elle avait accepté de s’occuper de mon cas. Elle ne pouvait être que bien, vu qu’elle était présente tous les dimanches à la messe avec son mari en fauteuil roulant.

Pour vous la décrire rapidement, elle avait plus de 60 ans, était encore assez belle avec ses cheveux blancs en chignon. Mais elle était la caricature de la catho parfaite dans son comportement. Son mari était handicapé suite à un accident et ils avaient 7 enfants. De bons chrétiens quoi.

Le lundi soir de la semaine suivante eu lieu ma première séance. Elle m’a demandé pourquoi je faisais ça et tout un tas d’autre questions dont je n’ai plus souvenir. A la fin de la séance, elle m’explique qu’elle avait accepté de me prendre en charge par amitié avec mes parents, mais qu’elle allait bientôt prendre sa retraite. Elle commençait à former sa remplaçante qui allait finir ses études en juillet et que ce serait elle qui s’occuperait de moi après les vacances.

Je la revis donc tous les lundis soir après les cours jusqu’aux vacances. L’ordinateur, lui, m’est resté inaccessible dès le repas du soir passé. Je pouvais y aller en journée, mais avec contrôle fréquent ce ce que je faisais.

Nous arrivons donc au mois de septembre. J’avais eu mon bac, mais ville universitaire oblige, je continue à vivre chez mes parents. Ma nouvelle psychologue s’appelle Vanessa et a tout juste 22 ans, elle avait de l’avance dans ses études. Elle est brune, environ 1,70m, un peu boulote, 75 kg, mais très bien foutue, vêtue d’une jupe descendant à mi-cuisse sur des jambes gainées de nylon et un gilet raz du cou en haut. Je tombe instantanément amoureux. Mais bon, voilà, c’est pas possible, elle est ma thérapeute.

Lors des première séances, elle me regarde régulièrement d’une façon assez indéfinissable. Je ne sais comment le prendre et c’est difficile de lui parler de ma sexualité, vu que c’est sensé être le sujet de mes séances. Après quelques mois, arrivent les vacances de Noël. Lors de ma dernière séance avant ces vacances, elle m’offre un paquet cadeau. Alors que je vais pour l’ouvrir, elle pose sa main sur la mienne et me dit :

-"Tu ne l’ouvriras que chez toi et quand tu seras seul dans ta chambre. Sur la boite, il y a une lettre. Prends-en connaissance avant d’aller plus loin." Elle enlève sa main de la mienne et me signifie que la séance est terminée.

Je rentre chez moi, très surpris et très intrigué aussi. Mes parents me demandent comment s’est passée la séance, je leur répond de façon aussi évasive que possible et vais m’enfermer dans ma chambre. J’ouvre le papier cadeau et trouve le mot. Je le déplie et le lis. En le lisant, je sens monter mon excitation. Dans la lettre, il est écrit que je lui plaît depuis notre première séance et qu’elle sait que pour une thérapeute, ce n’est pas sérieux. Aussi, elle me propose de passer à un autre genre de relation. Mes parents n’en sauront rien, pensant que je vais toujours voir "la vieille pie", comme l’appelle Vanessa. Si j’accepte, son offre, à notre première séance de la nouvelle année, je devrai porter ce qu’il y a dans le carton qui est avec la lettre, et lui remettre les clefs comme signe d’acceptation.

Ne comprenant pas trop la fin de sa lettre, j’ouvre la boite en carton se trouvant dans l’emballage. Je découvre un objet étrange en métal. Il y a un anneau qui s’ouvre, une espèce de cage courbée et un cadenas avec 2 clefs. En dessous un mode d’emploi pour l’enfiler. Un tube de gel lubrifiant se trouve aussi avec le mode d’emploi. Je lis le mode d’emploi et découvre qu’il s’agit d’une cage de chasteté pour homme. L’anneau se passe autour des testicules et du pénis, la cage s’enfile sur ce dernier et le cadenas sert à tout verrouiller afin de garder la cage en place. Très excité par la situation, je veux l’essayer. Mais voilà, pour l’enfiler, il ne faut pas être en érection. La meilleure solution à mon problème, c’est de me branler. Sauf que c’est l’heure du repas. Je range le tout au fond de mon placard et je file manger, me demandant comment je vais faire pour l’essayer.

Quelques jours plus tard, la situation me permet de me retrouver seul à la maison. Prenant comme excuse mes partiels de la rentrée, j’évite la tournée de la famille avant Noël. Une fois la maison vide, je me précipite dans ma chambre, je sors la cage, le lubrifiant et le mode d’emploi. Je me masturbe pour éviter d’avoir une érection pendant l’enfilage de la cage. Comment vous dire que la jouissance fut l’une des plus rapide de ma vie de branleur. Sitôt ma queue dégonflée et nettoyée, il est marqué qu’il vaut mieux qu’elle soit propre pour enfiler la cage, je place l’attirail sur mon service 3 pièces. L’excitation remonte et je me rends compte qu’il m’est impossible de bander pleinement que ça fait mal. Je me plonge donc réellement dans mes révisions pour faire tomber l’excitation. N’ayant pas fait attention à l’heure, mes parents rentrent et me trouvent à ma table de travail, surpris par mon assiduité. Moi aussi d’ailleurs. Pas une seule fois je n’ai eu envie d’ouvrir mon pantalon pour me tripoter. Ce qui était encore le cas avant, malgré les séances de thérapie sensées avoir supprimé ces comportements. C’est donc la cage encore en place que je suis descendu manger, n’ayant pas eu le temps de l’enlever.

Le soir, avant de me coucher, au moment de ma toilette, je décide de la retirer et de la ranger, réfléchissant à ce que j’allai faire.

Le lundi de la rentrée, je dois partir en cours et dans la foulée, me rendre à ma séance avec Vanessa. Je ne pourrai pas me mettre la cage dans la journée, aussi je décide de la mettre juste après ma douche matinale. Ayant eu plusieurs fois le temps de m’entraîner à l’enfiler pendant les vacances, je le fais rapidement et referme le cadenas. Je glisse les clefs dans ma poche et pars en cours.

La journée se passe lentement, non pas que les cours m’ennuient, mais j’ai hâte d’être ce soir. Comme je suis un solitaire, personne ne m’ennuie et c’est donc immédiatement après les cours que je me rends chez Vanessa.

En rentrant, elle est là, elle m’attends dans l’entrée de son cabinet. Elle est magnifique, vêtue d’une jupe longue fendue jusqu’en haut de la cuisse, dessous j’aperçois ce qui ressemble à des collants, mais ils sont parfaitement assortis à la dentelle qui dépasse de sous son gilet ouvert jusqu’au milieu de son torse. Je découvrirai plus tard qu’il s’agit en fait d’une superbe combinaison en dentelle moulant son corps parfait. Ses cheveux sont libres sur ses épaules encadrent magnifiquement son visage. Je ne l’avais jamais vue les cheveux dénoués, elle les portait toujours en chignon lors de nos séances.

Elle me regarde, semble attendre quelque chose. Je plonge alors la main dans ma poche de pantalon et lui tends les clefs du cadenas fermant la cage qui entoure mon pénis. Je lui remets par ce geste le contrôle sur ma virilité.

Elle prend les clef, les regarde, passe sa main sur mon entrejambe et m’embrasse sur les lèvres avant de partir dans la pièce lui servant pour les consultations. Je la suis, bien entendu.

Arrivé là, je la vois s’asseoir sur son fauteuil et me désigner celui sur lequel je prends place habituellement. Elle me regarde avec un grand sourire et me dit :

-"Bien, je vois que tu as suivi mes consignes. Donc à partir de maintenant, tu ne pourras plus te servir de ton attirail, pour autre chose que pisser, sans mon consentement.

Nous allons conclure un accord. Ce soir, je te libère le temps de me montrer comment tu te branles. Si le spectacle me plaît, tu auras une surprise. Ensuite, je remettrai la cage en place et tu la garderas jusqu’à lundi prochain. Là, nous parlerons de l’avenir. Est-ce que le programme te convient ?"

Je signifie mon accord en me levant et en entreprenant un show de danse pour enlever mes habits comme le ferait un gogo danseur de nos jours. Arrivé à mon caleçon, je le baisse en tournant le dos à ma maîtresse, avant de lui montrer la cage bien en position et mon sexe mi-dur, empêché de prendre son ampleur par le métal.

Elle me regarde en souriant et me fais signe de m’approcher d’elle. Elle sort la clef et ouvre la cage. L’anneau s’ouvre lui aussi et elle dépose le tout sur la table à côté d’elle. Là, ma queue a toute la place de prendre son essor et gonfle à son maximum. Je sais depuis que j’ai une bite de taille normale environ 14 cm de longueur pour 4 ou 5 cm de diamètre. Mais à ce moment là, je l’ignorais, pensant avoir une petite bite, vu ce que j’avais découvert sur internet. Elle me laisse me masturber en me regardant. Régulièrement, je la vois se lécher les lèvres et ses jambes s’ouvrent de plus en plus. Au bout d’un temps assez bref, je sens les prémices du plaisir. Je ne sais comment faire, aussi je ralentis de plus en plus pour ne pas éjaculer trop vite. Elle me regarde méchamment et me dit :

-"Continue, ne ralenti pas, nous n’avons pas toute la soirée." Disant cela, elle me tend une boite de mouchoirs. J’en prends un et juste à temps, le positionne sous mon gland avant que celui-ci ne dégorge son jus. Je m’assois sur le fauteuil, les jambes coupées par la jouissance. Quand je reprends mes esprits, je la vois la jupe relevée, les jambes écartées sur les accoudoirs de son fauteuil et la main en train de caresser son sexe. Je vois à ce moment là qu’elle porte une combinaison et que l’entre jambe est ouvert, laissant l’accès à sa chatte. Elle me fait signe d’approcher et me demande de la lécher. J’avais vu des photos sur internet et j’entreprends de reproduire ça sur son sexe. Mon premier sexe féminin vu en vrai et d’aussi près. L’odeur, la vue, le toucher et surtout le goût, je suis au paradis. J’entreprends donc de la lécher dans toute sa splendeur et de lui donner à elle aussi la jouissance. Elle est tellement excitée que ça ne prend pas longtemps.

Elle se réajuste, m’embrasse et entreprend de me remettre la cage. Après l’avoir glissée dans la cage et refermé le cadenas, elle dépose un baiser sur ma queue. Elle se redresse, m’embrasse encore une fois et me glisse à l’oreille :

-"Tu as été très bien ce soir. La semaine prochaine, même heure. Si tu continues à te comporter aussi bien, tu auras une autre surprise."

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