Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe hétéro

Mon fils, cet étalon. – Chapitre 23

Mon fils, cet étalon. - Chapitre 23



Mon réveil est des plus calme. Je suis seul dans le grand lit, comme d’habitude. Je passe rapidement à la douche et je vais sur la terrasse. Pierrot est là ! Il est revenu !

Coralie se lève, son mec me regarde.

Salut ma puce, bien dormi ?

Euh, oui…

Je m’avance vers Pierrot, qui est nu, et lui fait la bise.

Je m’attendais à un accueil plus chaleureux, me dit-il en flattant mes fesses.

Je regarde Coco qui me fait un petit clin d’il. Je me baisse et je l’embrasse à pleine bouche. Mon amie se positionne entre les jambes de son homme et lui lèche le gland. Elle me tire pour que je me mette dans la même position. Instinctivement, ma langue vient rejoindre celle de mon amante.

Putain, deux charmantes créatures sous mon toit, quel pied !

Coco lui pompe la queue jusqu’au pubis. Il la repousse.

Désolé, mon amour, mais je t’ai promis d’honorer ta copine dès qu’elle serait réveillée et je n’ai qu’une parole.

Il se lève et me prend par la main. Je le suis comme un automate, Coco nous a emboîté le pas. On est dans leur chambre, il vire la couette et remet les oreillers en place. Debout, j’attends. Il me prend dans ses bras puissants et me caresse le dos, les épaules et les fesses. Il est très doux, très… prévenant. Il m’embrasse dans le cou, me suce le globe de mes oreilles quand je sens sa langue pénétrer à l’intérieur, je pousse un "HAN". Sa langue s’invite dans ma bouche. Elle virevolte avec la mienne. On en bave. Je suis bien.

Il m’allonge sur le lit, jambes pendantes en dehors. Il entame une descente vers mes seins qu’il embrasse avec douceur. Ses mains caressent mes aisselles, mon cou. Je ferme les yeux. Je m’abandonne. Ma respiration est saccadée. J’ouvre les yeux. C’est un Pierre appliqué qui me fait l’amour. J’apprécie. Il descend sur mon nombril, il joue avec mon bijou.

HAN, OUIII.

Il sourit et descend sur mon mont de Vénus. Il fait un petit bisou sur mon tatouage, c’est mignon. Il continue sa descente. Il pince mon clito tout en écartant mes lèvres intimes. Dieu, que c’est bon de se sentir aimée comme il le fait ! Coco m’a dit que c’était un amant formidable, attentionné. J’en ai la confirmation. Il relève mes jambes et me fait une "feuille de rose". J’en tremble. Il remonte lentement en me léchant mon corps. Il réinvestit ma bouche dans un baiser passionné. J’aperçois Coco assise dans un fauteuil. Elle se branle lentement. Elle est belle ma Coco.

Je sens son gland appuyer sur l’entrée de ma chatte. Je replie mes guiboles sur ses reins.

Viens, prends-moi…

Je vais te faire l’amour comme je l’ai fait à ton amante, il y a deux heures.

Je regarde Coco qui me montre ses doigts pleins de sperme. Elle les lèche. Il s’enfonce en moi. Bien que moins grosse que celle de mon fils, elle est épaisse avec un gland énorme. Je le sens progresser lentement jusqu’à ce qu’il arrive en butée. Il ne se recule pas, il reste en moi en m’embrassant. C’est bon, c’est puissant, je sens ma cyprine couler. Quand il commence à se retirer, je l’en empêche.

Chut… Laisse-moi faire. Laisse-moi t’aimer… comme Coco t’aime.

Je diminue la pression sur ses reins. Il bouge son bassin et laisse son gland à l’entrée de ma chatte. Je le sens palpiter. Je contracte mes muscles vaginaux avant qu’il ne rentame sa pénétration. Il ferme les yeux.

Putain, que c’est bon… Ouiii !!!

Il se masturbe plus qu’il me baise. J’aime sentir son pénis sortir de mon puits et me réinvestir avec lenteur, avec douceur. Nos bouches ne se quittent plus. On joue avec nos menteuses. Je lui suce la sienne, il me suce la mienne. On est que tous les deux dans cette chambre conjugale. Mon regard se voile, je jouis en silence. Quand il me retourne, je ne suis plus qu’une poupée. Il reprend possession de mon corps en me tenant plus fermement par les hanches. Comme quoi les hommes sont faibles à la vue d’un cul offert, ils ne peuvent plus se retenir. Ils retrouvent leur instinct animal, dominateur. Il me prend plus sauvagement, ce qui n’est pas pour me déplaire. Cette fois, je hurle, cela le motive. Il est endurant, le bougre. Je contracte mes muscles. Il me traite de salope, de pompe à jus. J’y suis, je sais ce qu’il aime.

Vas-y, défonce-moi…

OUI, prends ça…

Je jouis une nouvelle fois avant qu’il ne se déverse en moi. Je m’affale sur le matelas inondé. Il me suit et c’est un baiser d’amour que l’on échange. Je suis sur un petit nuage quand Coco vient nous embrasser. Elle quitte la chambre, nous laissant reprendre notre souffle.

Je t’aime Christine, tout autant que Coco.

Je ne lui réponds pas, je lui souris. Il se lève et s’en va dans la salle de bain.

T’es un sacré bout de femme, je comprends mieux Coralie, maintenant. Depuis le temps qu’elle me parle de toi.

Je me lève et je m’appuie sur le chambranle de la porte.

Tu sais, je suis vraiment amoureuse de Coralie…

Je sais…

Cela ne te dérange pas ?

On est amoureux de la même femme et l’on ny peut rien. La partager avec un mec, non, mais avec toi… Hum.

Petit pervers, lui dis-je en le rejoignant sous la douche.

Il me savonne et semble réfléchir, puis se lance :

Tu veux vraiment qu’on se la partage ? Que l’on vive tous les trois ?

Euh… Ce n’est pas un bout de barbaque et je vis ici depuis plus d’un mois.

Et ton appart ?

Abandonné à mes parents.

Ah. Et comment l’ont-ils pris ?

Plutôt bien ; mais cela est un peu compliqué. On t’expliquera… si tu es sage.

Il m’embrasse avant de me donner une claque. Il va rejoindre sa dulcinée, notre dulcinée.

Je m’habille, me maquille. Quand je les rejoins, ils sont allongés côte à côte et Pierre déclare qu’il nous faut un lit plus grand et une armoire supplémentaire. Il aime ses aises.

Il me regarde et nous dit :

Vu que vous me voulez toutes les deux, je désire quelques compensations. C’est moi qui choisis vos tenues.

Il part vers la chambre et sort deux tenues identiques. Mini-short blanc et petits bustiers roses. Ça, c’est bien les mecs ; évidemment, rien en dessous. Une fois apprêtée, on part vers un magasin d’ameublement de luxe, bien connu de la côte bleue. On ne passe pas inaperçu, c’est le moins que l’on puisse dire. Deux nanas qui ne cachent rien de leurs bijoux, et un mec, les mains posées sur nos popotins. On choisit un lit XXL devant un vendeur amusé. Comme c’est un professionnel de la vente, il nous fait cadeau du traversin et de six oreillers moelleux. On prend six parures de draps. Une fois la note réglée, on nous annonce que vu le prix, on sera livré ce soir avant 18 h 00 et que le montage est offert. Super !

Bon, maintenant, direction "Miss Coquine" à Marseille.

On est à l’intérieur du magasin et il porte bien son nom. Entre la lingerie osée et les tenues plus affriolantes les unes que les autres et l’ambiance feutrée qui y règne, tout est fait pour faire chauffer la carte bleue. Pierrot bloque devant une robe en dentelle blanche, il la prend. Il se retourne et voit la même en rouge. Il nous demande d’essayer ces robes sans refermer le rideau de notre cabine. On vire nos fringues et l’on passe les robes, la blanche pour moi. On voit au travers comme… Je ne sais pas, j’en perds mon latin.

Il nous demande de sortir et de déambuler dans le magasin. A chaque fois que je passe devant un miroir, je me trouve belle, sexy, attirante. Mes bijoux ne se cachent plus derrière un tissu. Ils sont des plus voyants. Coco est sublime, elle le sait et se déhanche en marchant. On prend les deux plus une paire d’escarpins assortis de dix centimètres.

On se change, on repart.

Ça, c’est pour notre séjour au Levant.

Coco me regarde et éclate de rire. Je ne connais pas cet endroit. Elle me précise que c’est un lieu de villégiature réservé aux naturistes, et le soir, il se passe des vertes et des pas mûres dans les criques. Je lui souris.

On arrive à la villa et Pierre nous dit qu’il va se reposer dans le jacuzzi. On le suit après nous être démaquillées. On est avec lui et comme l’homme de la maison, il se laisse dorloter. Il a fermé les yeux et soupire d’aisance. On en sourit, le sultan et son mini-harem. Sa bite se tend. Il prend Coco et la met sur son ventre. Il la câline, la caresse, je m’éclipse discrètement.

Je suis dans la piscine quand mon Gégé arrive avec son Eva qui saute dans l’eau et s’accroche à mon cou. On s’embrasse. Gégé, dépité, s’en va au studio.

On est invité chez Paul et Estelle pour une soirée très privée. Hihihi !

Elle ressort en se dandinant du cul bien bronzé. On sonne et Pierrot apparaît habillé d’un pantacourt.

Reste dans l’eau, c’est les livreurs. Je vais les faire entrer par-devant.

Il part en sautillant comme un ado. Coco me rejoint et se pend à mon cou.

Alors ?

Euh… Tu ne m’avais pas menti. Bel étalon, ton pierrot ! Il sait être tendre et vigoureux quand il le faut.

Mais il ne t’a pas encore baisé, défoncé.

 ?????

Il t’a fait l’amour. Il t’aime bien et son désir pour toi est indéniable.

Tu n’es pas jalouse ?

De toi ? Non, bien au contraire. Je suis heureuse d’avoir mon mari et mon amante adorée sous le même toit. Tu vas voir, toi aussi tu vas adorer.

On s’embrasse tout en nous laissant couler.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire