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Soirée foot au bistrot – Chapitre 1

Soirée foot au bistrot - Chapitre 1



Samedi, nous sommes une dizaine de mecs dans notre rade habituelle. Soir de match oblige, la télé du bar transmet le match de notre équipe favorite. Les commentaires vont bon train. Le numéro 10, quel gland, trois fois qu’il est seul devant la cage et quil parvient à mettre le cuir à côté. Un vrai bourrin, déjà qu’on a un goal dans la vue.

— Ho patron, remet une rafale, il fait sec par ici.

— Ok, Pierre, la même chose pour tout le monde, je suppose.

— Ben oui, remet une tournée de Kro, vu ce qu’il se passe à l’écran, on ne va pas faire péter les roteuses.

Nous sommes en train de couiner comme des gorets lorsqu’une fille entre. La petite vingtaine, brune, grande par contre, elle doit flirter avec le mètre quatre-vingt et surtout bien proportionnée. Une poitrine ferme et haut placée et ce sans soutien à la manière dont les tétons pointent. Le bas, hélas nous ne l’avons vu que de face, mais le cul doit être proportionnel au haut, juste ce qu’il fait là où il faut. Elle est vêtue d’un débardeur et un jean taille basse qui laisse apparaître un piercing à son nombril.

Elle s’installe à une table dans le fond et attend que Jojo le patron aille prendre sa commande.

En d’autres moments, il y en aurait bien un d’entre nous qui serait déjà à sa table pour faire le beau. Mais là, la situation est grave, nous sommes menés par le dernier du classement et mis à part couiner comme des porcs, l’instinct du chasseur est absent.

— Bonsoir mademoiselle, que puis-je vous servir ?

— Un mojito, s’il vous plait.

Jojo retourne à son bar et prépare le breuvage de la petite dame. Cela étant fait, il lui dépose sa consommation.

— Pardon, c’est combien le score.

— 1-0 pour les rouges.

— Super, on va peut-être gagner aujourd’hui.

— Mwwwwwoui, mais c’est pas encore fini.

Notre Jojo revient et à sa tête, on comprend qu’il est en colère.

— Eh ben mon Jojo, elle nest pas gentille la petite dame.

— Cette connasse est pour les rouges. Elle n’a rien à faire ici.

— Non tu blagues Jojo.

— J’ai une tête à blaguer.

Lorsqu’il est comme ça le Jojo, faut pas trop le chercher.

— Je le savais que je devais fermer pour que l’on puisse regarder le match tranquille.

— Ben quest-ce qui t’en empêche ?

— T’as raison, Jules, il n’est pas trop tard pour bien faire.

Et notre Jojo repart vers la petite dame.

— Je vais fermer mademoiselle, si vous voulez bien me régler la consommation.

— Oh mais, je ne compte pas m’en aller, j’aimerais bien voir la fin du match.

— Oui, je comprends mais je vais fermer.

— Et bien fermez, je m’en irais une fois mon verre fini tout comme le match.

Là, Jojo ne sait quelle attitude adopter. Si c’était un mec, il l’aurait foutu dehors par la peau du dos, mais là, il coince. En plus une gonzesse qui lui tient tête, ça va pas le faire et il sait bien qu’on va le charrier le Jojo.

Bon gré, mal gré, il décide malgré tout de baisser les stores des fenêtres et de la porte et d’afficher fermer sur celle-ci.

Sur ces entrefaites, la première mi-temps vient de se terminer, un quart d’heure de pause, et les commentaires vont bon train.

— Des clinches et l’attaquant, pour ce qu’on le paie, mon grand-père ferait mieux.

— Tu l’as dit, c’est à chier. Ils ont fait la bringue avant le match, c’est pas possible.

— Oui, ou on les a payés pour perdre.

Et patati et patata…

Reprise, le coach a remplacé l’attaquant par le petit nouveau, un transfert d’Angleterre, ça va faire du bien à l’équipe.

Jojo est content de cette montée et une fois n’est pas coutume, il met une tournée.

Dix minutes de jeu et le petit jeune fait des flammes dans les rangs adverses, goal.

1 – 1, le moral nous revient, on gueule de plus belle. Nous avons tous les yeux rivés sur la télé.

Il pète le feu le petit jeune, long centre, il court comme un lapin balle au pied, et goal.

C’est l’euphorie, 2 – 1.

Là, c’est plié, on est lancé.

Eh bien non, sur une grosse boulette du milieu de terrain, perte de balle, et goal, 2 – 2.

Woouui, égalité, ce cri vient de notre dos. On l’avait oublié celle-là, mais elle se fout de notre gueule la pétasse.

Allez, rien n’est perdu, il reste un quart d’heure, on va bien en mettre un, ils n’ont plus rien dans les jambes en face. A part défendre et préserver le nul, le jeu se déroule dans un seul camp.

Corner, botté comme une clette, le gardien récupère le ballon, long dégagement et ce qui ne devait pas se produire survient, goal, 2 – 3.

La fille est hystérique derrière nous.

— Patron, mettez une tournée à vos amis, ça leur remontera le moral.

Et en plus elle a de l’humour la salope.

Remise en jeu, la fin de match est décevante, nous en resterons sur ce score.

Malgré tout, on est fair-play, nous invitons la jeune fille à se joindre à nous.

Elle est maintenant entourée par un onze de mecs chauffés par l’alcool. Des mains commencent à se perdre sur son corps. Elle n’est pas farouche, elle en rit. Jojo lui enlève son débardeur, ses seins nous narguent. Deux gars la soulèvent, le jean est enlevé, elle ne porte pas de culotte. Elle est la, nue, ses seins avec ses tétines bien dardées, une chatte toute lisse, un petit cul bien rebondi.

On la couche sur une table, nous faisons cercle autour d’elle. Jules s’est déjà désapé et lui présente sa queue, qu’elle engloutit sans sourciller. Michel lui écarte les jambes et fait reluire son abricot.

Maintenant, nous sommes tous à poils, excités comme des puces. Maurice est en train de lui sucer un téton. Elle a une queue en bouche. Elle se fait brouter le minou et de ses mains, elle astique deux bites.

Michel qui lui bouffe toujours la figue vient de lui enfiler deux doigts dans la fente. Elle a le cul au bord de la table avec Michel qui la déguste. Notre Jojo est à genoux et passant entre Michel et la table vient lui entrer un doigt dans le fion.

La scène tourne à l’orgie ou plutôt à une tournante.

Elle va être prise et reprise, en simple, double.

Ejaculation faciale, double vaginale, double pénétration et double anale.

On finira par un fist vaginal et une douche de foutre sur son visage, ses seins.

Nous sommes repus de sexe, vidés et épuisés.

Elle passera par les toilettes faire un brin de toilette et se revêtir.

Avant de nous quitter, elle a juste eu ces mots:

— Je me suis fait mettre par le onze du baby-foot.

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