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De l'initiation à la finalité – Chapitre 18

De l'initiation à la finalité - Chapitre 18



Le quotidien

De retour à Paris, je pris contact avec Abdou pour voir s’il pouvait m’aider à trouver un appartement.

Abdou fut très gentil, il passa quelques coups de téléphone et j’eus un 3 pièce en proche banlieue parisienne.

Avec l’argent que j’avais devant moi, je n’étais pas obligé de chercher du travail tout de suite, j’avais de quoi vivre quelques mois voir un peu plus d’un an et après on verrait.

La première chose que je fis fut de me dire qu’il fallait que je m’occupe de mon cul, si je voulais que mon anneau reprenne toute sa fermeté, il fallait que je fasse abstinence pendant au moins deux mois.

Je pris cette décision et je mis à profit cette période pour me renseigner afin de prendre des cours par correspondance.

Ayant le niveau BAC, je me décidai pour une formation en informatique devant m’amener à un BTS, cette formation devait se faire en deux années mais après négociations avec l’organisme que j’avais choisi, nous en arrivâmes que je pouvais le faire en 1 an vu que j’étais complètement libre.

Pendant les deux premiers mois, je plongeai de manière intense dans les études.

Pendant ce temps mon cul reprenait sa forme initiales, mon anus était de nouveau ferme et j’avoue que l’envie d’un homme était de plus en plus puissant chaque jour.

Cela faisait maintenant 2 mois et demi que j’étais revenu quand le téléphone sonna, je décrochai et j’eus au bout du fil un ami, steward du Maroc prénommé Abdelmalek, il était à Paris pour deux jours, il voulait qu’on se voie.

Il n’était pas au courant de ma double vie, je lui dis que je serai à son hôtel à 9 heures.

Après avoir bu un verre au bar, nous prîmes le chemin de mon appartement, sur la route nous parlâmes de choses et d’autres.

Quand nous arrivâmes, je le regardai et me dis qu’il n’était pas mal et je ressentis comme une contraction au niveau de mon cul.

Il trouva ma demeure très bien, je l’invitai au restaurant et vers minuit nous rentrâmes.

Abdelmalek me demanda s’il pouvait prendre une douche, je lui dis oui et lui donnai une gandoura.

Pendant qu’il était dans la salle de bains, je me mis à réfléchir comment j’allai pouvoir le mettre dans mon lit.

Je savais pour l’avoir entendu à Casa qu’il n’était pas contre le fait de baiser un mec, seulement comment lui faire comprendre que j’avais une furieuse envie de me faire tringler.

Au fur et à mesure que j’y pensais, je sentais une douce chaleur m’envahir le bas des reins, il fallait à tout prix que je trouve une solution.

Alors que j’étais perdu dans mes rêveries érotiques, j’entendis Abdelmalek qui me demandai si j’avais de l’après-rasage car il ne le voyait pas.

J’allai dans la salle de bains, il était nu, son sexe flaccide sans être énorme était assez appétissant.

Je passai devant lui m’arrangeant pour le frôler, à ce contact le pénis s’allongea un petit peu, je pris le flacon voulu et le tendis à mon ami.

Revenu dans le salon, j’avais la certitude que si je lui faisais comprendre que je voulais me faire enculer, il serait d’accord, mais bon sang comment !!

Abdelmalek revint dans la pièce, on voyait la bosse causée par son service trois pièces, l’idée me vint de parler des gonzesses qu’on avait connues chez un autre ami.

Au fur et à mesure que nous avancions dans la discussion, la bite de mon copain se tendait, il ne pu s’empêcher d’y porter la main, il surprit mon regard et se mit à rougir, je lui dis ’allons, je sais ce que c’est.

– Oui mais quand on a envie et qu’il n’y a rien à se mettre sous la queue, c’est dur.

– Pourquoi dis-tu ça ?

– Parce que c’est vrai. Vois-tu une femme ici ?

– Non.

– Alors tu vois bien que…Oh non tu ne vas pas dire que….

– Si, mais sous certaines conditions.

– Lesquelles ?

– Il ne faut absolument pas que tu le dises, c’est secret personne ne doit le savoir.

– Ce n’est pas une chose qu’on crie sous les toits.

– Alors nous sommes d’accord.

– Mais comment, jamais tu as montré quelque chose.

– Non, mais je suis pédé, et crois-moi d’après ce que disent tous ceux qui me baisent, c’est encore mieux qu’avec une femme.

– Et bien, c’est parfait.

– Comme tu le dis si bien, en plus j’ai une de ces envie, et tu sais depuis que nous sommes rentrés, je cherche un moyen de te le faire comprendre.

– J’y ai pensé tout à l’heure quand tu m’as donné la bouteille de MENNEN dans la salle de bains, mais je me suis dit que peut être c’était le fait du hasard.

– Non, j’essayais simplement de savoir si tu pouvais répondre à mes avances, et maintenant je sais, allez viens allons au lit’.

Une fois parvenu dans la chambre, je me déshabillai, quand je fus nu, je tournai vers Abdelmalek et vis une étrange lueur allumer son regard.

Il ôta sa gandoura et je vis sa queue dressée, elle était assez longue et normalement épaisse.

J’avançai la main vers elle, quand mes doigts touchèrent le gland, le sexe se dressa un peu plus et mon amant soupira d’aise.

Je le fis asseoir sur le lit et m’agenouillant entre ses jambes, je déposai un léger baiser sur son bout durci.

Après avoir embrassé et cajolé le phallus, j’ouvris la bouche et avalai la hampe érigée puis je me mis à faire monter et descendre mes lèvres dessus tous en la mordillant et la caressant de ma langue.

Au bout de quelques instants de ce traitement, la respiration de mon homme avait accéléré, il creusait les reins chaque fois que j’embouchai son membre jusqu’à la garde pour s’offrir totalement.

Soudain il posa ses mains sur mes épaules et me força à arrêter ma fellation, il me dit ’Allonge-toi sur le dos’.

J’obéis, il se coucha sur moi tête-bêche, son priape se positionna contre mes lèvres, je l’engloutis tandis que sa bouche avide prit possession de ma raie et de mon anus.

Sous ses coups de langue experts, mon trou s’ouvrit, je poussai un gémissement langoureux et creusai les reins.

Je me mis à pomper plus vigoureusement tout en lui caressant les couilles, pendant ce temps là, sous ses attouchements buccaux le désir montait en moi sous forme de vagues de chaleur naissant dans le creux de mes reins et remontant vers mon visage.

Soudain je sentis sur ma langue la bite tressauter, je me mis à la sucer encore plus vite et Abdelmalek se cambrant éjacula en feulant.

Ses jets de sperme crémeux giclèrent au fond de ma gorge et je le bus avec délice tout en continuant à cajoler le sexe qui palpitait sur ma langue, puis mon mec se retira et s’étendit à mes côtés.

Tout en glissant une main entre mes jambes pour continuer à masser mon sphincter, il me dit ’Tu suces vraiment bien, c’est extra.

    Mais dis-moi tu ne bandes pas ?

– Non depuis que je baise avec des mecs, je ne bande plus, finalement ce pénis ne me sert que pour pisser.

– Tant mieux pour moi, comme ça je n’aurai pas besoin de te branler comme il faut le faire aux autres pédés.

– Ne t’inquiètes pas, avec moi les seules choses dont il faut que tu t’occupes, c’est ma bouche et surtout mon cul.

– Je vais m’en occuper de ton petit cul.

– Tu as intérêt sinon je te viole.

– Tu n’auras pas besoin de le faire’.

Abdelmalek se tourna vers moi et m’enlaça, sa bouche écrasa la mienne, nos dents s’entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.

Quand il m’abandonna, j’avais le souffle court et mes joues étaient rouges, je sentais contre ma cuisse le phallus en érection.

Abdelmalek me retourna, je me retrouvai allongé à plat ventre il se coucha sur moi, son membre s’insinua entre mes fesses brûlantes et se posta contre mon oeillet, il poussa lentement et le gland vermillon déflora mes chairs, je poussai un petit cri quand le bout durci pénétra en moi.

Mon amant s’arrêta et me demanda ’Je te fais mal ?

– Non, continue enfonce toi’.

J’avais oublié combien était bonne cette divine brûlure qu’on ressent quand un gland écarte les chairs du sphincter anal annonçant une merveilleuse enculade.

Abdelmalek me prit avec une lenteur calculée par petits coups de reins, j’eus l’impression que l’intromission dura une éternité et quand je sentis les poils follets de son pubis je sus qu’il m’avait entièrement enfessé.

Mon homme resta un moment immobile, je sentais au tréfonds de moi la pine palpiter, puis prenant appui sur les coudes, il se mit à me besogner lentement me faisant gémir chaque fois que le pénis s’enfonçait en moi jusqu’à la garde.

Sous les lents coups de boutoir de mon mec mes gémissements se transformèrent en râles de bonheur, je me sentais partir encore plus à chaque va et vient du pénis qui me forait les reins.

Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi mais je voulais qu’il y reste le plus longtemps possible tant le plaisir qu’il me donnait était grand.

Dans mon trou maintenant bien dilaté, le phallus coulissait sans aucune gène, la bouche grande ouverte je râlais sans discontinuer tout en soulevant ma croupe de la couche pour venir à la rencontre du membre qui me ramonait le prose.

Tout mon corps était secoué de frissons de désir, je griffai les draps tant le bien-être que me procurait ce priape roide était intense.

Je voulais qu’il me tringle plus vite, qu’il me défonce le cul et je le suppliais de le faire, mais sourd à mes cris Abdelmalek continuait à me posséder avec une régularité de métronome.

Peu à peu je me sentais décoller, je planais littéralement sous les lents mais non moins virils coups de bite que mon amant m’assenait.

J’avais atteint le point de non-retour, je sombrais dans l’univers cotonneux de la jouissance où seul comptait pour moi la pine qui me limait de toute sa longueur, m’ouvrant encore plus le cul chaque fois qu’elle plongeait au plus profond de moi.

Mes fesses étaient bouillantes et j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum, ne pouvant plus me retenir, je me mis à délirer.

Un orgasme foudroyant me balaya, je hurlai mon plaisir à plein poumon tendant ma croupe vers le pénis qui me forait pour accentuer la pénétration et je retombai lourdement sur la couche sombrant dans l’inconscience.

Quand je revins à moi, je me rendis compte que mon homme n’avait pas pris son plaisir, il continuait à me bourrer en de larges coups de boutoir.

Son ventre claquait contre mon derrière en fusion, chaque fois qu’il m’enfilait je faisais un bond en avant tant il me besognai avec vigueur, c’était si bon que je voulais qu’il me casse le fion.

Mon corps n’était plus que jouissance, un brasier énorme brûlait en moi et seul cette queue pouvait l’éteindre, je voulais son lait qu’il m’inonde le cul.

Abdelmalek me possédait avec des ’HAN’ de bûcheron, sous ses coups répétés.

Je me tordais comme un damné sous lui me cambrant au maximum et écartant les jambes à me faire mal pour me donner plus encore.

Je ne vivais que pour et par le pénis qui me fourrait me donnant un intense plaisir et je me remis à délirer.

C’est à cet instant que s’enfonçant au plus profond de mon fondement, Abdelmalek déchargea en râlant.

Ses jets de foutre m’inondant le tunnel me provoquèrent un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, je griffai les draps et un hurlement strident pulsa de ma gorge, puis je retombai lourdement sur le lit, baignant dans le plaisir, je sentis la verge sortir de mon cul et mon homme se lever de sur moi.

Quand je rouvris les yeux, mon mec me dit ’C’est vrai, c’est super de te baiser, tu as un cul génial.

– Merci, mais toi tu m’as bien baisé.

– C’est ce que j’essaye toujours de faire.

– Tu m’as fait prendre un pied d’enfer’.

Après avoir fumé une cigarette et bu un verre, nous refîmes l’amour, dans la nuit Abdelmalek me prit quatre fois et chaque fois il me fit admirablement jouir.

Le lendemain, nous passâmes toute la journée au lit à baiser, quand le soir venu je ramenai mon amant à l’aéroport, j’avais le cul entièrement dilaté et un petit peu douloureux mais j’étais comblé.

Quelques temps après ce week-end sublime, je décidai d’aller passer quelques jours à Quiberon.

J’arrivai dans la soirée, l’hôtel que j’avais réservé était très bien.

Le mercredi alors que je circulai sur une route de la région, je vis un homme qui faisait signe aux voitures à l’entrée d’une aire de repos, je m’arrêtai pour lui demander ce qu’il avait, il avait crevé, son cric s’était bloqué et ne pouvait pas réparer.

C’était un homme d’une cinquantaine d’année, un peu ventripotent, je me garai à côté de sa voiture et lui prêtai mon cric.

Après qu’il eut changé sa roue, l’homme me remercia et m’invita à prendre un verre dans sa voiture,une mercedes où il y avait un mini bar.

Il me servit un whisky et comme je n’étais pas pressé nous nous mîmes à discuter de choses et d’autres.

Je ne sais pas comment cela arriva mais nous nous mîmes à discuter de sexe, il avait fait pas mal d’expériences en tout genre et me demanda si j’avais déjà eu des rapports homosexuels, sans que je m’en rende compte je lui répondis que j’étais pédé et que seuls les hommes m’intéressaient.

C’est ainsi que comme dans un rêve, je me retrouvai avec la main d’Aimé, car c’est ainsi qu’il se prénommai, sur ma cuisse et ses lèvres sur les miennes, sa bouche avait un goût d’alcool mélangé au tabac et sa langue fouillait tout l’intérieur de ma bouche.

J’avais envie de me donner à cet homme qui pourtant n’était ni beau ni séduisant.

Il me dit ’?a te dirait de passer un moment agréable avec moi?

– Oui beaucoup.

– Dans la voiture ?

– Pourquoi pas’.

Lâchant ma jambe il appuya sur une touche du tableau de bord et les vitres s’opacifièrent nous cachant du monde, puis il ouvrit sa braguette, il ne portait pas de slip et une queue épaisse toute érigée apparut, posant sa main sur ma nuque il m’indiqua ce qu’il voulait, je me penchais vers son sexe turgescent.

J’enfournai l’objet de ma dévotion et me mis à monter et descendre dessus tout en le mordillant et en enroulant ma langue autour, sa main toujours posée sur moi mon homme rythmait la cadence à laquelle il voulait que je le suce.

Sous les effets de ma fellation lente, la bite grandit encore, la main quitta ma nuque et se glissa sous moi, il défit mon pantalon, je me levai légèrement et ma culotte ainsi que mon slip glissèrent au bas de mes chevilles.

Un doigt inquisiteur s’insinua entre mes fesses et vint titiller mon anus, celui-ci s’ouvrit aussitôt sous la caresse ’Mais on dirait qu’il a une grosse faim ce petit cul là, je vais bien te baiser’.

Pendant qu’il parlait son doigt m’avait pénétré et coulissait dans mon cul, une douce chaleur avait envahi mon bas-ventre et affluait vers mon visage par vagues, je me mis à pomper le phallus plus vigoureusement.

Ma croupe était brûlante, j’avais besoin qu’il m’ouvre entièrement le fondement, un deuxième doigt vint rejoindre le premier puis un troisième et un quatrième, l’oeillet béant je me mis à rouler des hanches.

M’écartant de lui, Aimé car c’était son prénom me dit ’Tu suces très bien ma salope mais c’est ton cul que je veux’.

Il se dévêtis tandis que je finissais de me déshabiller, cet homme était gras et pas très athlétique.

Cette voiture qui était une Mercedes haut de gamme était très spacieuse, Aimé appuya sur un bouton, et la banquette arrière se déplia prenant l’aspect d’un lit.

Je m’allongeais aux côtés de mon amant, je pouvais voir son sexe entièrement, il était non seulement épais mais aussi très long, quand à ses testicules ils étaient gonflés pleins de sève.

Je me mis à caresser ses bourses légèrement, se cambrant mon homme respira plus bruyamment.

Soudain il se coucha sur moi, écrasa mes lèvres, ma bouche s’ouvrit, nos dents s’entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.

Quand il m’abandonna j’avais les joues en feu, il me dit ’Mets toi à quatre pattes que je voie ce joli trou du cul que je vais enfiler’ J’obéis, Aimé me caressa les fesses, titilla mon sphincter et me dit ’Ah il a vraiment envie ce petit trou, à peine je le touche qu’il s’ouvre comme une fleur’.

Mon amant se positionna derrière moi, le priape dressé glissa dans le sillon de mon fessier et se posta contre ma corolle affamée.

D’un petit coup de reins il fit pénétrer son gland turgescent, je ne pus m’empêcher de laisser échapper un cri de douleur quand son bout durci écarta mes chairs.

Posant ses mains sur mes hanches mon mec s’enfonça en moi lentement.

Il me sembla que l’intromission dura un temps infini mais quand je sentis contre mes fesses les poils follets de son pubis je sus qu’il était entièrement en moi, mon homme s’immobilisa, je sentais le membre palpiter au plus profond de mon corps.

Petit à petit mon sphincter se décontracta et une lame de désir me submergea, je tendis mon arrière-train vers ce merveilleux vit qui m’obstruait le fondement.

Mon mec se mit à aller et venir lentement m’arrachant des petits cris à chaque passage.

Sous les assauts répétés de mon homme mon anus céda complètement, à présent le phallus coulissait en moi sans gène aucune J’avais rejeté la tête en arrière et savourais pleinement la montée du plaisir dans mon être, Aimé me possédait de toute la longueur de son pénis sortant presque entièrement de moi pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante.

Je ne fus pas long à sombrer dans l’univers de la jouissance, le canal complètement éclaté je râlais sous les coups de boutoir que mon amant m’assenait.

Cambré au maximum je m’offrais totalement à ce formidable priape qui me forait les reins, j’avais atteint le point de non-retour, je voulais qu’il me prenne plus vite et je me mis à le supplier de le faire.

Son ventre épais claquait contre ma croupe en feu à me faire mal, chaque poussée contribuait à me faire perdre pied un peu plus, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me bourrait.

Mes râles de bonheur s’étaient transformés et je hurlais sans discontinuer sous les assauts répétés de mon homme.

Il me pilonnait maintenant l’arrière-train avec vigueur ponctuant par des ’HAN’ de bûcheron chaque fois qu’il se plongeait au fond de mon cul en fusion.

Soudain une boule de chaleur se forma dans mon ventre et éclaboussa ma figure, je me mis à délirer.

A cet instant s’enfonçant au plus profond de moi, Aimé explosa.

Ses jets de foutre crémeux m’inondèrent le fondement me provoquant un orgasme dévastateur.

Je me cambrais pour accentuer la pénétration et hurlai de jouissance puis tombai sur le théatre de nos ébats, je sentis le pénis sortir de mon antre.

Quand je rouvris les yeux, Aimé me dit ’Tu as vraiment un cul en or.

– Tous ceux qui m’ont enculé me l’ont dit.

– Tu baises comme une pute en chaleur.

– J’adore me faire baiser – J’ai envie de t’en remettre un coup.

– Vas-y, ne te gène pas, j’ai encore envie de ta bite.

– Eh bien, je vais t’en foutre encore un coup’.

Deux heures plus tard, après qu’Aimé m’ait repris une fois, nous nous quittâmes et je rentrai à l’hôtel.

Le samedi suivant je fis mes bagages et je rentrai sur Paris.

Arrivé chez moi, je pris un long bain puis après m’être rasé les jambes et la poitrine, je m’enduis tout le corps de crème rendant la peau douce et élastique, après je dînai sobrement et avant de me coucher je posai sur mon visage un masque de nuit.

Quelques jours plus tard, je devais aller à Tours pour une journée de stage concernant ma formation à l’informatique.

J’avais décidé de partir le soir afin de ne pas être à la courette le matin, vers 19 heures muni d’une petite valise je me mis en route.

J’arrivai à la gare quelques minutes avant le départ du train, je m’installai dans un compartiment fumeur, ouvris un journal et me mis à lire.

Cela devait faire une demi-heure que nous roulions quand un homme ouvrit la porte et me demanda si c’était libre, étant seul pour six places je lui répondis oui, la personne s’installa en face et se mit à lire, quelques minutes plus tard l’homme me demanda ’Cela vous gêne-t-il si je fume ?

– Pas du tout, d’ailleurs si cela me gênait je n’aurais rien à faire dans ce wagon, non vous pouvez y aller je suis moi même fumeur’.

Pendant qu’il allumait sa cigarette je regardai mon voisin, c’était un homme d’une cinquantaine d’années très bien habillé avec de vêtements de marque, je me dis qu’il devait être patron ou directeur, il semblait très soigné de sa personne, ce qui était marrant c’est que seul son visage, ridé et aux tempes argentés, trahissait son age car il semblait avoir un corps d’athlète, j’allumai à mon tour une cigarette et repris ma lecture.

Quelque temps plus tard le contrôleur passa, nos titre de transport étant en règle, il nous souhaita bon voyage et partit après avoir refermé la porte.

Posant son journal mon compagnon de voyage me dit ’Eh bien, voici la seule personne que nous verrons jusqu’à Tours.

– C’est vrai, on peut dire que ce voyage est calme.

- ?a vous pouvez le dire, rien de tel que le train pour s’ennuyer.

– Mais c’est quand même un moyen de transport utile.

– Oui vous avez raison. Vous descendez où ?

– A Saint Pierre Des Corps.

– Vous en avez encore pour 2 heures.

– C’est ça et vous ?

– A Tours.

– Vous ferez un quart d’heure de plus.

– Oui.

– Vous faites souvent le voyage ?

– Trois fois par semaine.

– Eh bien vous devez connaître cette ligne de fond en comble.

– On peut le dire. Et vous ?

– Non pas du tout.

– Si je ne suis pas indiscret vous faites quel métier ?

– Je suis en formation d’informaticien et vous ?

– Directeur financier.

– Je suppose que vous allez voir une filiale ?

– C’est cela même et j’ai rarement des compagnons de voyage aussi agréables que vous, bien souvent le gens ne décroche pas un mot.

– Etant donné les plaisantes occupations qu’il y a dans ce train, discuter avec quelqu’un permet à ce que le temps passe plus agréablement.

– Je suis tout à fait de votre avis mon cher, il faut toujours essayer dans la vie de passer chaque instant le plus agréablement possible’.

Cet homme était charmant et très cultivé, quelque soit le sujet que nous abordions il avait un avis dessus, à un moment il voulut allumer une cigarette mais son briquet refusa de fonctionner, je me levai pour lui offrir du feu et dans le mouvement je fis tomber mon attaché-case à terre.

Quand je revins vers ma place pour ramasser mes affaires qui jonchaient le sol, mon regard croisa celui de mon voisin.

De ma mallette était sorti l’exemplaire de Gai Pied que j’avais acheté avant de prendre le train pour lire ce soir à l’hôtel, il était en train de regarder la couverture où un jeune éphèbe avalait totalement le sexe d’un autre tandis qu’un troisième homme était enfoncé entre ses fesses.

Je sentis le rouge me monter au visage et le voyageur toujours souriant me dit ’Allons pas de fausse pudeur, chacun a le droit de faire ce que bon lui semble. D’ailleurs lisez-vous cette publication par curiosité ou êtes-vous vraiment homosexuel ?

– Cela ne vous regarde pas et fichez-moi la paix.

– Certes cela ne me regarde pas, mais pourquoi devenez-vous agressif subitement, que vous soyez pédé ou non je ne vois pas ce que cela change aux conversations que nous avons eu depuis tout à l’heure.

– C’est vrai, excusez-moi je me suis emporté.

– Ce n’est rien, ramassez vos affaires et oublions ça’.

Je rangeai mes documents ainsi que la revue et me rassis, mon compagnon avait un petit sourire aux lèvres, je lui demandai ’Qu’est-ce qui vous fait sourire ?

– Oh rien une idée comme ça.

– Et quelle idée ?

– Eh bien voilà, nous avons commencé à nous parler pour dire que les voyages en train étaient assommants, qu’il n’y avait rien à faire et que le contrôleur était la dernière personne que nous puissions voir avant Tours.

– Je ne vois rien de drôle là dedans.

– Tout à fait, et nous étions d’accord pour dire qu’il fallait rendre la voyage le plus agréable possible.

– Je me souviens mais excusez-moi si je ne vois rien de risible.

– Vous êtes tout excusé, mais si vous voulez que je continue, promettez-moi de ne pas vous mettre en colère.

– C’est promis.

– Bien, donc supposons, je dis bien supposons, que vous soyez vraiment homosexuel, ne croyez-vous pas qu’étant donné que jusqu’à Saint Pierre Des Corps personne, et je le sais bien personne, ne viendra nous déranger et que jusqu’à cet arrêt il reste environ 1 heure un quart il y ait un moyen de peut-être passer un moment agréable ensemble, bien sur je dis peut-être car il se peut après tout que vous soyez un homosexuel actif, ce qui dans ce cas en ce qui me concerne ne présente aucun intérêt, mais si vous étiez passif alors là c’est différent. Me suivez-vous ?

– Absolument, en somme vous vous proposez tout simplement de me baiser.

– Ceci est un résumé très primaire, ce que je dis c’est qu’on peut dans le temps qui reste faire l’amour d’une manière très satisfaisante.

– Si vous voulez, mais tout ceci ne tient debout que si je suis un homo passif.

– Bien sur et je crois que tu l’es.

– Et bien entendu pour une pédale on passe tout de suite au tutoiement.

– Allons pas de vulgarité, si je t’ai tutoyé c’est tout simplement que ça fait plus proche et pour faire ce que nous allons faire…..

– Eh là c’est aller bien vite, ce que nous allons faire, faudrait que je dise oui d’abord.

– Mais tu vas dire oui, j’en suis sur.

– Tiens donc et pourquoi ?

– Je le sais c’est tout, sinon tu n’aurais pas continuer à discuter.

– Tu me sembles bien sur de toi.

– Eh oui, allez au lieu de perdre du temps, aides-moi plutôt à fermer les rideaux.

– Et si je dis non ?

– Et si plutôt tu disais oui. Hein ?

– Mais il se fait un vrai cinéma celui là.

– Oh non pas du tout, je sais que tu vas me donner ton petit trou.

– Allons bon.

– Je sais que tu en as envie.

- ?a alors !!!

– Regarde, je suis sur qu’après tu vas changer d’avis’.

Sans me laisser le temps de répondre, il dégrafa sa braguette, il ne portait pas de slip et un magnifique phallus à demi érigé sortit de l’étoffe qui le recouvrait, il faisait déjà au moins 18 centimètres de long et était très gros, le gland on aurait dit un poing fermé.

Je restai bouche bée devant ce superbe organe et je sentis des fourmillements dans le bas de mes reins, je me dis que ce salaud avait gagné, je voulais cette queue énorme dans ma bouche et dans mon cul, il me demande ’Alors tu dis toujours non ?

– Euh…

– Je referme la boutique ?

– Non !!!

– Bien, viens m’aider à tirer les rideaux.

– Oui…..

– N’aie pas peur, on sera tranquille, personne ne nous dérangera.

– J’espère.

– T’inquiète, je vais bien m’occuper de ton petit trou tu verras, après moi toutes les autres bites te paraîtront fades. Au fait comment t’appelles-tu ?

– Damien.

– Moi c’est Robert’.

Après avoir voilé le vitres, Robert fit basculer un des sièges du compartiment qui se transforma en couchette puis il s’approcha de moi et m’enlaça.

Ses lèvres se posèrent tendrement sur les miennes, j’ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné qui me laissa pantelant et les joues en feu quand Robert se détacha de moi.

Il me dévêtît rapidement puis me prit dans ses bras et me déposa à plat ventre sur la couche improvisée, il se déshabilla et vint s’allonger à côté de moi.

Son pénis était maintenant complètement en érection, c’était vraiment monstrueux et j’avoue que malgré toute mon expérience j’avais quelques craintes vues les dimension gigantesques de ce gourdin.

Mon amant posa ses mains sur ma nuque et commença à me masser légèrement, au bout de quelques instants je me sentis me décontracter entièrement.

Les doigts de mon homme courraient sur mes épaules et tout le long de mon dos me faisant un bien énorme, puis sa langue râpeuse se posa sur mon cou et descendit le long de ma colonne vertébrale, s’arrêtant à la naissance du sillon de mes fesses, et remonta vers ma nuque.

Cette douce caresse m’électrisa, une chaleur irradiante monta vers mon visage et je ne pus étouffer un gémissement langoureux.

Je ne sais combien de temps mon mec m’effeuilla mais le bien-être que je ressentais était intense et je m’aperçus que pas une fois, ni sa langue ni ses mains, n’avaient touché à mon cul.

Toutes les parties de mon corps, mon dos, mes jambes, mes cuisses, mon torse, mes bras, mon visage avaient été soit caressé soit embrassé.

Je me pâmais sous les caresses, tout mon être était agité de tremblements, tout en moi tendait vers le désir.

Robert s’occupait maintenant de mes seins, il les tétait, les pinçait, mes tétons étaient durs comme de la pierre.

Je sentais un raz de marée affluer vers mon visage, j’écartais les cuisses au maximum, je voulais qu’il me prenne, que sa biroute m’éclate le fion et qu’il gicle en moi car je savais que seule sa semence pouvait éteindre l’incendie qui me consumait et je le suppliai ’Aaahh ahhh je t’en ohhhh ahhhhhhh prie ahhh prends ahhh aaaahh moi ahhhh’.

Sourd à mes supplications mon amant continua à me butiner, je ne sais combien de temps il continua à pratiquer sur moi ces doux sévices.

Ma peau était devenue si sensible que le moindre contact me faisait râler, soudain une boule de feu se forma dans mon ventre et explosa par multitude vers ma figure, mon corps s’arqua et je poussai un hurlement strident puis je retombai lourdement sur la couchette à demi inconscient.

Quand je rouvris les yeux, Robert me caressait la joue et me dit ’Tu as aimé ?

– Oui beaucoup, je pense que tu t’en es rendu compte.

– C’est vrai, tu es un vrai trésor, ton corps répond encore mieux que celui d’une femme, si le reste est à la hauteur de ce que tu viens de me montrer, ce n’est pas moment agréable que nous allons passer mais sublime.

– D’après tous mes amants, je suis une très bonne suceuse et mon cul est très accueillant.

– Je le crois volontiers.

– Mais, dis-moi…..

– Oui ?

– Tu as réussi à me faire jouir sans toucher à mon cul….

– Oui, rien ne vaut un premier orgasme avant une enculade, mais t’en fais pas je vais y toucher à ton petit cul.

– Je l’espère bien, mais dis-moi tu feras doucement car crois-moi tu es monté comme un âne, j’ai rarement vu un sexe aussi volumineux.

– N’aie crainte je ne te ferai pas mal parce qu’avant de te mettre, je l’ouvrirai ton petit puits d’amour.

– Merci.

– Mais de rien, allez montre-moi donc tes talents de suceuse.

– Avec joie.

– Non avec ta bouche.

– AH AH AH’.

Je me levai et fis asseoir Robert au bord de la couchette puis je m’agenouillai entre ses jambes, le formidable priape pointait son gland énorme et violacé vers moi.

Je posai mes mains sur les cuisses de mon amant et me mis à donner de petits coups de langue sur l’imposante tête du pénis érigé récupérant au passage les gouttes translucides de sperme qui perlaient du méat, j’eus l’impression que le fabuleux phallus grandit et gonfla encore.

Tout en continuant ma caresse buccale, je saisis le membre turgescent à la base et commençai à le branler lentement tandis que de l’autre main je caressai les chaudes bourses duveteuses gorgées de sève.

Sous ces caresses conjuguées mon homme soupira et creusa les reins pour s’offrir plus encore.

Ouvrant tout grand la bouche, je me mis à sucer l’extraordinaire bout durci vermillon.

J’eus toutes les peines du monde à emboucher l’énorme gland et je me mis à faire monter et descendre ma tête sur l’impressionnante hampe érigée tout en continuant à cajoler les burnes grandioses qui pendaient dessous.

Chaque fois que je descendais sur la pine dressée le gland butait contre le fond de ma gorge, j’avais mal aux mâchoires tant je devais garder la bouche ouverte et des traînées de salive coulaient le long de la magnifique bite bandée.

La respiration de mon mec s’était accélérée sous la lente pipe que je lui faisais.

Je ne savais depuis combien de temps je le suçais quand Robert posa ses mains sur ma nuque pour rythmer le tempo auquel il voulait que je le pompe.

Aux râles de mon amant se mêlaient les bruits de succion que faisait sa verge chaque fois qu’elle pénétrait entre mes lèvres enflées.

Bloquant ma tête entre ses mains, mon homme se leva et se mit à donner des coups de reins se servant de ma bouche comme d’un cul.

Je voyais le gros membre entrer et sortir de ma bouche à une vitesse folle, je fermai les yeux et savourai le contact de cette chair chaude et odorante contre ma langue.

Les mouvements de Robert devenaient de plus en plus saccadés et je sentis aux tressautements du vit que l’explosion était proche.

C’est alors que mon amant sortit sa fabuleuse pine de ma bouche et déchargea longuement en râlant sur mon visage.

Je reçus d’abord de fines gouttes puis de puissants jets de foutre crémeux aspergèrent ma figure, à la fin de son éjaculation Robert me renfonça son membre entre les lèvres.

Je caressai l’objet de ma dévotion de la langue jusqu’à ce que le calme soit revenu puis mon homme se retira.

Je le regardai et lui demandai ’Pourquoi ne m’as-tu pas laissé te boire ?

– Parce que j’aime voir le sperme gicler et couler sur un visage, mais maintenant tu peux le boire.

– C’est ce que je vais faire, mais dis-moi tout à l’heure quand tu vas m’enculer, j’espère que tu vas jouir en moi.

– Bien sur, là ce n’est pas pareil.

– Merci.

– De rien, tu sais que c’est vrai, tu suces comme une déesses, si ton cul est aussi bon que tu le dis ce sera parfait.

– Essaye et tu m’en diras des nouvelles.

– Mais je vais l’essayer ma choutte et pas plus tard que tout de suite, allez viens près de moi’.

Du bout de la langue je récupérai le sperme qui maculait mon visage et je pris le reste avec mes doigts que je suçai, puis je vins m’asseoir près de mon amant.

Robert m’enlaça et posant délicatement ses lèvres sur les miennes, il se mit à me lécher le visage pendant que ses mains courraient sur mon corps, des ondes de désir commençaient à monter en moi.

Robert m’avait pris dans ses bras et déposé sur le couchette à plat ventre, me massant la nuque ainsi que les épaules.

Une fois qu’il m’eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.

Robert, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale.

Sous l’effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur la couche plongeant de plus en plus dans le désir.

C’est là que je me rendis compte que je planais déjà alors que Robert n’avait pas encore touché à mon cul.

Longtemps l’homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tour en râlant.

Jugeant que j’étais à point, Robert arrêta, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser.

Au bout de quelques instants de ce traitement, j’avais le fessier brûlant.

Mon amant écarta mes miches et une langue pointue s’insinua dans ma raie, à ce contact mon anus s’ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.

Patiemment, Robert m’ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentis fondre.

C’était la première fois que je ressentais autant de plaisir sans qu’une bite ne soit en moi.

J’étais totalement en transe je voulais qu’il me baise et je lui dis ’aaaahh je t’en supplie encules-moi ahhh.

– Pas tout de suite, un peu de patience, tu jouiras encore plus.

– Noonnn, je veux ta bite tout de suite, je veux qu’elle me casse le cul’.

Robert me dit ’regardes, c’est lui que tu veux. Hein ?

– Oh oui, qu’il est beau.

– 32 centimètres de long et 18 de tour sans parler du gland.

– Oh !!!

– Tu l’auras, mais tout à l’heure’.

Robert continua à me travailler le trou jusqu’au moment où ne tenant plus, je mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient.

Jamais on ne m’avait préparé comme il le faisait, je n’étais plus que frémissements, ma tête rejetée en arrière ballottait de droite à gauche.

Mon mec me mit sur le dos et s’agenouilla entre mes cuisses, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il m’approcha de lui jusqu’à ce que le formidable pénis bute contre mes fesses.

Il les écarta et posta son priape contre l’orée de mon canal.

Malgré toute mon expérience j’eus peur devant les gigantesques dimension du gland et tentai de me dérober, Robert me maintenant solidement aux hanche lentement me pénétra.

L’intromission dura un temps infini, mais jamais, je ne ressentis la moindre douleur.

Quand enfin Robert fut tout en moi, mon cul était rempli comme rarement il ne l’avait été.

Ce qui était en moi était tellement énorme que j’avais l’impression que mon cul en fusion allait s’ouvrir en deux comme un fruit trop mur.

Me prenant par les cuisses, mon homme commença à me besogner doucement.

Sentir ce monstrueux membre coulisser dans mon tunnel après les prémices que j’avais subi je me sentis partir, je basculai totalement dans un univers où seul le plaisir comptait.

J’allai à la rencontre de ses coups de boutoir pour être sur que toute la hampe entrait en moi.

La verge érigée sortait presque entièrement de ma grotte et replongeait lentement jusqu’au tréfonds de mon cul en fusion.

De temps en temps, Robert sortait totalement sa pine de moi et me caressait tout le long de la raie puis me renfilait d’un grand coup de reins.

J’avais perdu toute notion des choses, je ne vivais plus que pour et par la bite qui me forait les reins.

Je voulais que mon amant reste fiché indéfiniment entre mes fesses.

Je me tordais comme un damné sous ses coups de queue qui me portaient au septième ciel et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.

Mais sourd à mes supplications, Robert continuai à me posséder avec une régularité de métronome.

Je sentis une boule monter vers ma gorge, l’air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j’ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge ’aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh’.

Mon corps se tendit comme un arc, je griffai la couchette et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine qui me donnai autant de plaisir me ramonant le rectum puis je retombai lourdement sur la couche perdant connaissance.

Quand je revins à moi, Robert me besognai toujours en de larges coups de bite.

Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse.

Il se leva et je nouai mes bras autour de son cou ainsi que mes jambes autour de sa taille.

S’appuyant contre la paroi du wagon, mon homme se mit à me pilonner l’anus à grands coups de reins tout en me faisant monter et descendre sur son phallus gorgé de sang.

J’avais le trou complètement éclaté, j’avais l’impression que s’il continuait à me tringler de la sorte, il allait me déchirer le cul mais que c’était bon.

Dans les bras de mon mec, j’étais tel un pantin désarticulé, jamais je n’avais subi une telle enculade, mon ongles plantés dans ses épaules musclées, je hurlai mon plaisir sans discontinuer ’aaaaaahhhhh ahhhhhhhhh aaaaaaahhhhh aaaaaaaahhh aaaaahhhhhhhhhhhh ahhhhhhh’.

Robert allai me reposer au bord de la couche et me ramena les jambes vers la tête, de la sorte à faire ressortir plus encore mon sphincter de manière à avoir un angle de pénétration encore plus grand, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.

Mon intimité s’était encore agrandie, je voyais entre mes jambes le priape violacé sortir et se planter au plus profond de mes entrailles.

Le ventre musclé de Robert claquait contre mon arrière-train en fusion à me faire mal.

Sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche.

En cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j’avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer.

Robert s’enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant.

Une formidable giclée de foutre crémeux m’inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur.

Je hurlai de jouissance et sombrai dans l’univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de Robert quitter mon antre et je restai allongé sur la couche les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contraction du bonheur autour de ma corolle ravagée.

Quand je rouvris les yeux, Robert me regardai en souriant, son membre à demi flaccide reposai sur sa cuisse comme un gros ver, mon amant me dit ’Tu es vraiment la reine des baiseuses, avec toi c’est mieux qu’avec une femme, ton cul est un vrai puits d’amour.

– Merci, mais tu y es quand même pour quelque chose, je n’ai jamais été baisé par un engin comme le tien et en plus tu sais très bien t’en servir.

– Oui, je me débrouille pas trop mal, mais tu sais pour une bonne baise il faut être deux.

– C’est vrai, ça a été bien, j’ai le cul en choux fleur, qu’est ce que tu m’as mis, dommage qu’on ait pas le temps car j’aurais bien aimé remettre ça.

– Moi aussi je t’en aurais bien remis un coup, enfin peut-être au cours d’un prochain voyage.

– Pourquoi pas, allez je crois qu’on ferait mieux de se rhabiller, au fait j’espère que nous n’avons pas ameuté tout le wagon.

– Non il est presque vide et en plus avec le bruit du train aucune chance.

– Tant mieux’.

Après avoir porté une dernière caresse sur le sexe qui m’avait donné tant de plaisir, je me rhabillai et 10 minutes plus tard je descendis du train.

J’arrivai à l’hôtel où ma chambre était réservée, je pris une douche et soignai mon anus encore largement ouvert et très enflé puis j’allai dîner.

Vers 22 heures je me mis au lit sans même avoir ouvert GAI PIED car pour ce qui est de sexe j’avais eu ma dose.

Le lendemain je me levai vers 7 heures, mon trou du cul était refermé mais encore un peu enflé, je pris une douche et descendis déjeuner, vers 8 heures 30 j’arrivai au stage.

La journée se passa très bien et à 17 heures 30 je repris le train pour Paris, je m’installai dans un compartiment vide et le voyage de la veille me revint à l’esprit.

A ce moment j’aurais bien aimé voir Robert apparaître à la porte du compartiment mais celui-ci resta désespérément vide jusqu’à Paris.

Arrivé à la gare, je fis la queue pour prendre un taxi, quand mon tour arriva j’ouvris la porte arrière d’une Mercedes et donnai mon adresse au chauffeur, c’était un asiatique.

Pendant toute la durée du trajet celui-ci n’arrêta pas de parler de la dure condition de chauffeur de taxi parfois coincé toute la journée dans les embouteillages.

Arrivé à destination, je tendis au chauffeur un billet de 500 francs, il n’avait pas de monnaie, je lui demandai si un chèque lui irait, il me répondit que oui, je lui proposai donc de monter chez moi n’ayant pas mon chéquier sur moi.

Arrivé dans l’appartement je lui dis de s’asseoir et me proposai de lui offrir l’apéritif, il accepta et me demanda un whisky, je servis deux verres et allai dans la cuisine chercher des glaçons.

Quand je revins, le chauffeur était en train de feuilleter une revue homo qui était sur la table basse du salon, me voyant découvert je sentis le rouge me monter aux joues, levant les yeux vers moi l’homme s’aperçut de ma g%2

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