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UNE EXPERIENCE MAGIQUE – Chapitre 1

Christine V : Coeur, sexe et imagination - Chapitre 2



Alors que je me trouve dans la chaufferie à lentretien de ma chaudière, mon chien, un beauceron de 3 ans vient se frotter contre moi. Sa truffe me renifle et devient indiscrète dans mon entrejambe. Avec insistance son museau fouille le haut de mes cuisses, essayant de fourrer sa truffe sous mon short. Je maperçois que la pointe de son sexe sort de son fourreau. Maccroupissant face à lui, il me bouscule en se jetant sur moi ce qui me fait perdre léquilibre. Me retrouvant assis sur sol, il commence à sagiter. Il tourne autour de moi, vient me lécher la figure, passe derrière et me grimpe sur les épaules. Alors quil commence à haleter je sens taper son braquemart dans mon dos. Je me dégage de cette emprise.

— Quy a-t-il mon petit Joé, c’est parce qu’une chienne du quartier est en chaleur que tu mas lair si excité ? Tu veux faire des câlins à ton petit père ? Viens mon chien, doucement.

Le lui glisse la main sous son sexe, remonte mes doigts le long de sa tige et le masturbe. Là il sarrête et semble apprécier. Maintenant quil ma communiqué son excitation, je commence à bander sec. Moi qui navais jamais envisagé, quun jour, jaurais une telle relation avec mon chien.

Nous sommes seuls dans la maison pour au moins deux heures. Je nhésite pas longtemps à ouvrir ma braguette et lui présenter ma queue en pleine forme. Il me lèche le gland doù perle déjà un peu de mouille. Je nai pas lâché son fourreau, il se déchaine et commence à manuvrer lui même dans ma main.

— Attends il faut fermer la porte, on va bien samuser nous deux, hein mon gros toutou ?

Je le laisse et me dirige vers lentrée du garage, communiquant avec la chaufferie, pour baisser la porte basculante. Il me suit et ne me lâche plus dune semelle. Il me fait la fête, impatient quil est de se satisfaire et que je reprenne possession de son plaisir. Je reviens vers la chaufferie dont le sol est surélevé par rapport à celui du garage. Debout, je me débarrasse de mon short et de mon slip à grand peine parce quil continue de me donner des coups de museau en léchant au passage ma queue libérée. Tant bien que mal, jétale une vieille couverture sur le sol au bord de la marche. A genoux pour létendre je ne fais pas attention que je suis dans une position provocante pour lui. Il me saute sur le dos.

— Attends, pas comme ça mon chien, pas comme ça

Je le repousse et me couche sur le dos, mon derrière au bord de la marche. Je maccroche les jambes sur chaque montant de lembrasure du passage, elles sont en lair et écartées. Aussitôt, Joé fouille de sa truffe mes fesses, me lèche les couilles et la pine qui mouille de plus en plus. Je le tire au dessus de moi par son collier.

— Viens mon bébé, viens me la mettre, viens mélargir mon petit trou qui a faim de ton gros membre.

Ses pattes postérieures son restées devant cette marche, bien pratique pour ce que nous allons faire. Ses pattes antérieures saccrochent à ma taille. Son mandrin est complètement sorti maintenant. De son bout, encore en pointe, suinte un liquide légèrement visqueux. Le saisissant, je le frotte entre mes fesses pour lubrifier lorifice convoité. Jajuste la hauteur en tirant sur mes jambes pour que la jonction de nos objets de plaisir soient bien dans lalignement lun de lautre. Joé commence à me besogner, à chaque mouvement sa tige percute ma rosette, cest un enchantement. Au bout de quelques minutes, sa pointe trouve lentrée convoitée et se glisse à lintérieur. Elle ressort et rentre de plus en plus profond dans mon anatomie. Nétant pas rôdé à ce jeu, une douleur croissante se fait sentir car son dard devient de plus en plus gros. Mais Joé nen a cure, lui, il continue à sacharner. Ça dure au moins un quart dheure car par moments il se retire, me lèche et repart à la charge retrouvant de suite le chemin. Je commence à mhabituer maintenant que tout est bien ajusté, ça devient de plus en plus agréable. Dun coup de rein plus appuyé que les autres, alors que mon anneau est déjà bien dilaté, je ne sens pratiquement pas le nud naissant de mon chien se faufiler dans ce chenal. Boule qui se met à gonfler rapidement une fois à lintérieur de mon rectum.

Joé arrête de me secouer. Je sens bien les contractions de son dard logé au fond de mes entrailles et les jets sous pression qui sy répandent. Son nud occupe tout le volume. Les parois de cette enceinte se sont tendues et cette boule stimule outrageusement ma prostate. Je suis bien, une douce quiétude sinstalle.

Maintenant mes mains se sont croisées sur son derrière et impriment au bas de ses reins un léger mouvement de pompage pour accentuer le frottement de la boule sur cet endroit sensible. Soudés lun à lautre je me rends compte que je ne suis pas loin de jouir car ce contact interne est tellement efficace que je men délecte. Lui ne cherche même pas à se détacher, bien planté, quil est, au fond de mon anatomie. Je suis bien, je lui caresse doucement la tête, il me lèche la figure, ma langue vient au contact de la sienne, une vraie scène damour canin !

— Quil est bon ton gros nud dans mon cul, mon dieu que cest bon tu sais Oh là là Oui ça vient, oui oui je jouiiiiiiiiiiisEuh Euh que cest bon mon toutou Cest encore bien meilleur que lamour ordinaireTu sais Jaime, jaime, on recommencera dis ? Tu sais que tu viens de me faire jouir par le cul, petite salope !

Nous restons comme ça au moins vingt minutes attachés amoureusement lun à lautre en attendant que mon chien sapaise. Puis, il recule lentement et cest le grand vide. Il se nettoie et là, je découvre limmensité de son braquemart.

Après sa toilette intime, il vient faire la mienne, lapant avec gourmandise tout son sperme qui dégouline encore de mes fesses et le mien qui sest répandu sur mon ventre. Quand je me relève il vient renifler la couverture sur laquelle nous venons de jouir, il lèche les reliefs de nos amours.

Une expérience si exquise que nous lavons renouvelée plusieurs fois avec toujours autant de plaisir quand nous étions seuls. Javais découvert ces jeux zoo et ne pouvais plus men priver. Lorsque Joé venait me rejoindre dans le garage et que je fermais la porte derrière lui, il savait ce que nous allions faire. Je lui présentais ma queue en érection quil prenait plaisir à envelopper de sa grande langue, il me faisait aussitôt la fête et je navais pas besoin de le masturber pour que son phallus prenne forme.

Quand je navais que peu de temps devant moi, il mest arrivé de le sucer. La première fois, je lai obligé de se coucher sur le dos, en lui caressant le ventre, jai pris son bout entre les lèvres. Je fus surpris que le goût de cet outil ne soit pas du tout écurant mais possédait une saveur assez subtile et jen profitais pour le faire filer au fond de ma gorge.

Plus tard, je lai habitué à venir au-dessus de mon visage. Quand il me voyait dans la position couchée et que je navais pas les fesses à sa portée, il enjambait ma tête relevée par léternelle couverture roulée sous ma nuque, ses pattes arrières sous mes aisselles, mes mains accrochées au bas de ses reins pour contrôler ses mouvements. Son phallus arrivait irrémédiablement à hauteur de ma bouche grande ouverte. Sous laction de mes lèvres et de ma langue, le bout passait assez vite de pointu à dodu pour remplir la cavité qui lui servait de défouloir. En le pompant, son dard augmentait de volume et de longueur. Il semblait apprécier aussi cette façon de jouir.

Je faisais attention que son nud ne sintroduise pas entre mes dents avant de gonfler car au moment déjaculer, celui-ci prenait une taille affolante. Cest là, sans toutefois lavaler, que jai évalué la quantité de sperme, qui séchappait de mes lèvres, quun chien de cette grosseur pouvait éjaculer.

Cétait il y a longtemps. Je nai plus de chien car ma nouvelle femme nen veut pas. Après avoir bourlingué quelques années à létranger et maintenant retraités, nous sommes revenus habiter dans un petit hameau de la campagne française où la chasse et la pêche sont reines. Un jour que jétais seul et que je bricolais dans mon ancienne écurie transformée en atelier, je vois arriver un beau chien de chasse, certainement perdu qui, dans lembrasure de la porte, me regarde. Je mapproche de lui, comme il remue la queue je le caresse. Il se roule parterre, certainement pour me montrer son affection.

A partir de ce moment tout rejaillit dans mon esprit, mes amours zoophiles avec Joé. Je ferme la porte de lécurie sans quil cherche à sen échapper. Je le caresse sous le ventre, il ne bouge pas. Je baisse mon pantalon et mon slip, il me regarde en inclinant sa tête de part et dautre et sapproche, il me lèche la pine qui commence à gonfler. Jai nettement limpression quil doit être habitué à ce petit jeu, peut-être que son maître doit jouer de la sorte avec lui.

Dans nos campagnes cest une pratique courante. Une fois un voisin, Joseph bi comme moi, avec qui jai parfois des relations homo, alors que je métonnais que son passage fût très libre, ma raconté quil avait fait lamour avec Arthur son âne. Dans son étable, il avait installé une table pour se faire prendre par son animal. Il mexpliquait quil léchauffait en le masturbant. Quand il sentait que son dard était bien dur, courbé en appuis sur la table, les fesses provocantes, Arthur venait se placer derrière lui, ses pattes avant montant sur la table à hauteur de sa tête et commençait à lui besogner la rondelle.

— Tu sais la première fois ça sest produit à lorée du petit bois au fond de mon pré, mon âne triquait, je lui ai caressé le chibre, je lai même sucé. Comme il sexcitait de plus en plus, moi aussi dailleurs, alors jai voulu essayer. Je me suis accroché à un arbre, courbé en arrière, les fesses dénudées. Il na pas fallu beaucoup de temps pour quil réagisse. Son poitrail sur mon dos il a tout fait pour me pénétrer et il y est arrivé ce con. Bon dieu que jai eu mal, durant une semaine jai eu de la difficulté à massoir. Après je me suis rodé le cul avec des courgettes de plus en plus grosses et je me suis installé ce petit coin dans létable pour nous faciliter la tâche. Un jour, si tu veux, tu nas quà venir me seconder.

Arthur en forme, Joseph me prévient. Nous le faisons rentrer dans létable tout en lui caressant la bite et les couilles. Joseph baisse vite son pantalon et se met en position sur la table. Sur le flan dArthur, je guide son braquemart à lentrée du cul de Joseph puis je me place de lautre coté de la table en face de lui, les jambes écartées pour quil me fasse une bonne fellation pendant que son âne sacharne dans ses fesses. Vachement excitant cette séance mais à moi, une bite dhomme ou de chien me suffisent et je nai pas encore osé essayer avec Arthur.

Pour en revenir à mon compagnon de passage qui se laisse masturber tout en menveloppant la pine avec sa langue gourmande, jai une envie folle quil mencule. Je labandonne un instant afin dinstaller, avec des chutes de solive, un reposoir à hauteur de son chibre pour quil me prenne comme Joé en son temps. Le chien me tourne autour et vient finalement se positionner au-dessus de mon ventre. Sa tige entre dans mes fesses et sagite de plus en plus vite. En quelques minutes son nud sy glisse sans difficulté et nous bloque. Je retrouve le type de jouissance dantan. Bon dieu que cest bon lamour avec un chien !

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